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Sénégal - Violences parasitaires

 

Au Sénégal, force est de constater  que dès qu'il est en position de pouvoir, le parti politique, surtout en ces temps qui courent, devient un lieu où s'expriment toutes les convoitises et les rivalités entre militants. Comme l'herbe fraiche des pâturages, il attire les troupeaux à la recherche de zones de paissance. Paitre, brouter, "manger", participer au banquet devient l'ultime objectif. Et cela à n'importe quel prix, quitte à en venir aux mains entre militants de formation politique hégémonique, comme l'actualité en rend compte quotidiennement.

Le Parti socialiste et le Pds qui en étaient victimes ont désormais cédé la place à l'Apr. Il y a ainsi quelque chose de troublant voire de pathétique lorsque l'on observe ainsi  la violence qui prend à la gorge les partis politiques dès qu'ils accèdent aux commandes de l'Etat. Comme par enchantement, le calme et la convivialité fraternelle et sororale  qui régnaient du temps où ils étaient plongés dans l'opposition  se muent en une véritable guerre  de tranchées  où sont invités  coups de poings, armes blanches, coups de feu, insultes et insanités de toutes sortes. Et cela occasionne des blessés graves  ou parfois des tragédies qui se soldent par des vies qui passent à trépas.

Le report des locales semble certes tard, mais c’est ce qui aurait dû être.

Nous l’avons déjà dit, dans une émission intitulée : « Manières De Voir » de ToubaTV, le 22/11/2013, que le Gouvernement de Macky Sall mettrait la charrue avant les bœufs, en ce qui concerne les élections des collectivités locales, s’il les tenait avant les réformes et qu’il était raisonnablement plus indiqué de les reporter à plus tard dans l’intérêt général de tout le pays. L’impréparation à tous les niveaux, aussi bien pour l’Etat que pour les partis et coalitions, saute manifestement aux yeux de tous les observateurs avertis,  qui ont eu l’expérience et l’habitude de prendre part à des élections en général.

PRESIDENT SALL, SI VOUS PERMETTEZ… PAR ABDOULAYE ROKHAYA WANE, Parlons aux dirigeants des médias

 

Au Sénégal, pays de grands intellectuels et traditionnellement de grands débats, le constat le plus partagé est la quasi absence de débat public sur les enjeux, concernant les choix de société et les stratégies économiques, du fait notamment de la peopolisation de la presse. Aussi, on peut se demander, comment la presse sénégalaise pourra t-elle assumer cette fonction indispensable à la démocratie et à la bonne gouvernance  si,  pour l’essentiel, elle ne s’intéresse qu’aux faits divers, aux ragots, à la rumeur et au divertissement ? On est en droit de se demander également, quelle est la responsabilité de l’Etat pour veiller à ce que la presse, qui vit présentement une crise existentielle et une crise  des valeurs,  dispose des conditions de son développement?

 

 

La presse nous a souvent honorés

Remerciement de BES DU ÑAKK au Peuple Sénégalais

 


Mes chers compatriotes Sénégalais, BES DU ÑAKK vous dit merci. Depuis Washington où je me trouve en mission dans le cadre du « Réseau des Parlementaires du Fonds Monétaire et de la Banque Mondiale », je viens d’apprendre comme vous, que le Ministre de l’intérieur du Sénégal vient de porter à votre attention, par voie de presse, la délivrance par ses services, de notre récépissé de parti politique légal.


BES DU ÑAKK, après avoir rendu Grâce à Dieu le Tout Puissant, félicité par ma voix son Directoire National, ses amis, sympathisant(e)s, toutes ses militantes et tous ses militants pour cette victoire méritée, voudrait avant même de donner libre cours à un sentiment de satisfaction et de joie largement partagé, s’acquitter de son devoir de remerciement de tout cœur, à l’endroit des millions de Sénégalais anonymes qui, implicitement ou explicitement, activement et ouvertement, ou par des prières salvatrices, dans les mosquées, les églises et les chaumières, ont soutenu notre combat légitime.

