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News (1036)

Les informations  générales et dépêches  publiées

LA PRESSE


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Sénégal
 
Wednesday, February 26, 2014

The president of the Republic, His Excellency Sheikh Professor Alhaji Dr. Yahya Jammeh, has boosted mobility in government with a donation on Tuesday of 21 vehicles for various ministries and institutions.

 

The keys to the Ford Saloon marked vehicles were presented to nine beneficiaries by the vice president and Women’s Affairs minister, Her Excellency Aja Dr. Isatou Njie-Saidy, on behalf of the benefactor during a ceremony held at State House.

 

Out of the total package, the Ministry of Justice was given five vehicles, whilst the Office of the President (OP), Food Safety and Quality Authority (FSQA) and the Ministry of Foreign Affairs each received three vehicles.

Madame Yamina Benguigi, Ministre Déléguée chargée de la Francophonie, Représentante de la France, pays hôte,

Mesdames, Messieurs les Ministres,
Monsieur le Vice-Président de la Banque mondiale,
Monsieur le Vice-Président de la Banque africaine de développement,
Monsieur le Vice-Président de la Banque islamique de développement,
Monsieur le Président de la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine,
Monsieur le Commissaire européen au développement,
Monsieur le Président de la Banque Ouest- Africaine de développement,
Monsieur l’Administrateur Assistant et Directeur du Bureau régional du PNUD pour l’Afrique,

L’érection du français comme langue officielle au détriment des langues nationales est un facteur d’exclusion, car 90 % des Sénégalais ne la parlent pas, a indiqué la juriste Fatou Kiné Camara.

Au Sénégal, 21 langues ont été codifiées à ce jour et parmi elles, 6 sont érigées au rang de langues nationales. Il s’agit du Malinké, du Diola, du Pulaar, du Sérère, du Soninké et du Wolof. Au même moment, c’est le français qui est considérée comme la langue officielle, alors que 10 % seulement des Sénégalais la parlent, selon des statistiques publiées en 2006.
Pour la juriste Fatou Kiné Camara, cette situation est un facteur d’exclusion. « La langue officielle, c’est la langue d’instruction dans les écoles, c’est la langue des débats législatifs et de la participation civique, du commerce. Cela veut dire donc que ceux qui ne parlent pas la langue officielle sont exclus », a-t-elle soutenu lors d’une table-ronde sur « les expériences de traduction et d’interprétation en milieux multilingues ». Cette activité, qui entre  dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la langue maternelle, était organisée par le réseau Lexicologie, terminologie, traduction (Ltt). 

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En défendant son budget devant l’Assemblée nationale en 2012, Aminata Touré alors garde des sceaux, ministre de la justice avait annoncé la volonté du gouvernement de dissoudre la Cour de répression de l’enrichissement illicite et la mise en place d’une nouvelle cour contre les crimes économiques et financiers. Le projet de loi qui modifie la loi n 81-54 du 10 Juillet 1981 créant une cour de répression de l’enrichissement illicite est fin prêt. ‘’L’observateur’’ livre ainsi ce qui va changer de la CREI devenue CRIEF. Un changement qui intervient au moment où le conseil constitutionnel se penche sur la constitutionnalité ou non de la CREI à l’origine de l’incarcération de Karim Wade.

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iGFM (Dakar) Cheikh Tidiane Gadio n’a pas apprécié l’absence du Sénégal à la réunion de chefs d'Etats sur le Sahel tenue à Nouakchott (Mauritanie) dimanche dernier. Pourtant à l’en croire, « depuis toujours, le Sénégal a fait partie du Sahel. Depuis que la bande sahélienne existe, le Sénégal en a fait partie.
Pourquoi notre pays n’a pas été associé à cette rencontre qui a réuni la Mauritanie, le Mali, le Niger, le Tchad et le Burkina Faso. 

