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03
Ven, Mai
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La Côte d'Ivoire et le Sénégal, ensemble, pour une sécurité alimentaire

Securite alimentaireLe ministre sénégalais de l’Agriculture, Pape Abdoulaye Seck a estimé, dimanche, à Paris que la mutualisation des expériences entre les pays africains devrait inscrire de manière générale l’agriculture africaine sur une dynamique de croissance, proposant la mutualisation des efforts entre la Côte d’Ivoire et le Sénégal dans le cadre de la coopération Sud-sud.

La Côte d'Ivoire et le Sénégal veulent accorder leur violon pour un développement agricole dans la sous-région afin de pallier la sécurité alimentaire dans une croissance économique continue.

Selon le ministre ivoirien de l'Agriculture Mamadou Sangafowa Coulibaly, la participation de cinq pays africains au Salon international de l'agriculture enregistre des croissances soutenues depuis une décennie et marque le retour effectif de ce continent sur l'échiquier économique mondial.

Félix Adegnika, coordonnateur de wsscc au Bénin : « Des pays africains n’atteindront les Omd liés à l’assainissement et à l’hygiène qu’en 2048 »

C’est connu. L’atteinte des Objectifs du millénaire pour le développement (Omd) n’est pas réalisable pour beaucoup de pays africains. Mais ce qui est plus inquiétant, selon le coordonnateur national du Conseil de concertation pour l’approvisionnement en eau et l’assainissement (Wsscc) au Bénin, Félix Adegnika, il faudra attendre en 2048 pour voir beaucoup de pays réaliser ces objectifs.

Nous sommes à une année de l’échéance des Omd. Est-ce qu’il y a des pays de l’Afrique qui seront au rendez-vous des Omd pour le volet assainissement ?

PROJET DE DEPOLLUTION DE LA BAIE DE HANN 35 milliards de Fcfa pour faire sa toilette

 

Pour redonner à la Baie de Hann son lustre d'entant, celui de l'une des plus belles plages au monde, l'Agence Française de Développement et la Banque Européenne d'Investissement ont accordé à l'Etat sénégalais une enveloppe de 35 milliards de Fcfa. Le financement bouclé, tous les mécanismes, pour l'effectivité du projet, sont mis en branle selon les assurances du Ministre de l'hydraulique et de l'assainissement, Pape Diouf. Il s'exprimait ainsi hier, 18 février en marge du conseil interministériel, présidé par Aminata Touré, sur le Projet de Dépollution de la Baie de Hann.

 

 

La Baie de Hann va retrouver sous peu sa renommée internationale, celle d’être parmi les somptueuses baies du monde, il y a de cela 25 ans. Pour cause, l’Agence Française de Développement (Afd) et la Banque Européenne d’Investissement (Bei) ont accordé à l’Etat sénégalais une enveloppe de 35 milliards de Fcfa, pour sa dépollution. L’annonce a été faite hier, 18 février, par Pape Diouf, Ministre de l’hydraulique et de l’assainissement, en marge de la réunion interministérielle, sur le Projet de Dépollution de la Baie de Hann. 

ABASS NDAO - Relèvement du plateau technique avec un matériel médical bas de gamme : Des équipements de Delta Médical indésirables dans certains services

Certains services du Centre hospitalier Abass Ndao (Chan) se sont résolus à retourner le matériel médical, acheté à Delta Médical, par la mairie de Dakar. Une partie dudit matériel est «obsolète et ne fonctionne pas», alors que Khalifa Sall a mobilisé plus de 190 millions de francs pour ce marché passé par entente directe mais sur autorisation de la Direction centrale des marchés publics (Dcmp).

Le maire de Dakar et président du Conseil d’administration du Centre hospitalier Abass Ndao (Chan) a revu sa politique, adossée aux recommandations du Conseil municipal, de relever le plateau technique de la structure en lieu et place des subventions annuelles en numéraires. Depuis pratiquement son élection à la tête de la mairie de Dakar en 2009, il n’a subventionné qu’une seule fois le Chan à hauteur de 190 millions de francs Cfa. Après cette enveloppe, plus aucun franc n’a été alloué au Chan par Khalifa Sall, qui a préféré acheter du matériel médical à la place des autorités de l’hôpital.

Rapport sur la gestion des ordures : Le Sénégal sur une bombe écologique

La situation actuelle des localités au Sénégal, relativement à l’insalubrité avancée, se résume entre déficit de balayage de la voirie, canalisation obstruée par les ordures, prolifération de dépôts sauvages jusque dans les zones d’habitation, absence d’aménagement des décharges qui subissent un phénomène d’excroissance non maîtrisé. Ainsi, près de 1700 points insalubres, dont des dépôts sauvages chiffrés à 1500, des zones de fortes productions au nombre de 130 et 44 décharges ont été identifiés, dans le cadre du Programme national de gestion des déchets.

