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Mar, Mai
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La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

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Sénégal

Le ministre de l’Education nationale porte à 8 000 le nombre de personnes recrutées dans la Fonction publique. 808 professeurs, 100 vacataires et 2 188 maitres stagiaires ont été recrutés pour renforcer le système éducatif. Mamadou lamine Dianté, secrétaire général du Syndicat autonome des enseignants du moyen et secondaire du Sénégal (SAEMSS-CUSEMS) estime que la Fastef a été laissée en rade et assimile cela à un «recrutement politicien».

C’est un bol d’air frais  pour les jeunes sénégalais. Le nombre de personnes recruté dans la fonction publique est passé de 5 500 à 8 mille personnes. C’est le ministre de l’Education Nationale, Serigne Mbaye Thiam a annoncé, en complément des recrutements des 5 500 en cours dans la Fonction publique que 808 professeurs et 100 vacataires pour les disciplines en péril (mathématiques et philosophie) ont été recrutés au niveau du moyen et du secondaire. En plus de cela, 2 188 maîtres stagiaires ont été aussi recrutés pour le compte de l’élémentaire. Ces recrutements dans l’enseignement moyen, secondaire et élémentaire portent ainsi le nombre d’agents recrutés dans la fonction publique à plus 8 mille personnes.

La rationalisation des dépenses courantes de l’Etat a été inscrite en bonne place dans la communication du Président Macky Sall, hier jeudi, en conseil des ministres. Après avoir rappelé au Gouvernement «l’impératif de l’abandon des conventions à usage de logements pour les agents publics», le Président Macky Sall a « exigé » de l’équipe de Mimi Touré une politique de sobriété dans les dépenses.

Hier, jeudi, la première communication du Président Macky Sall en réunion du conseil des ministres a porté sur la «rationalisation des dépenses courantes de l’Etat». C’est ainsi que le Chef de l’Etat a exigé du Gouvernement «qu’il mette en œuvre une politique hardie de réduction notable des consommations d’électricité et d’eau des administrations, ainsi que des frais occasionnées par les déplacements tant à l’étranger, qu’à l’intérieur du pays». 

La liste des co-prévenus de Karim Wade qui ont bénéficié d’une mise en liberté provisoire s’est rallongée ce mardi. Après Mbaye Ndiaye, et Bibo Bourgi, placés sous contrôle judiciaire depuis quelques mois pour des raisons de santé incompatible aux conditions de détention, trois autres complices présumés de Karim Wade dans l’affaire d’enrichissement illicite pour laquelle les poursuit la Crei, ont bénéficié d’une mesure similaire.

En effet, à l’issue de l’audition du dossier dans le fond, dont la phase d’instruction était arrivée à terme ce jeudi 17 octobre, MM. Cheikh Diallo, l’administrateur du groupe de presse Cd Média, Pierre Agbogba et Boubacar Konaté ont pu humer l’air de la liberté. 

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Le groupe parlementaire de la Coalition Benno Bokk Yakaar (BBY) a dans un communiqué dont nous avons reçu copie fait savoir la suspension  du député Cheikh Diop Dione du groupe de la majorité parlementaire ainsi que le remplacement de la députée Mame Khary Mbacké par Khady Gaye.*

 «L’argent trouvé dans le compte de Karim Wade à Monaco est un don que m’a fait un dirigeant d’un pays arabe», écrit l’ancien Président Abdoulaye Wade dans une attestation qui blanchit, à ses yeux, son fils dans l’affaire des 99 milliards retrouvés dans un des comptes de l’ancien ministre ouverts à Monaco.

Karim Wade doit répondre à sa deuxième mise en demeure, aujourd’hui, avant midi. Il passera donc à la Crei, avant d’y retourner jeudi pour être entendu sur le fond du dossier par la Commission d’instruction.

Karim Wade est attendu aujourd’hui à la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Le fils de l’ancien Président doit déposer la réponse à la deuxième mise en demeure que lui a servie le Procureur spécial, suite aux découvertes de comptes bancaires à Monaco principalement par des délégations judiciaires.

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La guéguerre entre la coalition Bennoo Bokk Yaakaar et Rewmi risque de repartir de plus belle à la prochaine plénière de l’Assemblée nationale. Débouté dans sa première tentative de création de son propre groupe parlementaire pour insuffisance du quota requis (10 députés), lors de l’ouverture de la session ordinaire unique de l’année 2013-2014 qui s’est tenue  vendredi dernier, le parti d’Idrissa Seck semble avoir repris des couleurs après avoir enrôlé Khadim Thioune de Mps/Faxas et Seynabou Wade de Bokk Gis Gis, deux députés non-inscrits , et constaté en outre la démission de la parlementaire Mame Khary Mbacké qui lâche la majorité pour la formation orange du maire de Thiès. 

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Le président de la République, Macky Sall, s'engage résolument à combattre les inégalités sous toutes leurs formes. Après le lancement du Programme national de la Couverture maladie universelle et le démarrage de la gratuité des soins pour les enfants de moins 5 ans, c’était au tour des bourses de sécurité familiale dont les premières cartes ont été remises aux bénéficiaires, hier, à Taïba Ndiaye. Cette politique de l’Etat s'inscrit dans la réduction des inégalités.

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Envoyé spécial à Abidjan - Les Lions rencontrent cet après-midi à Abidjan la Côte d’Ivoire en match aller qualificatif pour le dernier tour du Mondial 2014. Des retrouvailles, un an après la dernière confrontation entre les deux formations au stade Senghor, lors des éliminatoires de la Can 2013, sanctionnées par une double victoire des Eléphants.

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À l’épreuve de la « rupture », la 12ème législature qui focalisait toutes les attentes de Sénégalais en quête d’un nouveau dynamisme dans le travail parlementaire a montré un visage « énigmatique » hier, vendredi 11 octobre 2013, à l’ouverture de la session ordinaire unique de l’année 2013-2014. Face à un président de l’Assemblée nationale qui a royalement « zappé » les attentes criardes de ses concitoyens, figeant son discours d’installation sur le bien-être des députés, en termes de bourses d’études et/ou d’hôtel pour les parlementaires, au retour de la politique politicienne pour débaucher des membres de l’autre camp (Rewmi) et l’empêcher d’avoir son propre groupe parlementaire, l’hémicycle a renoué avec la posture des législatures longtemps décriées au Sénégal. Comme si, après une année seulement d’exercice parlementaire, d’ailleurs parsemée de zones d’ombres, la majorité reléguait la « rupture »…aux calendes grecques !