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vendredi, 30 mai 2014 00:00

La Une de L'AS - Après midi de folie chez les verts : cafouillages, cacophonie et putschs au PS

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SénégalMimi face to Khalifa Sall
Aminata Touré ne lésine pas sur les moyens pour gagner la mairie de Grand Yoff. Nos radars qui sont en permanence braqués sur elle ont filmé un mouvement de va-et-vient de jeunes qui risque de faire très mal. Les volontaires qui travaillent pour son élection ont été filmés en grand nombre, en train de sillonner les coins et recoins des Hlm Grand Yoff pour ventiler les tee-shirts et le programme en 15 points sur lequel elle compte s’appuyer pour convaincre les populations de voter pour sa liste le 29 juin prochain.

Mimi face to Khalifa Sall (Bis)
Ne quittons pas le chef du Gouvernement sans vous dire qu’elle fait partie de ceux qui militent pour que des débats publics soient organisés pour les candidats. Au siège de l’Apr de Grand Yoff où elle recevait «ses» volontaires, elle a invité tous les candidats à débattre avec elle au sujet de leurs programmes respectifs de campagne. «J’appelle tous les candidats y compris Khalifa Sall, à un débat public. Qu’on discute de bilan et nos programmes à la télé, à la radio ou dans n’importe quel support médiatique», a proposé Aminata Touré. Avant d’ajouter que le débat pourrait même se faire dans toutes les langues du pays. «Le débat, ce n’est pas simplement en Français. Cela peut se faire en Wolof, en Soninké ou dans n’importe quelle langue, vu la composition des populations de Grand Yoff», dit-elle. 

Aminata Touré
Au sujet des actes de sabotage du siège de l’Apr de Grand Yoff qui se sont produits hier, Aminata Touré calme le jeu. «Il y aura beaucoup de perturbations, de gens qui ne veulent pas entendre parler de bilan et de programmes. Mais c’est un incident mineur qui ne se reproduira plus. Si cela se reproduit, nous prendrons toutes les dispositions. C’est vrai que j’ai appelé au calme, mais les autres aussi doivent savoir que nous ne sommes pas des manchots». Au sujet de la crise universitaire, le Premier ministre appelle tout le monde au dépassement pour que les cours reprennent.

Idrissa Seck à Kébémer
Il l’avait promis, il est en train de le faire. Idrissa Seck a commencé ses tournées à l’intérieur du pays. Avant-hier mercredi, le président de Rewmi était à Kébémer. Il a été accueilli en grande pompe par ses partisans et les alliés avec lesquels son parti a décidé d’aller briguer les suffrages des électeurs lors des Locales du 29 juin prochain. «Mes tournées à l’intérieur du Sénégal comportent deux phases. Avant les élections locales, je compte faire les 45 départements. Dans chacun d’eux, nous allons rencontrer les principaux responsables du parti dans une commune donnée. Et après les élections locales incha Allah, je compte aller dans les 552 communes du Sénégal et les 37 pays étrangers où des Sénégalais résident et votent, pour mieux connaître et me familiariser avec les responsables qui sont dans notre parti», a-t-il d’emblée campé. Jetant un pavé dans la mare du pouvoir, Idrissa Seck a indiqué que «même des responsables de partis membres du camp présidentiel trouvent que ce qu’ils sont en train d’entreprendre ne fait pas avancer le Sénégal». Et de là à les voir quitter cette coalition (Benno bokk yaakaar) pour venir le rejoindre lui et ses autres alliés, il n’y a qu’un pas à franchir.

Idrissa Seck à Kébémer (bis)
Sur les raisons pour lesquelles il a déserté Kébémer, il avoue qu’il avait même la «kersa» de venir y faire de la politique. «Mon compagnonnage avec Abdoulaye Wade et tout ce qu’il y a entre nous ne m’autorisaient pas à venir à Kébémer comme si on se disputait cette ville», a-t-il expliqué. Non sans préciser qu’il en sera ainsi tant que l’ancien Président restera sur la scène politique. «Jusqu’à ce qu’il tire sa révérence, j’y vais tout doucement». Sur l’acte III de la décentralisation, Idy indique : «l’acte III de la décentralisation manque encore de profondeur. Nous devons aller plus loin dans la décentralisation en permettant aux pouvoirs locaux de disposer des moyens nécessaires, en décentralisant le budget consolidé d’investissement (Bci) davantage, pour que les autorités locales qui sont les plus proches de la population aient de sérieux moyens de prise en charge de leurs préoccupations. Les problèmes se vivent à la base, et c’est à ce niveau là qu’il faut les résoudre».

Tahibou Ndiaye- Mbaye Guèye Emg
Avant-hier mercredi, Tahibou Ndiaye a encore été extrait de sa cellule pour une confrontation au niveau de la Crei. Seulement, la confrontation n’a finalement pas eu lieu. Selon nos radars, Mbaye Guèye, le patron de EMG a reconnu tout ce que Tahibou Ndiaye a dit dans ses différentes déclarations. Conséquence : il n’y avait plus lieu de faire une confrontation. Il est alors tout bonnement retourné à Rebeuss en attendant la fin de son mandat de dépôt jeudi prochain.

