
Afin de mieux faire comprendre à ses internautes les péripéties juridiques du feuilleton Karim Wade-Etat du Sénégal, leral.net vous plonge dans le fond du document confidentiel de l’arrêt au fin de non-lieu partiel et le renvoi devant la Cour de la Répression de l’Enrichissement illicite. Selon ce document, Karim Wade n’a pas pu justifier l’origine licite d’un patrimoine estimé à 117 037 993 175 francs CFA, dont un appartement à Paris 16ème, rue de la Faisanderie évaluée à 245.871. 375 francs CFA et qui fait partie des biens que l’Etat du Sénégal voulait faire saisir par la justice française qui l’a finalement débouté.

Si Abdou Diouf n’avait pas réussi à contenir l’envahissante de l’Alternance en 2000, malgré son recours à Jacques Séguéla, le célèbre publicitaire français qui avait créé la marque François Mitterrand, Karim Wade, lui, a un atout de taille pour réussir sa communication politique avec Anne Méaux d’Image 7. D’autant que cette vaillante dame de la communication politique vient de réussir une belle prouesse, en portant François Fillon au piédestal des primaires de la droite, devant Nicolas Sarkozy et Alain Juppé.

48 heures après l’assassinat lâche de la vice-présidente du Conseil économique, social samedi dernier, l’Association Sénégalaise pour le Suivi et l’Assistance aux Malades Mentaux (ASSAMM) a organisé un atelier sur la criminalité au Sénégal à Dakar. La rencontre qui s’est tenue hier, lundi 21 novembre, a été une occasion pour les participants de constater, pour le déplorer, «la recrudescence de la violence sous toutes ses formes et de la criminalité au Sénégal», informe un communique de l’ASSAMM. (51).jpg)
Le Premier ministre, Mouhammed Boun Abdallah Dionne, qui fait présentement face à la presse, s’est dit outré par ce qu’il qualifie «d’invective et la désinformation» faites par certains ‘’détracteurs’’ du régime en vue de «tromper le peuple sénégalais». Il a en effet expliqué les raisons qui ont poussé l’Etat sénégalais à signer des contrats de recherches et d’exploitations des ressources naturelles découvertes sur le territoire national. Non sans rassurer que les contrats pétroliers seront remis à la presse.
Pas de zone d’ombre ni d’imprécisions dans la formulation du contenu du projet de loi n°27/2016 portant Code minier. Les députés de la douzième législature, qui ont adopté le texte de loi, l’ont clairement fait savoir au ministre de l’Industrie et des Mines, Aly Ngouille Ndiaye, qui, à son tour, a dit toute sa disponibilité à les aider à mieux comprendre ledit code. Toutefois, ils n’ont pas manqué de dénoncer la mainmise des Indiens sur les Industries chimiques du Sénégal (Ics) dont ils jugent l’impact très faible dans l’agriculture. 