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NUMEROLOGIE : GÉNÉROSITÉ DU DÉFUNT SERIGNE MANSOUR SY BOROM DARAA JI : LA PREUVE PAR 9

NUMEROLOGIE : Générosité du défunt Serigne Mansour Sy Borom Daraa ji : La preuve par 9
Le chiffre 9 résume en plusieurs aspects le défunt Serigne Mansour Sy. Du décryptage de son nom aux dates de son accession au khalifat, le chiffre 9 revient dans le parcours de cet homme. 

Le soir du décès de Serigne Man­sour Sy, le téléphone sonne à la Ré­dac­tion. Au bout du fil, un fidèle lecteur du journal Le Quotidien, Hady Ly. Il tient à partager une information qui lui tient à cœur : «Quand on calcule le jour du décès de Mame Abdou Aziz Sy Dabakh, (14-9-1997) on a le nombre 40 qui correspond à la durée du khalifat de Abdou Aziz Sy Dabakh.» «Je parle bien de Mame Abdou…» insiste M. Ly. 

De quoi orienter vers la numérologie, par rapport à Dabakh et son successeur, Borom Daaradji. Un petit calcul commençant par l’âge auquel Serigne Mansour Sy a été rappelé à Dieu donne le chiffre 6 (87 = 15 = 6) qui correspond aussi aux 15 ans de khalifat du défunt Serigne Mansour Sy. N’est-ce pas qu’avant son rappel à Dieu, Abdoul Aziz Sy Dabakh avait recommandé aux fidèles 6 qualités qu’il admirait chez Mansour, le classique ? 
En calculant l’âge auquel Borom Daaradji a accédé au khalifat en 1997, c’est-à-dire 72 ans on obtient aussi le chiffre 9, qui résume aussi la durée de vie de son père Serigne Ababacar Sy décédé à 72 ans. 

L’envie d’en savoir plus, incite à rencontrer un disciple pour déchif­frer le sens des chiffres 6 et 9 chez le personnage du défunt khalife. Notre interlocuteur commence par souligner que ces deux chiffres sont incontournables car «6 correspond au nombre de jours pendant lesquels Dieu a créé les cieux et la terre et 9 est le nombre de trous dans le corps humain». Seulement, pour déchiffrer les secrets du chiffre 9 chez Serigne Mansour, ce talibé devient intarissable. Et pour cause ! «Serigne Man­sour m’a donné le wird tidiane le 19-12-95, une date qui donne 9, ce même chiffre qui résume le décompte de Mouhamadoul Mansour Sy déchiffré avec les chiffres romains.» 

Même la date de son décès renvoie au chiffre 9. «9-12-2012 donne 8. Si on y ajoute le chiffre 1 du dimanche, premier jour de la semaine, on retrou­ve 9». Idem si l’on se réfère au calendrier musulman. On retrouve le 6 car c’est le 24 du mois de Tam­kha­rite, mouharam qui donne en nom­bre 288. On retrouve le 9 tout comme quand on cumule 24 et l’an 1434. 

72, secret d’un nom de Dieu 

Mais le plus sublime, indique ce talibé se trouve dans le 72, la durée de vie du père de Serigne Mansour et l’â­ge auquel ce dernier est devenu khalife général des tidianes. 72 dit-il renvoie au nom de Dieu «Baassi­tou qui signifie le Généreux, une des qualités reconnues de Serigne Man­sour». Et précise-t-il «lors d’une retraite spirituelle, quand Dieu lui avait montré tout ses noms Seydina Ababacar Sy avait choisi Baassitou». 
La preuve par 9 de la générosité de Serigne Mansour ? 

«La générosité de Borom Daaradji ne se discute pas. Déjà avant son accession au khalifat, il a emmené plus de 100 personnes à la Mecque. Il ne voulait pas qu’on en parle mais chaque année, il permettait à des personnes d’accomplir le pèlerinage. Non seulement il assurait les frais de voyage, mais surtout, il prenait en charge les dépenses en l’absence du pèlerin.» Mieux, ajoute notre talibé, «une fois, il a fait appeler une personne pour lui annoncer son souhait de l’amener à la Mecque. Une nouvelle qui rendait confus le fidèle qui lui expliqua qu’il avait des arriérés de loyer. Serigne Mansour a payé ces arriérés, et au retour du pélerin, il lui a offert une maison.» «Son amour pour la terre s’explique par sa passion de nourrir et de loger les gens pour qui il assurait aussi la dépense quotidienne» témoigne-t-il. 

Fort excité, ce disciple souligne que le défunt Serigne Mansour était le seul khalife du Sénégal à rassembler ces attributs : «Maî­triser la science, et savoir l’enseigner, déchiffrer les écrits, nourrir et loger des fidèles et leur permettre d’accomplir le cinquième pilier de l’Islam.» En plus «de toute la lignée de El Hadji Malick Sy, il a été le premier à avoir un daara. C’est pourquoi il a pu réaliser ce que beaucoup de khalifes ne peuvent faire pendant leur khalifat. C’est-à-dire diriger une confrérie et en même temps continuer à en­seigner, animer soi même les gamous, déchiffrer les textes sa­crés et diriger la prière». Pour en revenir aux chiffres, ce talibé souligne que Serigne Mansour Sy «a enseigné pendant 40 ans pleins» la durée du khalifat de son prédécesseur. 

 


 

Le Quotidien

 

Lundi 17 Décembre 2012 - 14:35
 
DEMAIN, LA FIN DU MONDE !!!
L’INCONTOURNABLE ‘’CLASH DES CIVILISATIONS’’ !!!