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Mer, Mai
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Afficher les éléments par tag : Santé

L’autorité administrative du sud du pays a pris la courageuse décision de fermer sept des marchés hebdomadaires les plus fréquentés de la zone de Vélingara, dont celui de Diaobé, le plus célèbre de tous. Les personnes et les marchandises venant de Guinée et destinées à ces marchés ont été bloquées à la frontière hier. Mais déjà, les gens qui tirent leur subsistance de leur activité dans ces marchés, prient pour que cette décision soit rapidement levée.

Un arrêté du préfet du département de Vélingara, en date du mardi 25 mars dernier, a imposé la fermeture «jusqu’à nouvel ordre» des marchés hebdomadaires de Diaobé, Sinthiang Coundara, Nianao, Dialadiang, Témento, Pakour et Saré Laobé. Cette décision du préfet, Amadou Moctar Cissé, vise à protéger  le Sénégal contre toute menace de propagation de la fièvre Ebola. Une maladie très contagieuse qui s’est déclarée dans la Guinée, ce pays voisin du sud, dont le département de Vélingara est frontalier.

Publié dans La Une de la Presse

La région de Kédougou qui est frontalière avec la république de Guinée Conakry est sous haute surveillance médicale depuis le samedi dernier. L’épidémie causée par le virus d’Ebola a apeuré plus d’un dans la région. Sachant que le risque zéro n’existe point en sciences médicales, le médecin chef de région Habib Ndiaye, en collaboration avec la tutelle, a ordonné aux médecins chefs des districts de Salémata et de Kédougou, d’être très vigilants pour surveiller d’éventuels cas de fièvre venant surtout des principales portes d’entrée pour les migrants guinéens.

Publié dans La Une de la Presse

MALADIE VIRALE MORTELLE SÉVIT EN GUINÉE-CONAKRY - Le «monstre» Ebola est aux portes du Sénégal

L'OBS - L'épidémie de fièvre Ebola, qui a fait des dizaines de morts dans le sud de la Guinée, a atteint hier dimanche la capitale, Conakry. Les autorités sanitaires sénégalaises multiplient réunions et briefing pour prendre des dispositions préventives aptes à barrer la route à cette maladie mortelle à propagation très rapide.   

Un monstre tueur rôde dans nos murs, il s’écrit en 5 lettres : Ebola. C’est le pire qui peut arriver aux pays africains par les temps qui courent. Car, ce monstre froid, tueur dénommé Ebola, ne négocie pas, il tue et propage la mort à vitesse grand V. Après avoir tué 59 personnes en un laps de temps dans les provinces du Sud à Macenta, Guéckédou et Kissidougou en Guinée-Conakry, la fièvre Ebola est entrée en force dimanche dans la capitale Conakry, enveloppée d’un manteau noir, mais munie d’une vilaine fourche qui fauche la vie des plus vénérables. Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a dû sortir un communiqué pour confirmer les chiffres alarmants entendus ça et là. «Au moins 59 des 80 personnes qui ont contracté (la fièvre) Ebola en Guinée Conakry sont mortes. 

Publié dans La Une de la Presse

Un dispositif de surveillance est en vigueur sur l'ensemble du territoire sénégalais depuis que les autorités sanitaires de la République de Guinée  ont annoncé, samedi 22 mars 2014, que  le virus Ebola a fait au moins plus de 60 morts dans le sud  du pays. L'apparition de cette maladie virale violente et mortelle constitue une première dans ce pays d'Afrique de l'Ouest frontalier avec le Sénégal.

 

 

Après le seul cas de virus Ebola détecté en Côte d’Ivoire en 1994,  voilà que la Guinée Conakry, pays frontalier et qui entretient des rapports de proximité migratoire avec le Sénégal, vient d’être touché  par cette maladie hautement mortelle.
Publié dans La Une de la Presse
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Le Sénégal vient de voter une nouvelle loi contre le tabagisme. C’est à l’unanimité que le projet de loi n°09/2013 relatif  à la fabrication, au conditionnement, à l’étiquetage, à la vente et à l’usage du tabac a été adopté.  Une nouvelle loi qui avait pourtant suscité beaucoup de controverses. Et même si  pour certains c’est un grand pas que le Sénégal a franchi pour juguler ce fléau,  pour d’autres appartenant à la société civile et même pour quelques parlementaires, c’est la déception suite à l’amendement du président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yakar qui prône pour la mise en place de fumoirs dans certains lieux publics.