Eclairage : Se ressaisir

L’enthousiasme, voire la frénésie qui s’empare  des responsables de l’Apr, à l’approche des élections locales est, en soi, une bonne chose. C’est signe de vitalité d’un parti mobilisé qui occupe le terrain. Le hic est que les uns et les autres « s’emballent » et mettent en charpie la camaraderie de parti, la solidarité voire la fraternité militante. Et c’est là où le bât blesse.
Que les partis au pouvoir au Sénégal soient coutumiers de ces dérives  n’est ni une excuse valable encore moins une absolution pour tous ceux qui ont déjà gravement dérapé. Il est donc grand temps de se ressaisir et de suivre les recommandations pertinentes du leader du parti, le président Macky Sall qui invite tous les membres à agir … en responsables. 

L’INVINCIBILITÉ’’ DU VIRUS EBOLA JUSTIFIE UNE AUTRE APPROCHE EN SANTÉ PUBLIQUE !!!

 

Voilà qu’une épidémie au virus Ebola sévit en Guinée et menace toute la sous-région, du fait de la rapidité de la transmission surtout interhumaine et de l’absence de vaccins et de traitements efficaces ; oui, toutes les stratégies proposées jusque-là, restent illusoires ; ce qui légitime le recours à une autre approche, tenant compte de la dimension spirituelle et donc inspirée des ‘’Textes Sacrés’’ (Coran, Hadith, Evangile et Thora) qui sont ‘’une explication de toute chose’’ et une exhortation à une vie saine [(6. Les Troupeaux ou Les Bestiaux : 154 –Al-An’âm) ; (16. Les Abeilles : 89-90 – An-Nahl)].  

Oui, le Coran est ‘’une explication de toute chose’’ ; c’est ainsi que le Prophète (psl) qui est le ‘’plus grand médecin de santé publique’’ exhorte à ceux qui se trouvent en zone épidémique à y rester et à ceux qui ne s’y trouvent pas à ne pas s’y rendre, jusqu’à l’extinction de l’épidémie. Au-delà de ce principe fondamental de santé publique, il nous a laissé en héritage un enseignement d’une importance capitale, comme en témoigne ce Hadith :

- Abû Hurayra a transmis ces propos du Prophète – sur lui la grâce et la paix – « Médine sera protégé de la peste et de l’Antéchrist ». (Rapporté par Bukhari)

COMMUNIQUÉ DE PRESSE-BES DU ÑAKK , 03 avril 2014

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

 

               Dakar, le 03 avril 2014

 

Le Directoire National de BES DU ÑAKK a tenu le jeudi 03 avril 2014 sa réunion hebdomadaire à son siège, sis à Khar Yalla dans la salle Nelson Mandela  sous la direction de son Président Mansour Sy Djamil, pour se pencher sur la situation politique nationale du pays.

 

Analysant le débat national et international suscité par le refus de délivrance de son récépissé par les autorités sénégalaises, il se félicite des nombreuses marques de sympathie et de soutien provenant de toutes les couches de la population sénégalaise, de la Diaspora et de certains partis politiques et organisations de la société civile.

A PROPOS DU PROJET D’ÉCRITURE DE L’HISTOIRE GÉNÉRALE DU SÉNÉGAL DES ORIGINES A NOS JOURS, à l’initiative du PR THIAM.

   Le quatre Avril 2014, le Sénégal  fêtera le cinquante-quatrième anniversaire de son indépendance nationale. Beaucoup de sénégalais s’interrogent toujours sur la date réelle de celle-ci.  Cette histoire de l’indépendance se conte différemment par les  communicateurs  traditionnels et certains auteurs  semant délibérément  la confusion sur des séquences  importantes et sur nos authentiques héros, dans le but clairement établi,  de justifier la supériorité et la domination decertains groupes sur d’autres. D’autres par contre, enseignent conformément à leur appartenance à telle conception ou position politiques, et /ou à tel évènement historique dont ils furent acteurs.

Beaucoup de nos médiats ont invité des griots dits communicateurs traditionnels, à s’épancher  sur l’histoire du 04 Avril, la contant comme une acquisition personnelle,  construisant des liens de causalité  avec tel ‘’BURBA’’  ou tel marabout. Parfois même ce serait grâce à telle autre personnalité politique.  Certains n’étaient inspirés que par et pour, les Présidents LEOPOLD SEDAR SENGHOR et MAMADOU DIA.

