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Tunisie - Pourquoi je voterai contre Marzouki*

 

Pourquoi je voterai contre Marzouki*


Je dois préciser d’abord  que Moncef Marzouki a longtemps été pour moi un compagnon de lutte et un ami. Je fais partie des gens qui l’ont soutenu et aidé durant les années de lutte   contre le système Ben Ali. J’étais à un certain moment parmi « les visiteurs de Carthage » – notamment, pour la préparation du Forum Social Mondial à Tunis en 2013 -, et je pensais sincèrement que le nouveau président allait changer radicalement la manière de présider, qu’il allait faire ce qu’il pouvait pour promouvoir les droits humains, la liberté d’expression contre la nouvelle raison d’État que l’on voyait poindre du côté de la Casbah.

Pourquoi pas la liberté provisoire pour Karim Wade ?

De nombreuses personnes se sont émues de décisions judiciaires intervenues ces dernières semaines, accordant la liberté provisoire à des personnalités inculpées pour diverses infractions. La dernière de ces décisions est celle élargissant de prison l’ancien directeur général du Port de Dakar, Bara Sady. La crainte serait que de telles décisions consacreraient une certaine impunité.

Ben sûr que non ! Dans tout système judiciaire pénal qui se voudrait protecteur des droits de la personne humaine, le principe de la détention provisoire de personnes poursuivies devrait être l’exception et à l’opposé, le bénéfice de la liberté provisoire devrait être la règle. La détention provisoire a surtout été instituée principalement pour des raisons de sûreté.

Sénégal - Grandeur et misères d’une présidence

En dépit de la passion, du bruit et de la fureur qu’ils ont suscités chez certains,politiques ou pas, les Mémoires du Président Diouf ont une valeur inestimable et constituent une mine d’or pour les chercheurs et les historiens. Le parcours exceptionnel de l’homme (Gouverneur à 26 ans, Secrétaire général de la Présidence à 27 ans, Ministre à 32 ans, Premier ministre à 34 ans, Président de la République à 45 ans!), sa longévité au pouvoir justifient amplement que l’on s’attarde sur ses souvenirs, aussi sélectifs soient-ils. 

France : recettes pour une coopération toxique-Par Khady Touré

On a toujours besoin de plus pauvre que soi. Alors que le Sénégal vient d’accueillir le sommet de la francophonie, dernier vestige de l’empire colonial français, il est opportun de faire une radiographie de la politique de coopération française. Grandeur ou décadence ? Quel est donc le vrai visage de la coopération d’un pays qui s’essouffle et régresse au niveau mondial ?

Une coopération moisie 

Sénégal - Table ronde de la LD sur les APE

                        

  Table ronde de la LD sur les APE

1)       Introduction : Pourquoi l’Afrique est elle devenue un enjeu mondial ?

Un rapport publié le 6 mai 2011 par la Banque africaine de développement estime que plus d’un tiers de la population du continent africain (soit 313 millions de personnes) fait à présent partie de la classe moyenne,  avec une consommation quotidienne entre 2 et 20  dollars .

 Cette classe moyenne émergente d’Afrique est à peu près équivalente à celle de l’Inde ou de la Chine.

 L’étude divise cette classe moyenne en trois catégories : la classe moyenne supérieure, classe moyenne inférieure, et une nouvelle catégorie appelée «classe moyenne flottante».

Le XVème Sommet de la Francophonie : Le tournant de Dakar

A partir de Dakar, la Francophonie compte désormais 80 membres, avec l’adhésion du Mexique, du Kosovo et de Costa Rica, dotés de statut « d'observateurs », portant ainsi leur nombre de 20 à 23.

Malgré une participation non représentative de la Francophonie avec 33 pays présents au XVéme Sommet, Dakar marque une nouvelle étape de l’évolution de cette organisation, qui, « d’Agence de coopération culturelle et technique » (Acct) en 1970 lors de sa création à Niamey, était devenue « Organisation intergouvernementale de la Francophonie » en 1998, avant d’être, depuis 2005, «l’Organisation internationale de la francophonie » (Oif) d’aujourd’hui.

Affaire Accelor Mittal :Le Ministre de l’Economie et des Finances ne dit pas tout !

Devant la représentation nationale, le Ministre de l’Economie et des Finances s’est évertué à expliquer, lors de son passage pour défendre les « budgets des pouvoirs publics », les tenants et aboutissants de ce qu’on appelle maintenant au Sénégal, «  Affraire  Mittal ».

Il a réaffirmé que l’Etat a reçu 150 millions de dollars en numéraires  et 50 millions de dollars en   « valeur Etude », soit respectivement 150 milliards de Frans CFA et 25 milliards de Frs CFA.