Financement de la réduction de la mortalité maternelle et infantile : Avec 14 milliards, le Sénégal n’a plus d’excuses

Plus de 14 milliards de francs Cfa ont été mobilisés par les bailleurs de fonds pour aider le Sénégal à atteindre ses objectifs adossés au Plan de sécurisation des produits d’importance vitale pour la mère et l’enfant (2013-2015). Maintenant, l’urgence est d’investir les communautés pour les amener à s’approprier ce plan avant l’échéance. Le Sénégal a encore deux ans pour jouer sa partition, comme viennent de le faire les partenaires.

Le Sénégal doit une fière chandelle aux bailleurs de fonds, qui ont décidé de l’accompagner dans le cadre du repositionnement de la Planification familiale (Pf). Ces partenaires techniques et financiers du pays ont en effet mis la main à la poche pour aider le Plan de sécurisation des produits d’importance vitale pour la mère et l’enfant (2013-2015) à atteindre ses objectifs.

Environnement : Le réchauffement de la planète peut exacerber la concurrence pour l’accès à l’eau et à la terre

Le réchauffement de la planète pourrait exacerber la concurrence pour l’accès à l’eau et à la terre. C’est ce qui ressort d’un document parvenu à la rédaction qui préconise une gestion durables de ces deux ressources. 

L’Afrique vit déjà les conséquences des changements climatiques et l’augmentation de sa population, et surtout son taux d’urbanisation le plus élevé de la planète. La jeunesse africaine, souligne un rapport, constituera, à elle seule, plus d’un quart de la population mondiale active. « Avec une classe moyenne montante et une urbanisation rapide à un rythme qui est plus de deux fois le taux de croissance urbaine de la planète de 3,7 % par an, la demande en nourriture, énergie et eau augmentera invariablement», soutient le sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire exécutif de la Commission économique pour l’Afrique (Cea), Carlos Lopes. C’était  le 7 février à New Delhi, en Inde.

Accèes à l'assainissement et à l'hygiène : En Afrique, plus de 87 % des ruraux continuent de faire leurs besoins à l’air libre

De tous les défis auxquels l’Afrique est confrontée, celui de l’accès à l’assainissement et à l’hygiène est le plus pressant au regard des incidences de l’inaccessibilité à ces services sur la prévalence des maladies, la baisse de la productivité dans les entreprises et les administrations. Aujourd’hui, plus de 87 % de la population des zones rurales en Afrique au Sud du Sahara continuent de faire leurs besoins à l’air libre.

(COTONOU)- Le constat est plus qu’alarmant. Sur le continent africain, une personne sur trois n’a pas accès à un assainissement adéquat. Pire, les chiffres des différents organismes concordent sur le fait que 87 % de la population des pays d’Afrique au Sud du Sahara continuent de faire leurs besoins à l’air libre avec toutes les conséquences sanitaires et environnementales. « C’est un triste constat qu'environ 87 % des populations rurales d'Afrique subsaharienne pratiquent encore la défécation à l’air libre et que seules 3 personnes sur 10 se lavent les mains à l’eau et au savon aux moments critiques », souligne le ministre de la Santé publique du Bénin, le Pr. Dorothée Kinde Gazard.

CHANGEMENT CLIMATIQUE Les ressources de la pêche en dan

 

Un atelier sur «l'étude diagnostique des cadres de concertation sur les changements climatiques, la pêche et l'environnement marin et côtier au Sénégal» a réuni hier, vendredi 14 février , à Dakar, tous les acteurs de la pêche et du changement climatique. Lors de cette rencontre consacrée au partage des résultats de cette étude, un expert a mis en garde sur les menaces négatives que présentent les effets du changement climatique sur le futur de ce secteur de la pêche au Sénégal.

 

Le secteur de la pêche est parti pour vivre la pire crise qu’il n’ait jamais traversée. Si rien n’est fait, d’ici quelques années, le phénomène de changement climatique va impacter négativement la production de ce secteur nourricier de plus 77% de la population sénégalaise. D’après les résultats de «l’étude diagnostique des cadres de concertation sur les changements climatiques, la pêche et l’environnement marin et côtier au Sénégal», la menace climatique sur l’avenir de ce secteur de la pêche est réelle. 

ADAPTATION AUX CHANGEMENTS CLIMATIQUES L’Afrique est « mal barrée »

L’Afrique est en proie à la sécheresse, les inondations et autres fléaux climatiques qui ont un impact négatif sur la vie des populations du fait des changements climatiques. Alors que la contribution du continent reste insignifiante dans la pollution de l’environnement mondial, «l’Afrique est vulnérable» aux changements climatiques, donc «en danger».

 

Selon Mme Azeb Girmai de l’Observatoire des pays les moyens avancés qui a fait une présentation sur «Analyse de l’état d’avancement du processus des changements climatiques en Afrique», même si on réduit les émissions à 2.5C, cela ne règle rien. En atteste «le coût des émissions antérieures sont très élevés (7.3 milliards). Les coûts environnementaux ne sont pas encore cernés, car on n’a pas la même vision, les même appréciations selon qu’on soit au Nord ou au Sud. Si on ajoute celles (les émissions) actuelles, on est mal barré.» a-t-elle prévenu, commentant un rapport de l’UNEP.