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Sam, Sep
SENETOILE NEWS

SENETOILE NEWS

L’acte 2 de l’enquête sur la mort de l’étudiant Bassirou Faye vient d’être signé par Mahawa Sémou Diouf. Après que le procureur de la République a ordonné l’arrestation jeudi dernier du policier Tombong Waly, le Doyen des juges l’a en effet placé sous mandant de dépôt pour «homicide volontaire». L’adjudant de la police, désigné comme le «tueur» de l’étudiant Bassirou Faye, a ainsi passé sa première nuit hier à la maison d’arrêt et de correction de Rebeuss, au grand désarroi de son avocat, Me Bamba Cissé. La robe noire avale difficilement la pullule de cette arrestation et répète à l’envie qu’on file droit vers un fiasco judiciaire.

Abu Dhabi, Émirats Arabes Unis - Lundi 20 Octobre 2014 [ME NewsWire]

 

 

Le ministère de l'Intérieur des Émirats Arabes Unis a obtenu la part du lion en remportant 14 prix Stevie lors de la cérémonie annuelle de remise des prix aux sociétés internationales dans sa 11ème édition pour l'année 2014 tenue à Paris. Les prix Stevie sont les premiers prix d'affaires au monde, honorant l'innovation, l'excellence institutionnelle et les affaires internationales. Dr Ahmed Nasser Al Raisi, directeur général des Opérations centrales à la police d'Abu Dhabi, a reçu le trophée Stevie d'or pour le meilleur "Directeur exécutif en technologie de l'information de l'année».

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Sénégalais

Les déclarations des proches du chef de l’Etat se suivent et se ressemblent. Après Arona Coumba Ndoffène Diouf qui estime que Khalifa Sall n’est pas «l’interlocuteur» du Président, c’est Mahmoud Saleh qui en rajoute pour dire qu’il n’est pas son «alter ego».

Arona Coumba Ndoffène Diouf avait déclaré dimanche dernier à l’émission Face to face de la Tfm que c’est Ousmane Tanor Dieng, le «patron» de Khalifa Sall, qui est l’«interlocuteur» de Macky Sall. Hier, c’est Mahmoud Saleh, invité de Grand jury de la Rfm qui dit plus clair : «Le président de la République Macky Sall n’est pas l’alter ego (du maire de Dakar).

Dans sa livraison d’hier, vendredi 17 octobre 2014, le quotidien Le Témoin, a fait état de l’éventualité d’une libération prochaine de l’ancien président tchadien Hissène Habré. Une sortie qui conforte Me El Hadji Diouf, un des ses avocats dans sa conviction que le procès de l’ancien homme fort de Ndjamena n’aura jamais lieu.

«Le procès d’Hissène Habré n’aura jamais lieu…» au Sénégal. Me El Hadji Diouf, l’un des conseils de l’ancien président tchadien en est convaincu. Il a réitéré cette position hier, en réaction à la livraison de la presse du jour selon laquelle Hissène Habré retrouverait la liberté incessamment. Ce après qu’Idriss Deby bloquant le transfèrement de détenus coaccusés de son prédécesseur a exigé le remboursement des frais de séjours des (commissions rogatoires) Chambres africaines extraordinaires payés par son gouvernement.
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   Depuis quelques jours, on cite dans la presse le nom de Thione Ballago Seck. Le chanteur, dit-on, serait impliqué dans une affaire d’escroquerie, à cause d’un terrain de 10 hectares qui lui aurait été cédé, contre 100 millions. Une somme que l’artiste n’aurait pas payée. Le plaignant se nomme Macodou Dieng, il dirige l’Entreprise de promotion immobilière basée à Rufisque. Mais ce que dit l’artiste, c’est que l’homme en question ne serait qu’un intermédiaire usurpateur qui se serait fait passer pour le propriétaire des 10 hectares. Thione Seck, lui, serait donc la victime.  Ce, d’autant plus qu’il n’aurait pas été épargné par une partie de la presse, qui, d’après lui, n’a pas jugé utile de recueillir son avis. Le chanteur va d’ailleurs porter plainte contre le Groupe Futurs Médias. L’affaire entre Thione Seck et Macodou Dieng sera tranchée le 3 novembre prochain.

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Sénégal   Le déplacement à l’Ucad du présumé meurtrier de l’étudiant Bassirou Faye a fini de créer une véritable zone d’ombre relativement aux conditions dans lesquelles un agent de la force publique, non déployé, peut participer au maintien de l’ordre public. Raison suffisante pour susciter l’expertise du commissaire Cheikhna Keita (Ex-Ocrtris) qui distingue dans son approche une mission génèrale où tout policier non déployé peu

Sénégal

Ses rapports avec l’argent ainsi que son rôle dans la valse des millions au cœur du palais sont un des nœuds du procès Karim Wade. Dans sa livraison du mardi 17 janvier 2006 (voir fac-similé), Le Quotidien passait déjà les lasers sur l’homme de l’ombre Victor Kantoussan. Indexé par Idrissa Seck, le garde du corps de Karim Wade aurait touché d’importantes sommes d’argent. Rétro sur un personnage pas nouveau.

  L’ancien gendarme et garde de corps de Karim Wade, Victoire Kantoussan, a donné à la Crei les indices du lieu où Karim Wade pourrait cacher les 117 milliards. A la deuxième journée de sa comparution hier, jeudi 16 avril, en tant que témoin dans le procès de la traque des biens supposés mal acquis qui oppose Karim Wade à la Crei,  Victoire Kantoussan a indiqué, avec un air narquois, que Singapour serait le lieu le mieux indiqué pour trouver cette somme.

Pour sa deuxième journée de comparution en qualité de troisième témoin devant la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), dans le cadre du procès de l’ancien fils de Wade, Victoire Kantoussan  campe sur ses déclarations de la veille. Qui plus est, il a répété être toujours «fidèle au Président Abdoulaye Wade à son fils Karim Wade». 
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Le suspect Tombon Oualy, dans la mort de l'étudiant Bassirou Faye, est mal barré. Pour cause, sa ligne de défense n'est pas solide et aurait été démontée par un de ses collègues témoins qu'il a appelé au secours. L'Observateur livre dans sa parution du jour les circonstances de l'arrestation du prévenu. Extrait

Après le rapport de l'expert balistique, les 25 armes de tous les policiers détachés sur les lieux ont été réquisitionnées, mais il s'est avéré qu'aucune d'entre elles n'a présenté les caractéristiques de celle qui a servi à tuer l'étudiant. 

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  Au deuxième jour de la reprise du procès de Karim Wade et co-prévenus, l’audition à la barre de la Crei de Me Patricia Lake Diop n’a pas été de tout repos pour la notaire. Au-delà de la réitération de ses propos épinglant Karim Wade comme celui qui a créé la société Ahs sa, elle a reconnu avoir rédigé les statuts de la société en question dans son étude. Ce que la défense a vivement contesté en parlant d’une violation manifeste de la loi.   Au deuxième jour de la reprise du procès de Karim Wade et co-prévenus, l’audition à la barre de la Crei de Me Patricia Lake Diop n’a pas été de tout repos pour la notaire. Au-delà de la réitération de ses propos épinglant Karim Wade comme celui qui a créé la société Ahs sa, elle a reconnu avoir rédigé les statuts de la société en question dans son étude. Ce que la défense a vivement contesté en parlant d’une violation manifeste de la loi.