Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

03
Ven, Mai
0 Nouveaux Articles

Afficher les éléments par tag : Présidentielle 2019

L’opposition sénégalaise travaille à mettre en œuvre une pluralité de candidats, lors de la présidentielle de 2019, pour bouter hors du pouvoir le régime du président Macky Sall. C’est le moins que l’on puisse dire, au vu des positions toutes tranchées des uns et des autres sur la question de la candidature plurielle de l’opposition. Que ce soit le président du parti Patriotes du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef/Les Patriotes), Ousmane Sonko, le chargé des élections du parti les Libéraux démocrates réformateurs (Lrd/Yessal), Mouhamadou Faye, le député du Parti pour l’unité et le rassemblement (Pur), El Hadj Issa Sall, le porte-parole du Front pour le socialisme et la démocratie/Benno Jubël (Fsd/B), Ndongo Diaw, ou encore Mamadou Diop Decroix, le patron d’And-Jef/Pads, tous s’accordent sur la nécessité pour l’opposition de présenter des candidatures plurielles.

Publié dans La Une de la Presse

Les partis de l’opposition dite «significative» et les membres du Front “Initiative pour des élections démocratiques“ (Ied) ont battu le macadam hier, vendredi 9 février, à Dakar. A tour de rôle, devant des militants et sympathisants venus nombreux à la marche de protestation, les leaders des différents partis présents ont réclamé des élections démocratiques et transparentes, non sans tirer à boulets rouges sur le régime en place. Après avoir refusé de participer au dialogue politique initié par le gouvernement, à cause d’un «manque de confiance» envers le chef de l’Etat, Macky Sall et son régime, l’opposition dite «radicale» s’est exprimée sur l’essentiel des sujets débattus lors desdites concertations.

Publié dans La Une de la Presse

10 ANS DE L'ALTERNANCE

 Le député-maire de Dakar, Khalifa Sall a introduit hier, vendredi, sa énième demande de mise en liberté provisoire dans le cadre de l’affaire de la caisse d’avance de la mairie de Dakar pour laquelle il est en détention préventive, depuis le 7 mars dernier. La requête de la demande de mise en liberté provisoire a été formulée par Me Ciré Clédor Ly alors qu’il faisait sa plaidoirie sur les exceptions de nullité de la procédure et surtout sur la détention qualifiée d’arbitraire du maire de Dakar. Devant le tribunal, la robe noire rappelant plusieurs violations des droits de ses clients et de la défense depuis les enquêtes préliminaires jusqu’à la prise par le juge d’instruction de l’ordonnance de renvoi, a indiqué que le maintien de Khalifa Sall en prison dans ces conditions constituera une détention arbitraire. Sous ce rapport, il a remis à nouveau au président du tribunal un dossier contenant la liste des immeubles mis à la disposition de la justice comme cautionnement. «Dès la proclamation des résultats par le Conseil constitutionnel, la détention de Khalifa Sall était devenue arbitraire».

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

 En route vers le palais de la République en 2019, Idrissa Seck ne devrait pas seulement se confronter à Macky Sall, l’actuel chef de l’Etat, ou autre candidat du Pds. Celui qui tend de plus en plus à s’emparer de la coalition Mankoo Taxawu Senegaal, avec les déboires de Khalifa Sall devant dame justice, semble être aussi appelé à franchir l’écueil Malick Gakou. Un leader de parti dont les cadres se sont empressés hier, jeudi, de renouveler leur engagement à sa candidature pour 2019, en finançant la caution nécessaire de 65 millions à l’élection présidentielle.

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

 Le maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, devra encore patienter pour son procès. En effet, juste après la réouverture de l’audience hier, mercredi 3 janvier, ses conseils ont fait état de failles dans la procédure qu’ils ont exploité à fond. Ces robes noires ont souligné le non respect de l'article 174 du Code de procédure pénale qui dispose que les avis doivent être mis à la disposition de toutes les parties, ce qui n'a pas été le cas, obligeant le président du tribunal, Malick Lamotte, à renvoyer l’audience jusqu’au 23 janvier prochain. Le procès en audience spéciale du maire de Dakar, suspendu après la première audience le jeudi 14 décembre dernier, est à nouveau renvoyé jusqu’au 23 janvier prochain par la Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance Hors Classe de Dakar. Ce report est survenu après une demande de la défense qui, pour plusieurs raisons a demandé hier, mercredi 3 janvier, le renvoi du procès à une date ultérieure.

Publié dans La Une de la Presse

Tout n'est pas rose à Diourbel. La commune fait partie des localités les plus en retard du Sénégal. Voilà qui est l'avis du Moddel. Le Moddel ou '' Mouvement Diourbellois pour le Développement Local '' accuse les dirigeants qui se sont succédé à la tête de la commune et du département et les traite de '' leaders fantômes ''. À en croire Abdou Aziz Bassel, le Président de la structure, le taux de pauvreté a fini d'atteindre des proportions inquiétantes dans l'agglomération. '' Ce qui nécessite, dit-il, une prise en charge efficace et urgente des préoccupations des populations ''.

Publié dans POLITIQUE

Khalifa Sall avait besoin de soutien et non d'une exclusion. Ce que le parti socialiste vient de faire derrière le dos du maire de Dakar alors qu'il est en prison n'est rien d'autre que de la trahison. Cheikh Guèye, maire de Dieuppeul/Derklé qui se prononce sur l'exclusion de Khalifa Sall, estime que c'est anti-démocratique et contraire aux valeurs cardinales qu'incarne le parti socialiste.

Publié dans POLITIQUE

 En appelant au dialogue politique, le chef de l’État, Macky Sall, serait dans une stratégie de communication, mais rien d’autre. C’est ce que se semble dire, en substance, l’ex-porte-parole du parti Rewmi, non moins patron du mouvement politique Alliance générationnelle pour les intérêts de la République (Agir), nouvellement porté sur les fonds baptismaux. Dans cet entretien accordé à Sud Quotidien, Thierno Bocoum pense que le président Macky Sall veut juste donner l’impression d’un président d’ouverture mais il n’y a «rien de sérieux» dans le dialogue lancé. Cela, même s’il estime qu’il y a lieu de se mettre autour d’une table pour discuter du processus électoral. Il n’a pas manqué d’afficher ses ambitions politiques non sans indiquer clairement que, pour rien au monde, il ne soutiendra le régime actuel en cas de second tours à la présidentielle de 2019.  Lors du lancement de votre mouvement politique, Alliance générationnelle pour les intérêts de la République (Agir), vous avez dénoncé la mise sous écoute des opposants par le régime de Macky Sall. Sur quoi vous fondez-vous pour faire de telles révélations?

Publié dans POLITIQUE

Les rebelles socialistes ouvrent un nouveau front dans leur combat contre la direction du Ps.

Ils ont décidé de mettre le parti devant le fait accompli en faisant de Khalifa Sall leur candidat pour 2019.

On ne connaît pas encore l’issue de son procès qui a démarré hier, par contre on sait que le député-maire de Dakar sera candidat à l’élection présidentielle de 2019. Khalifa Sall sera investi candidat du Parti socialiste (Ps) ce samedi à Kaolack par les militants socialistes qui sont lui favorables. «Le Ps compte aller compétition en 2019, et nous souhaitons investir Khalifa Sall candidat du Ps pour la présidentielle de 2019 et ensuite nous allons discuter avec nos alliés», déclare Barthélémy Dias, ajoutant qu’ils n’accepteront jamais qu’on interdise à leur candidat de briguer le suffrage universel.

Publié dans La Une de la Presse