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Sam, Mai
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L’Hôpital de Grand Yoff court après une créance de 1,8 milliard de FCfa

HoggyToutes les difficultés que rencontre le système sanitaire sénégalais sont dues à un déficit de ressources financières. C’est la conviction du directeur général de l’Hôpital général de Grand Yoff (Hoggy), Moussa Sam Daff. Il l’a déclaré, samedi dernier, lors d’un séminaire de renforcement de capacités organisé par la Convention des jeunes reporters du Sénégal (Cjrs).

Malgré la réforme hospitalière initiée par l’Etat en 1998, dont les deux principaux objectifs étaient d’améliorer les méthodes de gestion des hôpitaux et la qualité des services et des soins, le système sanitaire sénégalais peine encore à lever certaines contraintes liées au déficit de ressources financières. Les grèves cycliques dans le secteur et les complaintes récurrentes des usagers confirment le diagnostic.

Le sort malheureux des fistuleuses de Matam

FistuleUne campagne de réparation de fistules obstétricales a permis à une équipe de médecins venus de Dakar de rendre la dignité à 11 femmes de la région de Matam. Après guérison, elles ne vivront plus isolées de leurs familles.

Le Centre hospitalier régional de Ourossogui, au Nord du Sénégal, grouille de monde  le 27 novembre 2013. Les patients, en particulier les femmes, originaires  de plusieurs localités, notamment les plus reculées de la région de Matam, ont pris d’assaut leur principale structure de santé.

GESTION DES ORDURES-ARRIVEE ANNONCEE D’INVESTISSEURS ETRANGERS Le Sénégal commence sa toillette avec 17,5 milliards

Le Programme national de gestion des déchets (PNGD) sera bientôt lancé. Nécessitant 170 milliards de F Cfa pour une durée de 7 ans, le PNGD a déjà obtenu de la Banque islamique de développement (BID) 17, 5 milliards. A travers celui-ci, les autorités espèrent, à terme, rendre les villes sénégalaises attractives surtout avec l’arrivée annoncée des investisseurs étrangers.

 

17,5 milliards de F Cfa ont été débloqué par la Banque islamique de développement (BID) afin de débarrasser notre pays de ses ordures. La révélation est du ministre des Collectivités locales, Me Oumar Youm, qui avance toutefois que ce montant est la première phase d’un programme de nettoyage qui requiert 170 milliards de nos francs pour une durée de vie de 7 ans.

Les négociations au point mort entre l’Etat et les médecins du Sames

Dr Mbaye Paye SAMESLe Syndicat autonome des médecins du Sénégal (Sames) a bouclé, hier, son quatrième jour de grève. A part une rencontre avec les services du ministère de l’Urbanisme et de l’Habitat vendredi passé, son secrétaire général a assuré que les négociations sont au point mort.

Depuis que le Syndicat autonome des médecins du Sénégal (Sames) est entré en grève, jeudi passé, aucune avancée significative n’a été notée dans les négociations. A en croire Dr Mbaye Paye, son secrétaire général, c’est le statu quo total. « Vendredi passé, nous avons rencontré les autorités du ministère de l’Urbanisme. Des propositions nous ont été faites concernant le point sur les terrains à usage d’habitat. Pour le moment, nous ne pouvons rien divulguer à ce propos. Mais sachez qu’à part cela, aucune avancée n’a été notée sur les autres points », a-t-il martelé.

Couverture maladie universelle : La mise en place des mutuelles de santé se poursuit à l’intérieur du pays

Les mutuelles de santé joueront un rôle clé dans la pérennisation de la Couverture maladie universelle (Cmu). Leur processus d’implantation se poursuit. C’est ce qui ressort d’une session de formation des observateurs organisé par l’Institut panafricain de recherche, de formation et d’action pour la citoyenneté, les consommateurs et le développement (Cicodev). 
La Couverture maladie universelle (Cmu) fait son chemin. Après la mise en œuvre de ses axes, comme le renforcement du « Plan sésame », la gratuité des césariennes et des accouchements dans certaines zones, ainsi que celle des soins pour les enfants de 0 à 5 ans, l’implantation des mutuelles de santé se poursuit dans les régions. 

MALADIES NEGLIGEES - 3ème Campagne de distribution de médicaments de masse prévue en mai : Le Sénégal poursuit l’offensive pour arrêter la transmission

"<pLe constat est que les Maladies tropicales négligées (Mtn) ne font pas l’objet de suffisamment de communication, ni de campagne de sensibilisation encore moins de moyens pour la prévention et la prise en charge, alors qu’elles touchent le milieu rural, les populations les plus pauvres et les couches défavorisées. C’est l’une des raisons qui poussent la coordination de la lutte contre les Mtn à dérouler des campagnes annuelles de distribution de médicaments de masse qui font partie des stratégies contenues dans le Plan directeur contre les maladies tropicales négligées, mis sur pied depuis 2011.

