MACKY SALL SUR LA REDUCTION DE MANDAT PRESIDENTIEL DE 7 A 5 ANS :« Je ne suis pas un homme du genre à se dédire »
Devant les élus locaux de l’Alliance pour la République (Apr) reçus mardi dernier, le chef de l’Etat a réaffirmé sa ferme décision de réduire son mandat de 7 à 5 ans. « Je ne suis pas un homme du genre à se dédire », a-t-il dit.
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Photos choquantes: l’arrivée de clandestins africains provoque une alerte au virus Ebola sur une plage nudiste. Regardez
L’arrivée d’un groupe de migrants sur une plage des Canaries a créé la panique chez les touristes. Les Africains présentaient des symptômes du virus de la fièvre hémorragique.
Les vacanciers nudistes qui se prélassaient sur une plage de l’archipel des Canaries, en Espagne, ont eu une sacrée frayeur. Ils ont découvert, mercredi, une vingtaine de migrants débarquer sur un petit bateau dans l’espoir de trouver une vie meilleure.
Ebola : Toujours en colère à cause de la fermeture des frontières, Alpha Condé menace d'affamer le Sénégal
S'il y a quelqu'un que la fermeture des frontières avec la Guinée met hors de lui, c'est bien Alpha Condé. Malgré ses dénégations, il est évident que le Président guinéen a toujours une dent contre le Sénégal. Aussi, menace-t-il de nous couper les vivres en mettant fin à l'exportation de certaines denrées qui nous viennent de son pays. M. Condé s'exprimait lors d'une tournée économique tenue ce weekend à Kamsar.
"Ils (les Sénégalais) nous ferment leurs frontières alors que c'est nous qui les nourrissons. Laissons-les. Ne les insultons pas et ne les en voulons pas. Nous sommes des panafricains.
AHF Mourns Liberia’s Dr. Taban Dada; Urges African Union and W.H.O. to Accelerate Ebola Response
(BUSINESS WIRE)-- The AIDS Healthcare Foundation (AHF) mourns the loss of another Doctor, Dr. John Taban Dada, who died due to Ebola Virus Disease (EVD) in West Africa. Dr. Dada, a Ugandan national, succumbed to the Disease on 9th October 2014 in Monrovia, Liberia. By the time of his death, Dr. Dada was working at Liberia’s largest hospital, JF Kennedy Memorial Center, and was consulting with the AIDS Healthcare Foundation partner in HIV service provision, People Associated for People’s Assistance (PAPA).
Ebola: l'aide doit aller plus vite pour éviter "un autre sida"
Washington, 9 oct 2014 (AFP) - La réponse internationale à Ebola n'est pas assez rapide pour enrayer la progression de l'épidémie, un fléau sans précédent depuis l'apparition du sida, ont estimé jeudi des responsables de pays et d'institutions confrontés à la maladie.
Ébola va causer des dégâts de 32 milliards
Vaste mouvement en vue dans la magistrature
Prévu et reporté à plusieurs reprises, le conseil supérieur de la magistrature pourrait se tenir la semaine prochaine. Nos radars scotchés au Palais de Justice sont formels sur cette date, à moins d’un cas de force majeure.
Pr Awa Marie Coll Seck sur la fievre ebola « le risque de dissémination à partir du cas importé est nul au Sénégal »
La Une du Populaire – Le Sénégal débarrassé d’ebola - guéri, Ébo rentre en guinée, les 74 cas contacts négatifs
Téméraire voleur de…
Un homme, d’une rare témérité, a surpris hier plus d'un, lors de la deuxième incinération de la drogue aux Mamelles. L’homme qui s’est infiltré au niveau du lieu d’incinération a tenté de dérober un cornet de cocaïne devant les forces de l’ordre. Son modus operandi consistait à faire semblant d’aider les nombreux policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers, déployés sur les lieux à mettre à feu la drogue saisie. Mais sa stratégie n’a pas pu prospérer devant la vigilance des flics qui, quand même, étaient aussi nombreux qu’un contingent anti-drogue sur cet espace des Mamelles. Et comme il fallait s’y attendre, le gus a été pris la main dans le sac. En effet, un officier de la police qui observait les gestes suspects de l’homme a attendu le moment où il s’y attendait le moins pour l’interpeller en ces termes : «Hey ! Qu’est-ce que tu fais là ?».
Rentré en Guinée, hier : Mamadou Aliou Diallo, nouveau combattant d’ébola
Il est heureux comme un môme. Après avoir presque frôlé la mort, le malade guinéen affiche un sourire béat au moment de prendre l’avion pour retrouver son pays ravagé par le virus ébola.
Sourire gêné, il présente ses excuses au Peuple sénégalais : «Je suis sincèrement désolé. Je ne voulais pas importer le virus au Sénégal.» Visage juvénile, voix cassée par un trémolo, Mamadou Aliou Diallo s’est confondu en remerciements au moment de dire adieu à cette terre qui l’a sauvé.
ENGAGEMENT - Riposte internationale contre ébola : La Banque mondiale offre plus de 52 milliards
La Guinée, le Liberia et la Sierra Leone vont recevoir plus de 52 milliards de francs Cfa pour lutter contre l’épidémie de la fièvre ébola. Le Conseil d’administration du groupe de la Banque mondiale a approuvé hier à Washington ce don.
Dans le cadre d’une riposte internationale coordonnée par les Nations-Unies et l’Oms contre l’épidémie de la fièvre ébola, le groupe de la Banque mondiale va faire un don de 105 millions de dollars (52 milliards F Cfa). Le Conseil des administrateurs a approuvé hier à Washington ce projet pour «financer les initiatives en cours visant à endiguer l’épidémie de la fièvre ébola en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone», informe un communiqué. Ces fonds doivent aider «les familles et les populations à faire face aux conséquences économiques de la crise et contribueront aussi à rétablir et renforcer les systèmes de santé publique de ces trois pays les plus touchés pour éviter de futures flambées épidémiques».
Ebola : entre offensive internationale et réactions mitigées de bon voisinage
La fièvre Ebola est en train de faire bouger toute la sous région, l'Afrique et le monde. Parmi les plus fraîches réactions, le Cameroun et le Cap-Vert qui se barricadent, fermant hermétiquement leurs frontières aériennes avec le Sénégal. Même si l'Union africaine (Ua) exhorte ses Etats membres à lever toutes les restrictions aux voyages que certains pays ont déjà prises, la grande offensive contre le virus Ebola n'a pas encore atteint toute la dynamique à la hauteur de l'épidémie ennemie.
Le Libéria qui vient de lancer l'alerte en posant devant les instances onusiennes la question de survie de sa population qui est décimée actuellement jusque dans la capitale Monrovia a de quoi engager une course contre la montre pour vaincre le monstre. Et toute porte à croire qu'un dispositif de guerre est déjà engagé. La riposte doit être à la dimension du péril international et avoir la capacité de mobiliser l'expertise médicale et pharmaceutique, la logistique et les moyens financiers pour juguler le mal.