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Ven, Juil

Sénégal - "Homme de l'année 2018" : Bruno Diatta, sans protocole

Bruno Diatta, chef du protocole du Palais pendant 40 ans, mort à 69 ans, est l'Homme de l'année. Seneweb a suivi ses traces de Cabrousse à Dakar en passant par Saint-Louis.

 

Louis, on ne le présente plus. Son nom complet ? Bruno Robert-Louis Diatta. Plus connu sous Bruno Diatta ou, familièrement, Bruno. Chef du protocole de la Présidence pendant 40 ans, il a servi sous tous les chefs de l'État, Senghor, Diouf, Wade et Macky Sall. Mort le 21 septembre, à 69 ans, il repose au cimetière de Bel-Air. Ce bel homme à la silhouette fine, au visage carré, au teint crème, fou de foot et à la mise toujours impeccable est l'Homme de l'année 2018. Titre que Seneweb attribue tous les ans, depuis 2014, à une personnalité qui aura marqué les douze mois précédents.

Message de noël dans un contexte de tension préélectorale au Sénégal la déclaration de Mgr Benjamin Ndiaye très attendue, ce lundi

 La communauté chrétienne célèbre Noël demain, mardi 25 décembre, commémorant la naissance du Christ. Occasion pour l’archevêque de Dakar, Mgr Benjamin Ndiaye, dont la déclaration est attendue aujourd’hui à sa Résidence Les Badamiers, de revenir sur l’actualité et inviter les fidèles à un retour à Dieu, dans un contexte préélectoral très tendu au Sénégal. 

Noël 2018 sera fêté demain, mardi 25 décembre. En cette occasion, le message du Pape François est très attendu, en plus de ceux des chefs de l’Eglise un peu partout à travers le monde, revenant sur l’actualité et invitant les fidèles à un retour à Dieu.

Sénégal - La profanation des lieux de culte : responsabilité et engagement

Suite à la profanation de la cathédrale de Kaolack, nous  partageons quelques réflexions et lançons un appel aux sénégalais et à l’Etat La profanation des lieux de culte se pose avec acuité au Sénégal ces dernières années. Si dans les années 80 ce phénomène était rare (destruction de la grotte de Popenguine en 1982, rare élément connu de cette époque), plus de quinze (15) cas ont été enregistrés entre 2010 et 2018). La connaissance de pareils actes est-elle liée à une communication plus accessible ? C’est-à-dire la prolifération des outils de communication qui a permis de mieux connaitre ces phénomènes de profanation ? Ou bien sommes-nous en face d’une situation nouvelle remettant en question les valeurs religieuses les plus sacrées au point de banaliser de pareils actes. Ce qu’il faut retenir au préalable c’est la généralisation de cette profanation. Il ne s’agit absolument pas d’actes isolés comme on veut nous le laisser entendre. Nul n’est épargné : musulmans, chrétiens, autres confessions religieuses.          

Exploitation sexuelle, harcèlement et abus dans les écoles secondaires au Sénégal Human Rights Watch charge les enseignants

 Human Rights Watch (Hrw) a rendu public, hier, jeudi 18 octobre, son rapport intitulé «ce n’est pas normal : exploitation, harcèlement et abus dans des écoles secondaires au Sénégal».  L’organisation non gouvernementale (Ong) indexe les enseignants et dénonce le silence pour la plupart des responsables des établissements. Non sans inviter l’Etat à mettre fin à la culture du silence et à sanctionner les enseignants coupables d’abus. 

Confidence - « J’ai avorté 7 fois, aujourd’hui je cherche une solution pour enfanter »

Vous allez certainement me juger mais je regrette amèrement mes erreurs du passé. Je m’étais faite la promesse de me marier vierge, hélas nous avons nos rêves mais il y a aussi les réalités de la vie.

J’ai grandi dans une famille chrétienne, mes parents étaient des responsables à l’église mais cela ne m’a pas empêché de faire ce que j’ai fait.

J’étais une fille très brillante à l’école. J’avais d’excellentes notes et mon autre atout était aussi ma beauté.

Vivement les Assises de la Société civile au Sénégal

L’affaire de Lead Africa, accusé d’enfreindre la Loi sur les financements d’ONG  au bénéfice de  "Y en a marre" , par le par Ministère de  l’Intérieur du Sénégal ,   a donné l’occasion à nombre d’organisations de la Société civile du pays,  à se mettre en rang de bataille pour défendre sa cause.

Curieusement, cette mobilisation  se présente comme une Défense de "Y en a marre", comme si le Ministère de l’Intérieur l’avait accusé d’un manquement quelconque à la Loi,  et lui avait infligé une sanction administrative.

Ainsi, l’on assiste à une dérive spectaculaire dans notre  Société civile, qui, de « Défenseurs des Droits Humains » s’est transformée subitement en «  Défenseurs des Droits leurs Bailleurs de Fonds » !

Ce dont elles ont peur, c'est  ce qui est arrivé à Lead  Africa, n'arrive à leurs propres Bailleurs!

Sénégal : un rapport dénonce l'exploitation sexuelle dans des écoles

#SénégalBalanceTonVioleur - Sénégal : un rapport dénonce l'exploitation sexuelle dans des écoles

#SénégalBalanceTonVioleur - Sénégal : un rapport dénonce l'exploitation sexuelle dans des écoles

Human Rights Watch (HRW), dans un rapport publié jeudi 18 octobre, fait état de pratiques souvent peu dénoncées, d'exploitation et d'abus sexuels à l'école, principalement perpétrés par des enseignants et des responsables éducatifs. L'ONG constate que les enseignants abusent de leur position d'autorité pour harceler les filles et les jeunes femmes et essayer d'avoir des relations sexuelles avec elles.

Cérémonie officielle le khalife appelle la classe politique à l’apaisement

 Par l’entremise de son porte-parole, Serigne Bassirou Abdou Khadre, le Khalife général des mourides, Serigne Mountakha Bassirou Mbacké, a appelé à l’apaisement, en perspective la prochaine présidentielle 2019. Mieux, il a souhaité aussi que les fidèles musulmans soient unis dans l’intérêt de l’Islam. L’édition 2018 du grand magal de Touba  a pris fin hier,  lundi 29 octobre, avec la cérémonie officielle présidée par le Khalife lui-même et le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye. 

Exclus des établissements privés les étudiants battent le macadam, l’Etat rassure

 Exclus de leurs établissements, les étudiants orientés par l’Etat dans le privé ont organisé hier, mardi 16 octobre, une procession allant de la Place de l’Obélisque au Rond-point de la Rts. Ils exigent de l’Etat, le paiement de la dette qu’il doit auxdits établissements afin de leur permettre de reprendre les cours. En effet, ils sont 40.000 étudiants à être renvoyés des établissements privés.