Wade au chevet de Bleu Diallo
Abdoulaye Wade multiplie les activités. Hier, nos radars et antennes l’ont aperçu à l’hôpital Principal de Dakar. Renseignement pris, le secrétaire général national du Pds était allé rendre visite à un de ses plus anciens compagnons, Bleu Diallo. Ce dernier, membre fondateur du Pds, est malade depuis quelques jours. Ancien député, Bleu Diallo (Mamadou Moustapha Diallo de son vrai nom) était l’âme du Pds au niveau de Sédhiou et dans toute la zone. Prompt rétablissement !

Kaolack : Socé Diaw est finalement morte
Socé Diaw, cette jeune dame âgée d’une trentaine d’années et mariée à un enseignant, qui s’était immolée par le feu, n’a pu être sauvée. Elle est décédée hier jeudi à l’hôpital El Hadji Ibrahima Niass de Kaolack.

Procès renvoyé
La confrontation entre la mairesse de Thiès-Ouest Maïmouna Dieng et son premier adjoint Ousseynou Guèye à la barre du tribunal régional de Thiès, qui était prévue mardi, a été finalement renvoyée au 24 juin prochain. Cette situation qui pousse les deux responsables du Rewmi de Thiès à vouloir laver le linge sale de la famille à la barre découle de bisbilles nées d’une réunion du bureau municipal qui avait mal tourné et dont les prolongations s’étaient jouées à la section de recherches de la gendarmerie de Thiès. La mairesse et son premier adjoint s’étaient mutuellement servi des plaintes après la violence qui avait émaillé la réunion.

Les 22 étudiants libres
Relaxe au bénéfice du doute ! C’est la décision rendue mercredi par le tribunal dans cette affaire de destruction de biens appartenant à l’Etat, de rassemblement illicite et de violences et voies de fait à agents de la force publique, pour laquelle 22 étudiants ont comparu mardi dernier à la barre des flagrants délits. Par cette décision, le juge a tranché entre la «matérialité» des faits brandie par le représentant du parquet au point de solliciter trois mois ferme contre les étudiants, et «l’imputabilité» de ces faits plaidée par la vingtaine de robes noires constituée pour la défense des étudiants. Du coup, par cette décision l’Etat à travers son agent judiciaire a été débouté de sa constitution de partie civile. Dans la même logique, les étudiants mis en cause qui s’étaient constitués partie civile et réclamaient en guise de dommages et intérêts 150.000 francs Cfa chacun, ont été déboutés par le tribunal.

Les 22 étudiants libres (bis)
Une décision qui a été saluée par une salve d’applaudissements des étudiants venus en masse, comme au premier jour du procès, pour soutenir leurs camarades au palais de justice encore assiégé par les forces de l’ordre. Ainsi, même si Me Mouhamadou Moustapha Dieng estime qu’une suite sera donnée en ce qui concerne les biens des étudiants saccagés, il est d’avis que c’est une décision d’apaisement qui a été rendue. «La justice, après une analyse correcte du dossier, a rendu une décision que le peuple sénégalais attendait», s’est réjoui Me Dieng qui considère que les étudiants attraits à la barre ne sont pas les auteurs des faits graves qui se sont déroulés dans l’enceinte de l’université de Dakar, étant donné qu’il n’ya pas eu d’imputabilité. Ainsi, a-t-il ajouté, «le Tribunal en a tiré toutes les conséquences de droit qui s’imposaient». Et l’avocat d’espérer que cette décision va participer à l’apaisement de l’espace universitaire. 

Paix en Casamance
L’Association Régionale pour la Promotion de la Femme Sérère (Aprofes) de Thiès s’investit dans la recherche de la paix en Casamance. C’est dans ce cadre qu’elle vient de boucler le 17 mai dernier un séjour de 48 heures à Kafountine, avec comme socle le cousinage à plaisanterie. Selon Hélène Diouf Faye Présidente régionale de l’association, des messages forts ont été lancés en direction de cette paix. D’ailleurs, l’émotion a fait que de chaudes larmes ont été versées sur place et les femmes ont pris l’engagement que ce seront les dernières larmes versées en Casamance. Le 14 juin, les femmes sérères retourneront en Casamance, précisément à Ziguinchor, dans le cadre d’un jumelage entre le « Jam Bugum » et l’Aprofes, sous le sceau de la diversité culturelle avec la présence d’associations «Al Pulaar», «Bambara». Une manifestation qui sera marquée par une visite rendue aux différentes autorités de Ziguinchor, une rencontre avec les sages, les notables, des conférences, des activités culturelles, des prières pour le retour de la paix qui seront dites à la cathédrale et à la mosquée. Et le 21 juin, toute cette diversité culturelle sera à Thiès pour célébrer la convergence culturelle sérère.

 

SOURCE: http://www.seneplus.com/article/les-piques-de-las-de-ce-vendredi-16

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