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La Une de la Presse

La Une de la Presse (1514)

Gambia  

Le projet de révision constitutionnelle en 15 points proposé par le Président Macky Sall est diversement apprécié par les partis de gauche qui semblent émettre moult sons de cloche sur la question. Au niveau de la Ligue démocratique et d’And-Jef version Landing Savané, les propositions du Chef de l’Etat peuvent ainsi tenir la route. Même si, selon le porte-parole des Jallarbistes Moussa Sarr, «Tout ce que nous avions souhaité, à travers les Assises, n’est pas et ne peut pas se retrouver dans les mesures annoncées».   

Pour ces deux partis par ailleurs, les mesures du chef de l’Etat nécessitent tout de même «un consensus fort», bâti autour de « la concertation, du dialogue, de l’inclusion de toutes les forces vives de la Nation », d’après Fallou Sarr, le porte-parole d’Aj/Pads-A. Ces positions «conciliatrices» se retrouvent pourtant en porte à faux avec celles du Rnd et du Front national de salut public «Mom sa rew». 
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Sénégal   Le professeur de droit pénal à l’Université de Dakar, Mody Gadiaga, est formel. « Ce n’est pas parce qu’une infraction est flagrante qu’elle doit être nécessairement jugée en procédure de flagrant». Réagissant à la polémique liée à l’affaire Oumar Sarr, le député libéral arrêté et inculpé pour flagrant délit, le spécialiste du droit pénal a tenu à recadrer les choses en faisant savoir sans ambages qu’ « il est absolument faux de dire que lorsqu’une infraction est flagrante, elle doit être nécessairement jugée en procédure de flagrance ». Qui plus est, Mody Gadiaga révèle dans cet entretien exclusif avec Sud Quotidien, et contre l’avis de certains juristes, qu’une infraction peut-être flagrante et donner lieu à l’ouverture d’une information judiciaire.  

Sénégal  Les sentiers de modernisation de la ville de Tivaouane inaugurés la semaine dernière par le président Macky Sall font l’attraction.  Nombreux sont les pèlerins qui prennent d’assaut les lieux en cette période de Gamou.  Venus pour se faire photographier ou par simples curiosité, ils squattent les deux bâtiments pour apprécier, de plus prés, les réalisations.  

C’est un Macky Sall d’attaque qui a profité de l’université républicaine tenue au cours du week-end, à Saly-Portudal, pour clamer haut et fort ses quatre vérités sur les grandes questions qui agitent le champ politique sénégalais. Sans prendre de gants, le chef de file de l’Apr et chef de l’Etat a tour à tour dézingué l’opposition, apporté son éclairage sur la tenue du référendum et la réduction de son mandat de sept à cinq ans, avant de clarifier le jeu quant à la candidature à la présidentielle au sein de la coalition Bennoo Bokk Yaakaar (mouvance présidentielle).

Sénégal  Longtemps considérée par ses détracteurs comme une juridiction qui ne garantit nullement l’observance des règles essentielles d’un procès juste et équitable, la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) va finalement être réformée, après avoir fait 13 victimes. Le ministre de la Justice, Garde des sceaux, Sidiki Kaba, vient de confirmer les propos tenus par le chef de l’Etat, Macky Sall, à diverses occasions (ouverture des Cours et tribunaux, ITW accordée à I-télé), ainsi que l’annonce faite par l’ancienne Premier ministre, Aminata Touré. Cette décision de l’Etat rejoint à bien des égards les soucis exprimés par nombre des détracteurs de cette Cour, à l’image des «Droits de l’hommistes», des avocats et politiques, et même certaines plumes.     

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Sénégal   La Conférence climat de Paris se tient dans quelques jours dans un contexte lourd marqué par les attentats du 13 novembre en France. Mais, dans le monde, si le terrorisme inquiète, les vraies questions qui se posent en cette fin d’année 2015, restent plus dans la possibilité pour les uns et les autres, d’arriver à un accord climat, après la Cop 21.

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Bill gates   La capitale du Mali, Bamako, a été secouée hier, vendredi 20 novembre par une prise d'otages, menée par de présumés jihadistes à l’hôtel Radisson Blu. On déplore au moins 27 morts. Pourtant, en juin dernier, un accord de paix avait été signé entre le gouvernement et certains groupes rebelles. Malgré cet accord, la violence se poursuit.   Plus de neuf heures d'angoisse hier, vendredi 20 novembre à Bamako. L'attaque a commencé à 7h du matin et s'est achevée à 16h, suite à l'intervention des forces de sécurité maliennes. Les opérations de sécurisation se sont poursuivies jusque tard dans la soirée. Trois des assaillants sont morts, l’un d’entre eux s’étant fait exploser. Les forces maliennes ont été aidées par des militaires étrangers, présents au Mali, en raison de la crise qui touche le pays depuis 2012.

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Sénégal   A l’instar de tous les autres pays, le Sénégal court le risque d’être attaqué par les terroristes. Les autorités étatiques en n’ont pris conscience. Le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, interrogé hier, lundi 16 novembre, à la réunion préparatoire du magal de Touba, a estimé que notre pays n’est pas à l’abri d’une surprise.

La question de la dissolution de l’Assemblée nationale, qui fait suite au problème lié à la constitution du groupe parlementaire des «Libéraux et Démocrates» est de plus en plus agitée. A l’instar de bon nombre d’hommes politiques, ainsi que de personnalités de la société civile, un Observatoire citoyen pour la défense des Institutions (Ocdi), regroupant des citoyens sénégalais de tout bord, a lancé hier, vendredi 13 novembre, une pétition nationale et internationale, dénommée «Sauvons notre Assemblée». Awa Abdoul Ba, membre dudit observatoire, et compagnie réclament la tête de Moustapha Niasse, ainsi que la dissolution de la 12ème législature.

Après deux retours de parquet, l’imam Alioune Badara Ndao et ses cinq acolytes arrêtés pour actes de terrorisme ont été présentés au doyen des juges d’instruction ce vendredi. A l’issue de leur face-à-face, un seul a obtenu la liberté. Le reste a été placé sous mandat de dépôt.