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Dim, Mai
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Un membre du Bureau politique de l’Urd a lancé hier un courant de pensée dénommé «Renaissance». Son animateur, Badara Pouye, accuse Djibo Kâ de vouloir rester à la tête du parti «tant qu’il restera en vie» et le compare à Moustapha Niasse.

C’est le premier coup subi par Djibo Leyti Kâ. C’est un courant de pensée dénommé «Renaissance», animé par Badara Pouye, qui dénonce les «choix politiques incompréhensibles» du secrétaire général. Ce journaliste de formation, qui se réclame «membre fondateur» du parti, dit avoir «la certitude que Djibo veut faire comme son grand frère Moustapha Niasse qui a indisposé son parti en affirmant qu’il restera toujours à la tête de son parti, tant qu’il sera en vie». M. Pouye soutient, en effet, avoir été «véritablement ulcéré» par la sortie récente du Rénovateur en chef, affirmant «être sûr qu’en se retirant, son parti allait être déstabilisé». L’animateur de Renaissance y voit une façon, pour le patron de l’Urd, de «nier aux braves hommes toute capacité de diriger» le parti. 

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DAKARACTU.COM Contrairement à Idrissa Seck qui avait l’année dernière déclaré sur invitation de la RFM que « le pays ne marchait pas », le chef de file des socialistes a quant à lui noté que « le pays marche ». Invité de la radio pour la commémoration de l’anniversaire du Chef de l’Etat Macky Sall pour ses deux ans à la tête du pays il a assumé cette  posture. «Je suis dans la coalition Benno Bokk Yakar et j’assume mes pensées et mes gestes qui sont aussi impliqués dans la gestion ». Le pays marche très bien, mais nous n’avons pas trouvé les mêmes richesses que Wade en avait trouvées en 2000 en accédant au pouvoir. » Il a énuméré pour argumenter la bonne marche du pays plusieurs réformes établies par Macky Sall au lendemain de sa prise de pouvoir. 

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La Ligue démocratique, le Rta/S n’endossent pas les propos de Moustapha Niasse qui, au-delà de l’Afp, était le candidat de la coalition Benno siggil senegaal à l’élection présidentielle de 2012.

Le choix  de Moustapha Niasse de ne pas se présenter, encore moins de soutenir une candidature issue de son parti contre Macky Sall en 2017, signifie également qu’il n’appuiera pas un autre choisi par la coalition qui l’a porté en 2012. Toutefois, il n’est pas le patron à Benno siggil senegaal (Bss).  

Balla Gaye 2 accompagne le Président Macky Sall à Ziguinchor ce lundi pour le lancement du projet pôle de développement de la Casamance. Un voyage qui intervient dans un contexte particulier : le lutteur fait l’objet de toutes les convoitises politiques. Il risque d’être écartelé entre la fidélité à son ami El hadj Malick Gackou, numéro 2 de l’Afp, et les frères Sall –Macky et Aliou- qui veulent contrôler Guédiawaye.

Le produit est très prisé. Très convoité. Parce que tout simplement il est rare, dans un contexte politique particulier caractérisé par la course aux voix pour briguer la direction des Collectivités locales. Aujourd’hui, à Guédiawaye le célèbre lutteur Balla Gaye 2 fait l’objet de tous les… combats politiques. Même le premier des Sénégalais ne veut pas bouder son plaisir de le voir de son côté. La preuve : le Président Macky Sall – sauf surprise de dernière minute – sera ce lundi en Casamance avec le chef de file de l’Ecole de lutte Balla Gaye (Elbg). 

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Qui est plus influent que le Président de la République au Sénégal ? Cette question mérite d’être posée, tant l’influence de la première dame, Marème Faye Sall est devenue inquiétante au point que les chancelleries étrangères font régulièrement des notes sur son implication dans les affaires de la République. Il semble même que derrière les attaques contre le Premier ministre, il faut voir la main de Marème Faye Sall. « Elle est trop jalouse, elle ne veut pas d’une personne qui rayonne aux côtés de son mari », indique un ministre du gouvernement. C’est la raison pour laquelle, elle a envoyé un de ses sbires, Mame Mbaye Niang contre le chef du gouvernement. Mais cette affaire n’est que la partie visible de l’iceberg.

