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Mar, Mai
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Sénégal - Communique front du refus et de la citoyenneté - situation politique nationale

Le Front du refus et de la citoyenneté fustige l’arrêté du gouverneur interdisant toute manifestation générale jusqu'au 5 décembre 2014 et s'indigne de la position du Président de la République Macky Sall et de son ministre de l’intérieur Abdoulaye Daouda Diallo.

C'est de la forfaiture et une confiscation des libertés publiques et individuelles par un régime policier en décadence et dépourvu d'arguments plausibles.Le Sénégal est aujourd'hui entre les mains d'un dictateur pire que Blaise Compaoré , Laurent Bagbo et Yaya djammeh.

"Responsabilités du mouvement étudiant face aux crises de l'école sénégalaise" Par Moctar Sourang

Camarades de toutes les générations du mouvement étudiant,
Mesdames et messieurs les invités

La commémoration qui nous réunit aujourd’hui est un temps de mémoire, une occasion pour rendre hommage à quelqu’un qui dès son adolescence, s’est fort investi dans le combat pour le devenir de l’école sénégalaise, la lutte pour la démocratie et la justice sociale, la bataille pour le mieux-être de son peuple. Jamais son engagement n’a été pris en défaut. Son dévouement et son abnégation ne l’ont quitté qu’à sa mort. Un caractère qu’il a sans doute partagé avec d’autres militants de la cause de l’école en particulier. Et c’est l’occasion de saluer aussi la mémoire des martyrs de l’école sénégalaise. Ils sont nombreux. Ils sont de toutes les générations. 

PAR AMADOU TIDIANE WONE-RECENTRONS LE DÉBAT !

RECENTRONS LE DÉBAT !

Depuis quelques jours, la presse se fait l’écho de plusieurs commentaires relatifs à des propos qu’aurait tenus le Président Abdoulaye Wade dans le cadre d’une réunion privée, celle du Comité directeur du Parti démocratique sénégalais (Pds).

Lorsque certains de ces commentaires sont le fait de personnes en âge de puberté politique, on en sourit et l’on se dit : ça va leur passer. Lorsque d’autres commentaires émanent d’une personnalité dont la si longue carrière politicienne socialiste n’a été véritablement consacrée qu’à l’avènement du Président libéral Abdoulaye Wade, on en rit et l’on se dit : en voilà un qui a perdu une bonne occasion de se taire.

A quand enfin, la baisse du prix du carburant au Sénégal?

« Pour les âmes bien nées, la promesse est toujours une dette, tant qu’elle n’est pas satisfaite! »

Au cours de la campagne électorale de la présidentielle 2012, la coalition BBY avait fait de la cherté  des prix, en particulier celui du carburant, qui est plus cher chez nous, que partout ailleurs dans la sous région, l’un de ses thèmes forts de campagne. Ce qui logiquement, supposait que son prix à la pompe serait vu à la baisse par le nouveau régime, dès que possible parmi les premières mesures à prendre. Surtout, si  l’on sait que le cours mondial du pétrole a baissé en plus. Mais paradoxalement,  et à ce jour encore, le Sénégal est toujours le dernier de la classe dans la sous région, pour ce qui concerne le carburant. C’est vraiment inexplicable ! 

Évolutions récentes de la crise au Burkina

Afin de mieux comprendre  les évènements historiques du 30 Octobre au Burkina, il me paraît nécessaire de   mettre en exerce ce que les évènements du 23 Juin 2011  à Dakar et ceux du   30 Octobre 2014  à Ouaga,  ont eu  en commun, et  ce qui les différencie fondamentalement.

Il s’agit d’abord du motif qui est à la base de ces évènements,  ensuite de leurs significations pour l’avenir, et enfin, la manière dont ils se sont dénoués.

Pour le motif, les peuples du Sénégal  et du Burkina ont fait savoir au monde entier,  qu’autant ils ont élu par leur suffrage leurs Présidents de la République, autant ils ne leur reconnaissent pas un  « Droit à l’imposture », qui les  autoriserait à revenir publiquement  sur leurs engagements, selon leur bon vouloir.

Le Burkina délivré

LE BURKINA DÉLIVRÉ

Inexorablement, le Burkina Faso est plongé dans la spirale de la violence. Chaque heure peut compter dans cet engrenage susceptible de faire basculer le pays dans le pire, d’un moment à l’autre.

Le Président Blaise Compaoré tente vaille que vaille de s‘agripper aux rênes du pouvoir. Sans doute, dans cette ultime phase, pour trouver une salutaire échappatoire dont la forme et le timing font certainement l’objet d’intenses négociations.

Le virus de la négligence !

 

Au Sénégal, les mauvaises conditions d’accueil dans certains hôpitaux, ceux de la capitale notamment, exposent les malades à des risques graves. Beaucoup en sont morts faute d’assistance sociale prompte. La gestion indifférente des urgences portant même quelques fois à la dignité des malades exige une réflexion profonde au nom du respect à la personne humaine.  