Lettre aux députés de l'assemblée nationale du Sénégal - Refus de délivrance d’un récépissé de parti politique à BES DU ÑAKK par le Gouvernement du Sénégal

A tous les Honorables Députés de l’Assemblée Nationale du Sénégal

 

 

Monsieur/Madame l'Honorable Député(e)

Représentant(e) du Peuple Sénégalais

à l’Assemblée Nationale

Place Soweto, DAKAR

 

Objet : Refus de délivrance d’un récépissé de parti politique à BES DU ÑAKK par le Gouvernement du Sénégal

 

Monsieur/Madame l'Honorable Député(e),

A cet instant précis décisif pour notre démocratie, où votre auguste assemblée est saisie pour voter en session plénière, un nouveau code électoral déterminant pour notre démocratie et l’avenir de notre pays, il ne doit pas être acceptable pour les démocrates que vous êtes, que le ministre de l’intérieur et le chef de l’Etat du Sénégal, piétinent la Constitution de notre pays en ses articles 8 et 12, en refusant à des Sénégalais honorables, de se constituer en parti politique.

N’EST-IL PAS TEMPS DE COMMÉMORER AUTREMENT NOTRE INTERDÉPENDANCE ?

En vérité, tout peuple obéit à un processus de maturation, avec des étapes incontournables ; et à chaque étape, ses capacités, mais aussi ses insuffisances (limites) ; c’est ainsi qu’après plus de cinquante ans d’indépendance, il faudrait nécessairement une véritable introspection, devant déboucher sur une nouvelle vision du monde, car tenant forcément compte de l’évolution ‘’naturelle’’ de nos convictions religieuses et philosophiques, et qui devrait impacter très significativement les secteurs essentiels qui sous-tendent notre émergence : l’éducation, la santé et l’économie. 

DROIT DE REPONSE A L’ARTICLE DE PRESSE PARU DANS L’OBS DU 8 AVRIL 2014, RELATIF A UN DETOURNEMENT ORGANISÉ AU SAMU

J’ai été affligé par les propos malveillants, calomnieux, sarcastiques et tendancieux de l’article paru dans le Journal l’OBS du 8 Avril 2014, sur un détournement organisé au SAMU.

La meilleure sagesse est de donner la juste information, surtout quand votre article peut salir à jamais la réputation des êtres humains. Mieux vaut aller à la bonne source, avoir des informations que l’on peut vous servir ou se taire, au lieu de se lancer dans des considérations fantastiques.

Je continue de dire qu’à votre arrivée je n’étais au courant d’aucun détournement présumé et vous avez oublié de dire que ma déclaration était la même que celles du Trésorier et de la Gestionnaire qui n’étaient pas présents. Je ne suis ni omniscient, ni omnipotent pour tout savoir, et je ne mentirai pas pour vous faire plaisir.

Sénégal - Indépendance Cha Cha ?

Sénégal An 54

 
Quelle Indépendance,
Monsieur Le Président ?
 
 
Où Macky Sall avait-il la tête, jeudi, lors de son discours à la Nation ? Le choix d'un partitif à la place d'un article défini a gâché la valeur d'unmessage somme toute laborieux dans sa conception et sa déclinaison.

 

Les puristes se posent encore des questions sur la chute du discours à la Nation du président de la République, le 3 avril. En clôturant son speech par un ronflant "Bonne fête d'indépendance", Macky Sall renvoie à toute manifestation sauf celle précise du lendemain : l'article défini (le, la l élidé) est plus précis que le partitif "de" qui n'englobe que partiellement,  par définition  ;il eût été préférable à l'imprécision. Ainsi, faute de se référer à celle du lendemain, le président de la République aura fait allusion à toute fête marquant la célébration de l'accession à la souveraineté suprême. Pour tout pays l'ayant en commun avec le Sénégal. Donc dont le Sénégal ?

Communiqué du Forum de la Renaissance Africaine (FORA)

 
A l’occasion de la journée commémorative de la Renaissance Africaine
En cette journée commémorative de la Renaissance Africaine, le Forum de la Renaissance Africaine (FORA) voudrait féliciter les Africains du Continent et de sa Diaspora et les inviter à rester solidaires devant toutes les épreuves que l’Afrique aura encore à traverser dans sa longue et exaltante marche vers la stabilité et le développement.