Des parlementaires de la Cedeao et de l’Uemoa pour une taxation plus forte sur le tabac

A l’issue d’un atelier régional de plaidoyer organisé, le 11 février dernier, à Abidjan, par le Consortium pour la recherche économique et sociale (Cres), la Cedeao et l’Uemoa, des parlementaires ont rédigé une déclaration dans laquelle ils demandent aux Etats membres d’appliquer une taxation plus forte sur le prix du tabac.

Le tabagisme est une menace pour la santé dans le monde.

Phase d’urgence de lutte contre les inondations : Les services exhortés à parachever les travaux avant l’hivernage

Le Premier ministre exhorte les services à maintenir le rythme d’exécution des ouvrages de stockage et de drainage des eaux dans une synergie voulue par le président de la République. C’était hier, au cours d’une réunion interministérielle sur les travaux de la phase d’urgence du Programme de lutte contre les inondations.
Le niveau d’exécution des travaux de la phase d’urgence du Programme de lutte 2014 contre les inondations est satisfaisant. C’est ce qui ressort d’une réunion interministérielle portant sur ce programme. Dans certaines zones, les taux de réalisation varient entre 31 % et 71 %. « Nous avons des projets de drainage à Guinaw-rail, Aïnoumady, Rufisque et Ben Barack. Le  taux d’exécution varie entre 31 % et 71 %, à l’exception du sous-projet de Rufisque. Ce dernier n’a pas démarré à cause des impenses. Mais le problème est en train d’être résolu », a expliqué le ministre de la Restructuration et de l’Aménagement des Zones d’inondations, Khadim Guèye.  

DOCUMENT - Axes prioritaires du 11ème Fonds économique de développement (Fed) : L’Etat du Sénégal ignore royalement le secteur de la santé

La santé, surtout celle de la reproduction, n’a pas été prise en compte dans le document validé par le Sénégal et remis à l’Union européenne pour financement, dans le cadre du 11ème Fonds économique de développement (Fed). Ce qui n’est pas du goût des acteurs de la Société civile qui ont proposé un document avec des indicateurs de santé à l’appui, afin de sensibiliser les décideurs du pays à mieux prendre en compte cette dimension.

Le dernier rapport de l’Etude démographique et de santé (Eds V) est sans équivoque sur la situation sanitaire du Sénégal en termes de statistiques. Il résulte en effet de ce rapport, que la mortalité maternelle est de 392 décès maternels pour 100 mille naissances vivantes, soit une baisse de 9 points de 2005 à 2011. Cette situation s’explique entre autres, par l’insuffisance dans l’accessibilité, la disponibilité et la qualité des services. 
Aussi, 1720 femmes meurent-elles chaque année en donnant la vie, soit 5 décès par jour. La même source révèle que la mortalité infanto-juvénile a baissé de 48 points de 2005 à 2011 (121 pour mille à 72 pour mille), la mortalité maternelle a stagné avec un recul de 6 points durant la même période et la mortalité infantile a connu une baisse de 14 points. Or l’Objectif du millénaire pour le développement 4 vise respectivement pour les deux indicateurs précités, des taux de 44 pour mille et 16 pour mille en 2015. Ainsi, force est de constater que l’atteinte des Omd est hypothéquée. 

Sénégal -COL DE L’UTERUS - 795 femmes atteintes du cancer meurent chaque année au Sénégal : Des estimations qui appellent une forte mobilisation des populations

Les populations sont invitées à développer le réflexe de prévention du cancer du col de l’utérus, en se faisant dépister de façon précoce ou en adoptant la méthode vaccinale, dont l’efficacité est prouvée. Ce sera la meilleure façon, selon Dr Abdoul Aziz Kassé, cancérologue, de lutter ce type de cancer dont les estimations font état de 795 morts chaque année au Sénégal en plus de plus de 1700 cas décelés…   

L’Institut international du cancer, dans ses travaux de recherches, a attribué au Sénégal, le chiffre assez inquiétant de 795 femmes, qui meurent chaque année du cancer du col de l’utérus. Aussi, pas moins de 1700 cas du même type de cancer est-il décelé chaque année chez les femmes, toujours dans ce pays. Même si le Docteur Abdoul Aziz Kassé cancérologue ne confirme pas ces statistiques, il n’en fait pas moins remarquer, qu’à la lecture des registres du cancer dans des pays comme le Mali, la Côte d’Ivoire ou encore la Guinée Conakry, il est tout à fait possible qu’on atteigne ce chiffre. Parce que le Sénégal a plus ou moins, les mêmes caractéristiques, que ces pays voisins…