Le Directeur de publication de La Tribune, Félix Nzalé, sera jugé en flagrant délit demain. Il est poursuivi pour diffusion de fausses nouvelles, suite à la publication dans son journal de l’information selon laquelle cinq (5) cas de fièvre à virus Ebola seraient enregistrés au Sénégal.
Félix Nzalé, le directeur de publication de quotidien du groupe D-Médias, La Tribune, a été entendu et placé sous mandat hier, mardi 12 août 2014, par le juge. Cette arrestation intervient 24h après la publication, (lundi 11 août 2014) à la «Une» du journal d’un article intitulé : «Alerte: 5 cas d’Ebola au Sénégal». Il sera jugé en flagrant délit au Palais de justice Lat Dior de Dakar pour diffusion de «fausse information», demain. Tout est parti de ce fameux virus appelé «Ebola» qui met en haleine tout le monde entier depuis quelques mois. La fièvre hémorragique à virus Ebola est déjà présente dans au moins trois pays de l’Afrique de l’Ouest (Guinée, Libéria, Sierra Leone) et a dépassé la barre des mille morts.
Le ministre de la Santé et de l’action sociale a soutenu mordicus qu’aucun cas confirmé de fièvre hémorragique à virus Ebola n’a été jusque-là enregistré au Sénégal. Awa Marie Coll Seck qui s’exprimait, au terme d’une réunion consacrée à la fièvre Ebola hier, lundi 11 août 2014, a par ailleurs fait part de la prise de mesures de contrôle systématique des avions et autres bateaux à destination de Dakar, tout en n’envisageant pas une quelconque fermeture.
Un autre cas suspect de fièvre à virus ébola est revenu négatif hier, suite à des prélèvements effectués chez un malade, qui présentait les mêmes symptômes et mis en quarantaine à l’hôpital de Fann. Mais les autorités médicales du pays retiennent leur souffle, relativement à un autre cas relevé à Ourossogui et dont les résultats des prélèvements sont attendus dans les prochaines heures.
La fièvre hémorragique à virus ébola a le don de pouvoir mettre tout un pays en alerte maximale. Depuis son apparition en mars en Guinée forestière, le Sénégal ne dort plus que d’un seul œil. La fulgurance du mal dans d’autres pays de la zone ouest-africaine comme le Liberia ou encore la Sierra-Leone ne laisse pas indifférents Awa Marie Coll Seck et ses services.
L’Organisation mondiale de la santé a décrété la mobilisation mondiale contre l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui frappe l’Afrique de l’Ouest, en instituant vendredi « une urgence de santé publique de portée mondiale ».
Le comité d’urgence, qui s’est réuni mercredi et jeudi à Genève, a été « unanime pour considérer que les conditions d’une urgence de santé publique de portée mondiale sont réunies », a déclaré vendredi devant la presse le Dr Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation.
«Cette épidémie est sans précédent, absolument pas sous contrôle et la situation ne fait qu'empirer puisqu'elle s'étend encore, avec des foyers très importants….»
Directeur de Médecins sans Frontières
Partie de Guinée en début 2014, puis s’étendant au Libéria, Sierra Leone, Nigeria, l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola qui se répand vertigineusement est devenue la plaie sanitaire de toute la région. Ébola fait partie des maladies virales les plus graves connues chez l’homme.
Une tumeur bénigne dans la mâchoire inférieure d’un Indien de 17 ans contenait 232 dents de tailles variées. Une opération de près de sept heures à Bombay a permis de le guérir de ce mal qui l’affectait depuis 18 mois.
Ne vous plaignez plus jamais de vos quatre dents de sagesse, Ashik Gavai s’est fait retirer un total de… 232 dents. Selon la BBC, cet Indien de 17 ans a été opéré à Bombay lundi 21 juillet et il a fallu près de sept heures aux chirurgiens pour retirer toute cette matière. Avec autant de mini dents retirées, les médecins pensent avoir affaire à un record du monde.
iGFM- (Dakar) Au Kenya, une étudiante a révélé qu’elle aurait infecté 324 hommes au total, avec le Virus du VIH-sida. La fille séropositive, qui étudie à l’université Kabarak à Nakuru, a dite avoir été infectée par un homme lors d’une soirée à un hôtel. La jeune inconnue de 19 ans espère infecter 2000 hommes au total pour prendre sa revanche.
Selon les rapports:
La jeune fille aurait contacté la page Facebook des scandales kenyans et aurait affirmé qu’elle avait quelque chose à avouer.
A moins d’un mois de la Oumra, prévue au mois juillet prochain, soit à deux mois du grand pèlerinage à la Mecque, des signes d’inquiétude proviennent d’Arabie Saoudite du fait du coronavirus, une maladie dangereuse qui tue une personne atteinte sur trois. Signalé depuis quelques temps, il a fait quelque 300 morts, selon des chiffres publiés par voie de presse. Face à cette épidémie mortelle, les autorités sanitaires sénégalaises disent avoir activé le système de surveillance épidémiologique sur les sujets en provenance du royaume wahhabite. Elles affirment que des dispositions de prévention générale ont été prises depuis une dizaine de jours.
Fausse alerte ! Le ressortissant guinéen isolé au centre de santé de Colobane où il a été admis, mercredi 11 juin, n'a pas contracté le virus Ebola, contrairement aux premières informations relayées par les médias hier jeudi 12 juin. Les résultats fournis par l'Institut Pasteur de Dakar (IPD) hier jeudi, suite à des prélèvements sur le suspect, «se sont avérés négatifs". "Il ne s'agit donc pas d'une fièvre à virus Ebola», rassure le ministère de la Santé et de l'Action sociale.
«Les résultats fournis par l’IPD (Institut Pasteur de Dakar) hier, jeudi 12 juin, se sont avérés négatifs. "Il ne s’agit donc pas d’une fièvre à virus Ebola, l’évolution clinique du malade est satisfaisante et ses jours ne sont pas non plus en danger. A cette date donc, le Sénégal n’a aucun cas de fièvre à virus Ebola», a indiqué le ministère de la Santé et de l’Action sociale. Il infirme ainsi la présence d’un cas suspect au Sénégal, coupant ainsi court à la peur et l’inquiétude nées des premières informations selon lesquelles le ressortissant guinéen interné depuis avant-hier au centre de santé de Colobane serait atteint du virus mortel.
Je précise d'emblée que je n'appartiens à aucun parti politique, syndicat ou à une quelconque forme d'entité politicienne. J'ai le plus grand respect pour toutes ces utiles institutions et structures de réflexion, d'action et Gardiens de la démocratie, de la liberté et de la justice sociale. Ce choix n'est dicté que par le souci de préserver un 'esprit libre', mais auscultant les battements du cœur de sa communauté professionnelle, palpant le pouls majestueux de sa société et tenant compte de toutes les sensibilités, et pouvant ainsi librement analyser, critiquer, apprécier et proposer.