Les services d’accueil et les offres de prestation vont défaut dans beaucoup de structures de santé au Sénégal. 

Savoir agir

  Ils sont nombreux les sénégalais dont les cartes d’identité sont confisquées dans les hôpitaux en gage des honoraires dont ils doivent impérativement s’acquitter pour leurs malades: femmes, enfants…   

Faute de pouvoir régler la note, ces pièces d’identité restent en souffrance dans les services administratifs des hôpitaux. Ce phénomène qui existe dans tous les hôpitaux accumule un manque à gagner énorme dans la gestion des structures sanitaires. Mais à qui la faute ? L’Etat, les hôpitaux ou les malades ? En tous cas, les responsabilités semblent partagées. 

Sénégal - Mise en œuvre du pse : l’apprentissage, une voie pour la croissance et l’emploi

Afin d’accélérer son processus de développement, notre pays met en œuvre le Plan Sénégal Émergent (PSE) pour la période 2014-2035 avec le plan d’actions prioritaires (2014-2018) et ses 27 projets phares. Le PSE ambitionne de réaliser un taux annuel de croissance de 7% au minimum pour éradiquer le chômage, contribuant ainsi à l’atteinte de l’objectif de création de 500.000 emplois du Président Macky Sall durant son mandat.

 Compte tenu de l’urgence à répondre aux besoins d’emploi des Sénégalais, des jeunes en particulier, l’apprentissage semble être une voie pertinente pour créer ces 500. 000 emplois. Cette orientation a fait ses preuves dans des pays comme la France où 60% des apprentis trouvent un emploi en CDI à l’issue de leur formation. Il s’avère plus efficace que la formation classique. On entend par apprentissage, la possibilité de poursuivre des études, tout en apprenant un métier sur le terrain. Les apprentis suivent une formation théorique à l’école et bénéficient des savoir-faire de l’organisation qui les emploie.

Quelques commentaires sur le Projet de Loi des Finances Rectificatives adopté le 27 Octobre 2014

L’Assemblée nationale vient d’adopter une nouvelle version du Projet de Loi des Finances Rectificatives, dont la première version était l’objet de mes Observations du 16 Août 2014, qui avaient soulevé beaucoup de commentaires.

Le fait de n’avoir eu cette nouvelle version que le jour de son adoption malgré toutes les démarches que j’ai effectuées et les promesses que j’ai obtenues, m’a empêché de réagir plus tôt, sur ce projet.

Mais comme dit l’adage, il n’est jamais trop tard pour celui qui veut bien faire.

A propos des médias au Sénégal, quelle solution juste et durable ?

Le problème des médias au Sénégal, à partir de l’Alternance 2000, a pris une tournure tout à fait contraire à leurs missions propres, dont celle d’informer vrai et largement les populations, ainsi que leur éducation dans le sens large.  En effet, maintenant ce sont des politiciens véreux encagoulés et des affairistes  aux ambitions politiques dissimulées, complices et suppôts des pouvoirs en place, qui ce se sont accaparé des groupes de médias, à des fins politico-commerciales.

Le Sénégal, 161e pays au monde le plus « Business friendly » - Par Alioune Badara Sy

Le Sénégal, 161e pays au monde le plus « Business friendly » - Par Alioune Badara Sy


Le classement annuel de la Banque mondiale sur les pays où il est plus facile de réaliser des affaires a de quoi donner le sourire au président Macky Sall, qui lors du conseil des ministres du 7 mai 2014, évoquant le prochain classement du « Doing Business », avait demandé au gouvernement dirigé à l’époque par madame Aminata Touré de finaliser tous les textes législatifs et réglementaires requis, pour l’amélioration significative et visible de l’environnement des affaires au Sénégal et in fine d’améliorer le classement du Sénégal dans le rapport Doing Business 2015.

Le Sénégal a gagné 10 places dans le classement Doing Business de la Banque mondiale édition 2015 et gagne le Top 10 mondial des meilleurs pays réformateurs qui ont mis en œuvre un total de 40 réformes facilitant la pratique des affaires. Mieux le Sénégal a initié six réformes des 10 indicateurs suivis par Doing Business soit le plus grand total tout pays de cette année 

LASER DU LUNDI : Quand Blaise biaise avec la bénédiction des Occidentaux (Par Babacar Justin Ndiaye)

Le froid et taciturne Blaise Compaoré qui a brûlé, avec un fusil d’assaut, la cervelle de son ami Thomas Noël Sankara, n’est pas homme à reculer devant un obstacle d’ordre constitutionnel. Il le saute ou le fait sauter, sans états d’âme. Non sans une ruse, une ténacité et un style caractéristiques de la personnalité des pensionnaires du Centre national d’Entrainement des Commandos (CNEC) de Pô. Une manière dire que les « burkinologues » ne sont nullement surpris par le choix du passage en force, nonobstant la clameur montante d’une opinion publique largement hostile à une modification de l’article 37 de la Constitution du Faso.