Déversement de déchets toxiques à Abidjan Amnesty international réclame un suivi sanitaire des populations
En Côte d’Ivoire, la publication du rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue) remet au goût du jour les conséquences du déversement des déchets toxiques. Dans un communiqué rendu public hier, mercredi 31 janvier, Amnesty International déclare : «onze ans après le déversement de 540 000 litres de déchets toxiques autour d’Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire, les victimes demeurent dans le flou quant aux éventuelles conséquences à long terme sur leur santé ».