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Les propositions de la Cnri d’une nouvelle constitution ne font guère l’unanimité auprès des citoyens sénégalais. Chacun y va de son commentaire, approuvant ou rejetant les conclusions livrées par le Pr Amadou Mahtar Mbow et ses camarades au président de la République. 
L’appréciation faite sur l’avant-projet de constitution présenté par le Pr Amadou Mahtar Mbow, président de la Commission nationale de réforme des institutions (Cnri), divise les citoyens. Les avis varient d’une personne à une autre sur les différentes suggestions faites au chef de l’Etat par le président du Cnri. Notamment sur l’incompatibilité entre le poste de président de la République et celui de chef d’un parti politique, sur la limitation de l’âge des candidats à la présidentielle à 70 ans ainsi que sur la limitation du mandat du chef de l’Etat à cinq ans renouvelable une seule fois. Sur cette dernière question, le chef d’entreprise Gora Diongue estime que cinq ans, c’est trop court, même s’il ne refuse pas que le mandat soit limité à deux. « C’est une bonne chose que de limiter les mandats, cela va permettre à toute personne qui sera élue de savoir qu’il a un temps à faire au pouvoir avant de céder la place. Mais j’aurais souhaité qu’on revienne à sept ans. C’est une durée raisonnable à mon sens », souligne ce jeune industriel rufisquois.

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iGFM-(Dakar) Imaginez le ministère de l’Agriculture à Fatick, celui de la Culture à Louga ou d’autres  ministères dans les régions? C’est le rêve la femme de Mme Ndella Madior Diouf. «Pour un développement du Sénégal, le président de la République doit penser à délocaliser les ministères dans les régions. De ce fait l’administration va loger sur place. Ce que faisait Macky Sall avec les conseils des ministres décentralisés c’est bien, mais il faut qu’il pense aux ministères. Décentraliser les logements sociaux, former les jeunes  et refaire les routes, tels devraient être les objectifs du chef de l’Etat», a-t-elle fait savoir hier lors de l’émission «Sénégal Ca Kanam» diffusée sur la 2stv.

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L'OBS - «Nous sommes des députés du peuple et pas de Bennoo bokk yaakaar. Je suis là pour le peuple, et non pour le Parti socialiste ou Bennoo. Si des Sénégalais sont dans des difficultés, nous devons les soutenir quel que soit le prix de l’Acte III de la décentralisation. On ne peut pas supprimer des régions sans concertation. Il faut des concertations sur des bases claires avec les acteurs des régions et tous les responsables. Ici, les concertations ont été faites sur des bases politiques. Le dialogue interne n’a pas été fait. On nous a juste appelés au niveau du Ps pour nous dire que le Secrétaire général (Ousmane Tanor Dieng : Ndlr) demande de voter la loi. Ce que je conteste vigoureusement. 

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Barth «élimine» Khalifa Sall de la course au prochain congrès. Même s’il lui prête un «profil parfait» pour une candidature à une Présidentielle. Dans cette dernière partie de l’entretien, le secrétaire général des jeunesses socialistes répond, sans le nommer, à Youssoupha Mbow et autres qui lui «doivent leur présence dans le Bureau politique du Ps». Il déplore le manque de cadre de concertation au sein de Bby et, en direction des Locales, le maire de Mermoz-Sacré Cœur avertit que «la ville de Dakar n’est ni à vendre ni à louer». Avis aux candidats de l’Apr.

Si Khalifa Sall est candidat allez-vous le soutenir ?

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Après un long séjour à l’étranger, l’ex député libéral devenu responsable à l’Alliance pour la République (Apr) de Macky Sall, El Hadji Malick Guèye est rentré au bercail avec dans les valises la mise en place et le lancement de son nouveau mouvement intitulé «And Ak Saloum Defar Senegal».

 

Ainsi avant même la seconde assemblée générale de mobilisation qu’il va convoquer dimanche prochain à Kaolack, le responsable «apériste» entend axer les premières actions de son mouvement sur la sécurisation politique du processus électoral de Juin prochain. Il a en effet déclaré une guerre ouverte contre les candidatures aux élections locales ne disposant d’aucune crédibilité pouvant les faire élire et aucun attachement à la localité.