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Dim, Mai
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On en sait un peu plus sur le blocage du salaire du Professeur Amsatou Sow Sidibé depuis qu’elle a quitté la présidence de la République, au mois de février dernier. L’ancien ministre conseiller indique avoir saisi qui de droit mais aucune réponse ne lui est servie sur le blocage de son salaire.

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Abdoulaye Makhtar Diop répond à Djibo Kâ. Le patron de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd) avait soutenu que la proposition du Grand Serigne de Dakar de rendre obligatoire le vote est antidémocratique.

« J’ai entendu Djibo Ka dire que le vote obligatoire est antidémocratique. Il veut donc dire que les États-Unis, l’Australie, le Luxembourg, la Belgique, qui abrite le siège de la Commission européenne des Droits de l’homme, sont antidémocratiques ? Tout le monde sait que ces pays sont des exemples de démocratie »’, déclare le Grand Serigne de Dakar, député à l’Assemblée nationale, Abdoulaye Mokhtar Diop, dans l’émission “Peccum rewmi wi’’ de Rewmi Fm. ,

Idrissa Seck a fait face à la presse, hier, pour analyser les résultats du référendum du 20 mars 2016. Au terme de son diagnostique, il a invité le Président Macky Sall à méditer sur l'érosion de moitié de son électorat en quatre ans seulement de pouvoir. " En mars 2012, 1.909.244 ont voté pour Macky Sall. En mars 2016, 710.000 d'entre eux lui ont tourné le dos. Seulement 1.200.000 lui ont dit Oui.

 

 

Dans une tribune que nous avions faite en 2013, nous avions averti le peuple sénégalais sur la volonté de Youssou NDOUR  de torpiller la constitution en amalgamant son business et ses fonctions ministérielles, par l’organisation d’un concert commercial à Bercy (Titre de la tribune : Youssou NDOUR doit choisir : entre Bercy et Building). En affirmant publiquement que maintenant c’est lui le seul patron de Dakar, Youssou NDOUR flirte à nouveau avec l’arrogance, frôle le ridicule, et promeut une monarchie des riches. En fustigeant karim WADE parce qu’il est français, même sans le dénommer, ces propos peuvent inciter à la haine politique  des binationaux de couleur blanche ou métissée. Ce qui est pénalement puni en France, pays dont il aurait lui-même la nationalité.

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Abou Abel Thiam alerte son « ami Macky Sall » sur les dérives qui menacent l'Alliance pour la République. Dans une longue interview accordée au Témoin, le président du Conseil d’administration de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (Artp) révèle que "les lobbies d’argent" qui sont dans l’ombre du pouvoir de l’Apr et qui étaient dans l’autre camp. "Aujourd’hui que le pouvoir est là, ils viennent prendre ce pouvoir. Et c’est souvent des lobbies d’argents qui investissent l’Apr pour se rendre incontournables et pour peser sur la nomination à des directions et à des ministères", dit-il. 

Le projet de loi portant révision de la Constitution, soumis au peuple sénégalais lors du référendum du 20 mars 2016, contient des innovations qui apportent une valeur ajoutée certaine à la démocratie sénégalaise. 

Les innovations audacieuses contenues dans ce projet de révision en font, après celles de 1976 qui a fait passer le pays du parti unique au pluralisme, la plus grande révision constitutionnelle consolidante de l’histoire du Sénégal. Elle fait des options audacieuses et ferme, par la consécration de l’intangibilité des dispositions vulnérables, la porte aux possibilités de révisions dé-consolidantes connues par le passé. 

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Le président du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle n’a pas mis de gants pour répondre à son désormais ex-allié, le député Imam Mbaye Niang. Très remonté contre ce dernier, qui doute de l’éthique de Macky Sall, Moustapha Diakhaté affirme, dans un entretien qu’il a accordé à Walf Quotidien, que son collègue ne croit pas à la République. 
Le Conseil constitutionnel saisi le 19 janvier dernier révisera certainement l'architecture technique présentée par le président de la République dans son projet  de révision constitutionnelle : les dispositions proposées conduisent tout droit à une dictature qui ne dit pas son nom avec un verrouillage systématique qui ne donne aucune autre alternative au citoyen. Sur les principaux points en effet, notamment sur la procédure d'élection et de durée du mandat du président de la République et sur la forme républicaine, la laïcité, le caractère indivisible, démocratique et décentralisé de l’État, M. Macky Sall ne laisse aucune alternative actuelle quand il affirme que "cet  article ne peut être l’objet de révision".
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Malick Gakou continue de pêcher dans les eaux progressistes jusque dans le fief de Moustapha Niasse à Keur Madiabel. En atteste le ralliement du chargé des élections de l’Afp, Aliou Niang. «Je respecte beaucoup Moustapha Niasse, mais je suis jeune et j’ai des ambitions. J’ai rejoint le Grand parti car Malick Gakou a été courageux de décliner son ambition pour ce pays.