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jeudi, 25 septembre 2014 00:00

Le Sénégal de la teranga à la weranga (suite et fin)

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Le Sénégal vertueux, humble, sincère et solidaire, uni, dans l'honneur et la témérité, respirait en plein, la Teranga.

Mais a travers, les vicissitudes du temps le pays a connu, graduellement une dégradation, dans ses mœurs, allant crescendo, pour atteindre un niveau, dont le retour sera une véritable gageure.

La diffusion de l'Islam a été facilitée parce que toutes les vertus traditionnelles, épousaient, totalement les principes coraniques; et le <diviser pour régner> viscéral, du colon n'aura pas pu déstabiliser outre mesure la cohésion du pays;


Mamadou Dia au cours de Loi-cadre avait fortement redresse les mentalités; Senghor  tente de garder l'éthique dans tous ses errements, et  souvent  , il a su prendre ses responsabilités, comme  pour laisser exécuter, la peine de mort pour le fragrant délit de l'assassinat de Demba Diop,< ADF>, le bourreau des bergers de Louga <S.C> et  de celui qui aurait tente de mettre fin a sa vie; L'impunité aurait démarre avec la force tranquille qui a souvent laisse faire; avec l'Alternance ce sera le comble.

S'il y a 3 manières de tuer un homme, l'arme, le poison et la détérioration des mœurs, c'est cette dernière que l'Alternance aura choisi pour détruire l'homo-Sénégalensus, du pays de la Teranga, pour y installer la barbarie de la weranga (déballage); tout se traite dans la rue et dans les dossiers les plus sensibles, dans l'armée, la police, la magistrature et plus inadmissible , dans les hautes sphères des secrets d'Etat; vols simples ou a mains armées, pédophilies et violes criminels, parricides , matricides , génocides ; par ailleurs, des hommes ne veulent plus restes hommes , des femmes se considèrent hommes, les bébés se ramassent dans les rues, les toilettes et les égouts ,les agressions criminelles, que des forces de l'ordre soient pourchasses a coups de pierres par bandits cagoules en étudiants ;  en légitime défense certes, ils confondent souvent leur rôle pour utiliser des balles réelles, comme a la guerre et c'est la récurrence qui est diabolique chez les artisans de la protection civile ; l'autre drame c'est le pillage des maigres ressources du pays  par les criminels économiques, qui ont vide les casses de l'Etat ,au profit des paradis fiscaux ou des châteaux à l'Etranger relayes par les  amplificateurs viscéralement presses pour mettre à nu ces horreurs apatrides.
 
Le traitement sera une véritable  gageure, parce que la plaie est profonde et couvre   tous les démembrements de la République : si le bras a failli l'on en punit la tète, disait l'autre ;les guides religieux doivent retourner a leur référence le Coran et notamment relire souvent le verset de la famille d'Imran dans ses sourates 14 sur les biens de monde et 26 sur la nomination des dirigeants de ce monde  pour se départir de leur nom péjore de chefs religieux , et exploiter leur potentiel électoral, pour prendre en otage les malheureux gouvernants ;le Sénégal par ailleurs devra éviter dans leur langage les mots <fal > et <ngour> pour utiliser <tann> et <ndjit>pour élire les présidents , car la confusion est presque automatique, chez les tenants de régimes, quand de plus en plus, le peuple, en cerne la différence  pour ne plus se laisser faire ;malheur aux présidents qui ne sauraient anticiper sur la demande sociale dont la sécurité est devenue la priorité des priorités et de transférer la  peur chez les tueurs surtout les flagrants délits afin de barrer la vendit populaire qui rame a grandes brasses.
 
Amadou Diao  NDIAYE
Une voix du 3e âge

source:http://www.sudonline.sn/le-senegal-de-la-teranga-a-la-weranga-suite-et-fin_a_20928.html

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Lu 26476 fois Dernière modification le jeudi, 25 septembre 2014 21:31

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