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La Fondation Friedrich Hebert-Stiftung (Fes) a rendu publique, en présence de Alioune Dramé, directeur de la Communication, une étude intitulée « Le Baromètre des médias africains » avec pour cible le Sénégal. Ce travail est une analyse qui permet d’évaluer l’environnement médiatique d’un pays, tout en servant d’instrument de lobbying pour les réformes à venir. A la lumière de ce rapport, il ressort que beaucoup d’entreprises ne respectent pas la convention collective qui demeure du reste caduque.
Le Baromètre des médias africains (Bma) est un critère d’auto-évaluation. Ainsi, entre les 10 et 12 mai 2013 à Saly, des spécialistes sénégalais se sont retrouvés, pendant une journée et demi, afin de discuter de l’environnement médiatique de ce pays, à travers 39 indicateurs prédéterminés (questions). Pour le Sénégal, cette réunion a regroupé autour du rapporteur Fatou Jagne Senghore, du modérateur Souleymane Niang, directeur de la West africa radio democracy (Wadr), des hommes de médias comme Mme Awa Tamba, Abdou Ndao, Ibrahima Biaye, Ibrahima Khalil Ndiaye, Cheikh Thiam. A ces hommes des médias se sont ajoutées des personnes ressources de la Société civile comme Matar Sall, Pr Fatou Sarr Sow, Mme Voré Gana Seck, M. Boubacar Seck et Amadou Kanouté. 

Le ministre de l'Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, a effectué du 2 au 4 février 2014, une visite de travail conjointe avec les responsables du PAM Sénégal  sur les expériences de pérennisation du programme d'alimentation scolaire intégré Cantine Scolaire / Champs communautaires, dans les régions de Kaolack (Village de Keur Yoro Khodia, département de Nioro) et de Kédougou (Village de Banda fassi, département de Kédougou). Accompagné  de la directrice résidente du Programme alimentaire mondial (Pam), Ingeborg Maria Breuer,  M. Serigne Mbaye Thiam a salué les résultats enregistrés par ce projet qui favorise l'acquisition de denrées alimentaires au niveau local pour l'approvisionnement des cantines scolaires


Lui-même atteint par la limite d'âge, Amadou Moctar Mbow a présenté le 13 février dernier un avant-projet sommaire frappé de beaucoup d'insuffisances morales, portant toutes sur des limitations : la République qu'il a imaginée pour la réforme des institutions au Sénégal est pire que celle de Weimar et les limites imposées par le nonagénaire dénient tout pouvoir au peuple souverain. Après 17 mois de "concertations" short-listées autour de la réforme des institutions du Sénégal, la commission Mbow a présenté son rapport au président de la République Macky Sall le 11 février dernier. L'avant-projet sommaire (Aps) ainsi produit s'est voulu une synthèse des conclusions des  assises nationales (Premier juin 2008 au 24 mai 2009) et du programme "Yonnu yokkute" du candidat Macky Sall à la présidentielle de 2012, autant dire de profession de foi de candidats non encore élus et de l'élu qui a rejeté son programme ; il est en conséquence peu probable qu'il soit suivi d'un avant-projet détaillé (Apd) et du projet lui-même.

« L’enseignement des sciences dans les langues nationales : problèmes et perspectives ». Tel est l’intitulé de la conférence organisée, hier, à Thiès. Une occasion pour le ministre de l’Enseignement supérieur, Mary Teuw Niane, de déclarer que cet objectif est réalisable au Sénégal.

La Fondation Léopold Sédar Senghor, en collaboration avec l’Université de Thiès, a organisé, hier, une conférence sur l’enseignement  des sciences dans les langues africaines. Un moment d’échanges pointus entre universitaires. Le  ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane, a saisi l’occasion pour qualifier la décision de majeure,  en ce sens que « cette conférence est une synthèse d’une directive issue de la Concertation nationale sur l’avenir de l’enseignement supérieur consolidée par un conseil présidentiel », a-t-il souligné.

Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ, et le Commissaire européen en charge du Développement, Andris Piebalgs, ont signé, hier, la convention de financement du projet d’assainissement et de restructuration urbaine de Hann et Petit Mbao. Ce programme d’un montant de 12,8 milliards de FCfa va changer le visage de ces deux villages confrontés à un sérieux problème d’aménagement urbain.
Insalubrité, étroitesse des rues, promiscuité, exutoires anarchiques, plages sales, problème d’accès, inondations, absence d’infrastructures de base, d’équipements collectifs et de réseaux d’assainissement, etc. La carte postale à laquelle renvoient les villages de Hann et Petit Mbao, à travers le diaporama qu’a fait défiler le directeur technique de la Fondation Droit à la ville, Ousmane Mbodji, devant les ministres Amadou Bâ et Khoudia Mbaye, en présence de la délégation de l’Union européenne conduite par Andris Piebalgs, n’est pas belle à voir.