Publié dans La Une de la Presse

Le chef rebelle du Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) donne 3 millions de F Cfa pour la réparation du scanner de l’hôpital régional de Ziguinchor tombé en panne. Cela «fait suite à l’interview accordée à Zig.FM par les travailleurs de l’hôpital régional de Ziguinchor, passée aux ondes de ladite radio, mardi 18 février 2014, révélant la panne technique du scanner de l’hôpital régional de Ziguinchor et d’autres situations  très déplorables», souligne un communiqué  en date du O3 mars et signé par Salif Sadio.

«Le Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC), par son chef Salif SADIO, soucieux du danger que constitue le manque du service d’un scanner dans un institut sanitaire comme celui là, s’engage, dans le cadre humanitaire, à payer  les frais de réparations de cette machine vitale au bon fonctionnement de l’hôpital, qui s’élèverait à trois millions francs CFA (3000000f CFA), selon les mêmes sources, contribuant ainsi à réduire les peines  des populations dans le cadre sanitaire», renseigne le «communiqué 003 ̸ 214, en date du 03 mars, signé par Salif Sadio, commandant en chef du Mfdc”.

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L’Organe international de contrôle des stupéfiants (Oics) a, dans son rapport annuel, indiqué que 9,2% des usagers de la drogue par injection au Sénégal sont atteint du VIH, un fait qui place notre pays parmi le cercle des pays où la drogue contribue à la propagation du Sida.

En dehors du Sénégal d’autres pays comme le Nigéria avec 9%, le Kenya qui est à 4,2% et le Ghana qui totalise 4% sont aussi concernés.

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Le ministre de l’Economie et des Finances, Amadou Bâ, et le Commissaire européen en charge du Développement, Andris Piebalgs, ont signé, hier, la convention de financement du projet d’assainissement et de restructuration urbaine de Hann et Petit Mbao. Ce programme d’un montant de 12,8 milliards de FCfa va changer le visage de ces deux villages confrontés à un sérieux problème d’aménagement urbain.
Insalubrité, étroitesse des rues, promiscuité, exutoires anarchiques, plages sales, problème d’accès, inondations, absence d’infrastructures de base, d’équipements collectifs et de réseaux d’assainissement, etc. La carte postale à laquelle renvoient les villages de Hann et Petit Mbao, à travers le diaporama qu’a fait défiler le directeur technique de la Fondation Droit à la ville, Ousmane Mbodji, devant les ministres Amadou Bâ et Khoudia Mbaye, en présence de la délégation de l’Union européenne conduite par Andris Piebalgs, n’est pas belle à voir. 

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Les médecins du Sénégal sont très remontés contre les autorités publiques et menacent d’aller en grève générale les 20 et 21 février prochains. Ils n’entendent pas s’arrêter là car pour corser leurs réactions, ils entendent poursuivre la grève tous les lundis et mardis à partir du 24 février et envisagent de marcher le 18 mars pour exposer leur colère. Ces décisions qui risquent d’avoir un impact grave sur le fonctionnement des structures sanitaires ont été prises  samedi  dernier 8 février et divulguées à l’occasion d’un point de presse tenu au niveau de leur siège à Mermoz.

Publié dans La Une de la Presse

L’examen prochain, le 29 janvier 2014 du projet de loi sur la consommation du tabac, cristallise les espoirs de la Ligue sénégalaise contre le tabac (Listab) qui espère par là que le Sénégal va se doter d’une loi forte pour lutter contre le tabac. Cette volonté, assise dans un communiqué parvenu à la rédaction, a permis à la Listab de préciser qu’en «en ratifiant  le seul traité de santé des Nations-Unies qu’est la Convention Cadre de Lutte contre le Tabac (Cclat), le Sénégal était dans l’obligation d’en transcrire les dispositions dans une loi réglementant la manufacture, la distribution et la consommation du tabac». Dans cette veine, la société civile à travers la Listab, le ministère de la Santé et les parlementaires de la 12ème législature ont rédigé le projet de loi. Le communiqué poursuit : «Personne ne comprendra que ce projet de loi ne puisse protéger les non-fumeurs et autoriser l’usage du tabac dans les lieux publics. Ce point capital doit être la base des dispositions réglementaires.» La Listab pense que l’industrie du tabac a le devoir d’informer le fumeur des dangers auxquels il s’expose par le biais d’ «avertissements sanitaires pertinents, par des images de grande taille sur les emballages du tabac et ses dérivés».

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