Ça râle ferme contre une gestion presque familiale du Port Autonome de Dakar: Amadou Yaya Sarr, le DRH, place ses deux rejetons et installe le malaise.
DAKARACTU.COM ''La patrie avant le parti'' avait annoncé Macky dès son arrivée au perchoir de la République. "Moi, c'est ma famille d'abord'' semble lui avoir répondu Amadou Yaya Sarr. L'homme qui est le Directeur des ressources humaines du port autonome de Dakar a crée un malaise au sein cette famille. En quoi faisant ? Eh bien, en recrutant d'office deux de ses rejetons, alors que lui-même devait aller à la retraite depuis 2012.
Créer un parti politique au Sénégal s’apparente à une course effrénée à laquelle se livrent bien des personnes. Qu’est-ce qui les poussent à s’orienter dans la politique ? Quelles sont leurs réelles motivations ? Sont-elles toutes intéressées par les affaires de la cité ? Rien n’est moins sûr. Mais le constat est là : il existe, à l’heure actuelle, pas moins de 224 formations politiques légalement constituées, reconnues par les services du ministère de l’Intérieur. Excessif ! Le mot n’est pas de trop. Pour la classe politique et pour bon nombre de citoyens sénégalais, il y a une part d’exagération et un manque de conviction chez certains initiateurs. Toutefois des solutions sont émises par-ci et par-là tendant à freiner un phénomène à la mode. Mais comment limiter sans remettre en cause un droit acquis depuis 1981 à travers le multipartisme intégral ? That is the question.
DAKARACTU.COM L'esclandre fera, sans l'ombre d'un doute, grand bruit. En effet, il s'agit d'un gros marché relatif au sommet tant attendu de la Francophonie qui aura lieu, sauf revirement, au Sénégal.
DAKARACTU.COM, parlant de la réunion du bureau politique du P.S, avait annoncé une rencontre de tous les dangers, relativement aux accusations portées sur Tanor et Barthélémy Dias. 

DAKARACTU.COM De sources proches des officines du régime, nous sommes en mesure de révéler que l'étape de la Chine de Macky Sall est loin d'être fortuite. En effet, il nous revient que l'aspect économique explique grandement ce détour à Beijing. En un mot comme en mille, l'axe séculaire entre le Sénégal et la Chine sera ainsi renoué. Des accords notamment économiques sont escomptés à l'issue de ce crochet décrit comme "décisif" dans le milieu des affaires sénégalais. 