De ces 150  milliards, il aurait programmé 40 milliards dans la Loi des Finances Rectificatives de 2014, à la place des 45 milliards qui y sont inscrits « noir sur blanc », et 25 milliards dans la Loi des Finances pour 2015 !

 Cela fait donc un total de 65 milliards, au lieu de 75 milliards ! Où sont donc passés les 10 milliards restants ?

De la faiblesse coupable à la cruauté inutile, comment Macky Sall à organisé la faillite des traques !

De la faiblesse coupable à la cruauté inutile, comment Macky Sall à organisé la faillite des traques !
Le cercle des intellectuels soufis constate avec une pointe de déception, que la traque des biens mal acquis est maintenant au point mort et que le rêve d'une république exemplaire s'est brisé au grand jour. Et ce, du fait que Macky Sall a sciemment engagé la reddition des compte avec une faiblisse coupable. Laquelle faiblesse qui se traduit, par l'aménagement d'un régime d'exception des poursuites dans laquelle s'est réfugié certains protégés au grand détriment des menus fretins. C'est cette faiblesse par exemption judiciaire, qui en est arrivé au stade de la "cruauté inutile", qui factoriserait la répression de la délinquance économique par le simple fait, de la détention prolongée de M. Karim Wade, comme un trophée de guerre.

Sénégal - Déclaration d'unification des forces de gauche

Ligue démocratique (LD),

Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT),

Rassemblement des Travailleurs africains-Sénégal/ Pencoo Rééw,

Yoonu Askan Wi / Mouvement pour l’autonomie populaire (YAW),

Observatoire Républicain pour la Démocratie et la Citoyenneté (ORDC),

Union pour la Démocratie et le Fédéralisme/Mbooloo mi (UDF/Mbooloo mi)

Et si la réussite du PSE passait par l’Aéroport AIBD et les Pôles territoires…

 

Le Président Macky SALL s’est engagé à inscrire le pays sur la trajectoire de l'émergence via le Plan Sénégal Émergent (PSE). Ce plan consiste à mettre en place un ensemble de projets structurants à forte valeur ajoutée qui, à long terme, soutiendraient la croissance et l'emploi. Cependant, la réussite d'une telle ambition repose sur la capacité des ressources à mobiliser, l’exploitation de nouveaux leviers de croissance et la mise en place d'une organisation adéquate.

Selon Adam Smith dans la richesse des Nations « Le progrès est indissociable de la division du travail ». Malgré les efforts accomplis par le gouvernement, les exportations restent faibles et très peu diversifiées aussi bien en termes de produits que de destinations. De même, leur valeur ajoutée est réduite et leur part de marché s’est progressivement dégradée, conduisant à une compétitivité insuffisante. Par conséquent, notre économie reste confrontée à un problème structurel d’accélération de sa croissance et d’élargissement de la base de cette croissance. Le diagnostic structurel met en relief l’insuffisance de l’infrastructure économique.

Mais les lois de la République servent à quoi maintenant si elles ne s’appliquent plus à ses contrevenants ?

L’impunité qui perdure, fait renaitre dans la République des réflexes féodaux de « propriétaires terriens » déchus. Des habitués de spéculations foncières et récidivistes invétérés narguent leurs concitoyens, en s’érigeant comme les maîtres absolus de certains terroirs, sans être inquiétés le moins du monde par les autorités compétentes. Cela est rendu possible, parce que simplement, ils bénéficient d’impunité jusque-là, et que la loi ne leur a pas été appliquée dans toute sa rigueur. Il est temps pour l’Etat, de mettre définitivement un terme à de tels agissements, pour que force reste toujours à la loi. Si toutefois, notre pays n’est pas celui où la justice est à deux vitesses, et où les citoyens sont en deux catégories, dont l’une est intouchable.

L’Afrique francophone et l’après Blaise : Joseph, un cas… bila

Au 15ème Sommet de la Francophonie, il y aura des Présidents démocratiquement élus et d’autres qui veulent être éternellement réélus. Dans un contexte d’après-Blaise Compaoré, l’Oif ne manquera pas de se pencher sur les potentiels candidats au mandat de trop. Parmi eux, le Président en exercice sortant, Joseph Kabila qui va passer le témoin à Macky Sall. Une crise politique remettrait en cause l’avenir de tout un continent porté par une République démocratique du Congo.

Sénégal - Réflexion sur les méthodes totalitaristes sournoises du régime de Macky Sall

Macky-Sall-

L’OBS – « …si le régime tout entier et jusqu’à vos non violentes pensées sont conditionnés par une oppression millénaire, votre passiveté ne sert qu’à vous ranger du côté des oppresseurs » J. Paul Sartre, Préface à Franz Fanon, Les Damnés de la Terre)