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Tambacounda : Un mari assène des coups de hache à sa femme

Les faits se sont déroulés dans la matinée du jeudi 15 août au quartier Plateau de Tambacounda. La dame A. Dagnokho, âgée de 18 ans a perdu un de ses doigts avant de retrouver avec une fracture de la jambe, un visage défiguré et sévices corporels. Ce serait le fait de son époux, M. Ndao, qui lui a asséné de violents coups de hache. Les faits font débat dans la capitale orientale.

 

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Un fait défraie la chronique dans la capitale orientale, plus précisément au quartier Plateau. Une violence inouïe d’un mari, fou de jalousie a conduit à la perte d’un doigt de sa jeune dame. 

 

Awa Dagnokho, âgée de 18 ans, est mariée à Mohamed Ndao, originaire de Koussanar, depuis trois (03) ans. Le couple a eu deux enfants. L’ainé est décédé. Le seul enfant que le couple garde, est âgé seulement d’une année. La jeune dame, nous dit son entourage n’aurait jamais été heureuse dans sa vie de couple. Chaque fois, elle est victime de menaces de la part de son mari. Traquée, fatiguée, humiliée, elle est allée jusqu’à demander le divorce pour etre en paix. Mais à chaque fois, le mari ne veut pas entendre de divorce provenant de sa seule et unique épouse. Dans la nuit du mercredi 14 au jeudi 15 aout, Mohamed Ndao pousse le bouchon très loin quand il est rentré de la maison vers les coups d’une heure. Taux de nervosité extrême, le mari s’en prend à sa femme au moment celle-ci était dans les bras de morphée, le bébé, accroché sur ses seins. Il se déchaine sur elle dans l’obscurité avec une hache. Résultats : Doigt sectionné et introuvable. Corps meurtri avec des blessures graves, laissées par la hache, visage défiguré, jambe fracturée…. Toutefois, certains assimilent le sale boulot du mari à un tigre en colère. Celle-ci tombe et perd connaissance, gisant dans une marre de sang. Le voisinage, réveillé par les cris de la dame, accourt. Awa est acheminée au centre hospitalier régional de Tambacounda où elle était admise aux urgences avant de recevoir des points de suture partout sur le corps. Arrivée sur les lieux, l’équipe de Tambacounda.info a du mal à réaliser ce qui avait pu se passer. Au centre hospitalier régional, la « tentative de meurtre » était de toutes les conversations. « Tout le monde est choqué. Quand on s’est rendue au chevet de la jeune dame, on s’est dit aussitôt qu’elle avait affaire à un criminel. Tellement qu’elle a souffert entre les mains de son mari », raconte Ndéye Oulimata Diattara du comité de lutte contre les violences faites aux femmes, accompagnée de Mme Niang responsable genre à l’Inspection d’Académie. Selon un témoin des faits, le mari fou de rage par on ne sait quel démon aurait trouvé la femme dans sa chambre en plein sommeil avant de lui administrer de violents coups de hache. A en croire le témoin, rien ne justifie son acte. Sur son lit d’hôpital, la jeune épouse complètement métamorphosée suite à la violence des coups reçue, le regard figé souffre de manière atroce.

 

 

Les femmes dénoncent et condamnent

Le comité de lutte contre les violences faites aux femmes dirigé par Mme Diamé est monté au créneau pour condamner ce qu’il a qualifié de « crime » perpétré sur la jeune épouse, Awa Dagnokho, âgée de 18ans par son mari dans la nuit du mercredi 13 au jeudi 14 aout. Ndéye Oulimata Diattara, accompagnée de Mme Niang responsable genre de l’Inspection d’Académie de Tambacounda. « Nous avons trouvé une dame complètement touchée par son mari. Nous n’avons meme pas de mots pour qualifier cet acte indigne », a dit Ndéye Oumy Diattara. Dans sa déclaration, la dame a indiqué que « le comité regrette beaucoup ce qui s’est passé et prendra toutes les dispositions pour que pareille chose ne se reproduise. C’est un acte qui dégrade la femme. C’est l’atteinte à tous ses droits, à sa dignité. C’est quelque chose d’extrêmement grave dans le droit international ». « Les violences faites aux femmes constituent un élément extrêmement important dans les atteintes graves aux droits de la femme», a regretté Mme Diattara qui promet d’informer le plus vite possible le comité par le baisais de la présidente, Mme Diamé.

 

L’équipe de www.tambacounda.info /

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