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04
Ven, Juil

Malika : Un enfant tué et mis dans un sac de riz

Le corps d'un petit garçon a été retrouvé dans un sac de riz jeté dans les filaos de Malika. Il se nomme Ahmadou Seydi, frère d'un adjudant de l'armée. L'enfant avait disparu depuis le 28 février vers 14 heures.

Sa mort a provoqué une vague d'indignation et d'émotions sur les réseaux sociaux.

Longtemps considèrée comme ville «rebelle», contre le régime Dakar bascule dans le «Macky»

 Si la tendance se confirme, le régime en place serait maître de la région de Dakar, au sortir de la présidentielle du 24 février dernier. En effet, la ville «rebelle», qui a toujours donné du fil à retordre au régime de Macky Sall, lors des précédentes élections, semble tomber sous l’escarcelle de la mouvance présidentielle, Bennoo Bokk Yaakaar. 

 Il est 16 heures devant la permanence du Pds, sise sur la Vdn. Des militants habillés de tee-shirts à l’effigie de leur candidat ou aux couleurs tout simplement du parti, arrivent par groupe. Ils se sont donné rendez-vous à leur siège pour aller à la réunion spéciale du C25 au siège de Pape Diop, un des 25 candidats recalés par le parrainage. Rencontré dans les locaux, ce jeune de la trentaine dit être venu des Parcelles assainies pour répondre à l’appel. « Nous ne nous laisserons pas faire ! », a t-il laissé entendre. Et d’expliquer que le Conseil constitutionnel a invalidé la candidature de Karim Wade, sur la demande de Macky Sall : « Le Pm Dionne  avait clairement stipulé qu’il n’aurait pas cinq candidats face à Macky  Sall.

Dakar, unique capitale au monde dépourvue d’un aéroport. Quelle bêtise !

Qui aurait pu penser, un seul instant, sous le règne du Président Mamadou Dia et même L. Sédar Senghor, qu’un jour, l’un de nos chefs d’Etat commettrait la bêtise de détruire l’aéroport de la capitale pour y bâtir un centre commercial ou que-sais-je d’autre ? Chers concitoyens, notre peuple a laissé, jusque-là, trop faire ses dirigeants successifs. Je pense qu’il temps que nous reprenions la place qui est la nôtre dans la République. Car, trop c’est trop ! A cet effet, nous faisons juste ce rappel.

DAKAR - VIOLENT ACCIDENT À AMITIÉ 1 7 MORTS ET 2 BLESSES GRIEVEMENT

 7 morts et 2 blessés grièvement. C’est le bilan d’un accident de la circulation d’une rare violence survenu hier, dimanche 3 février 2019 vers les 9 heures à Sicap Amitié 1 (Dakar). Selon la Rfm qui a donné l’information, la plupart des victimes, sont des enfants. Le chauffeur du véhicule de type 4x4 (Toyota Rav 4), une dame qui roulait à vive allure, a perdu le contrôle de la voiture, selon des témoins, avant de heurter violemment un arbre, explique la même source.

Les victimes des démolitions à la Cité Tobago ruent dans les brancards et pour cause. Le processus de relogement et d’indemnisation promis par les autorités est toujours à l’arrêt. Aussi, elles n’excluent pas de se radicaliser. Même au prix de leur sang. D’ailleurs, annonce le journal Rewmi Quotidien dans son édition de ce mardi, elles prévoient, dans les prochains jours, une grande mobilisation pour obtenir gain de cause.

 Des enfants placés à la tête d’un cortège de marcheurs portant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire: «Ne nous tuez pas», «On veut grandir, laissez-nous vivre», «Protégez nous». Les images de cette marche organisée samedi dernier à travers des rues de la Médina à Dakar qui ne laisse personne indifférent en disent long sur l’ampleur du désarroi nait du phénomène d’enlèvements suivis de meurtres d’enfants enregistrés au Sénégal ces dernières semaines. «Ne nous tuez pas», «On veut grandir, laissez-nous vivre», «Protégez nous». Ces phrases entonnées par des enfants au devant d’une forte mobilisation à l’initiative de leurs parents, membres de la société civile, artistes et responsables politiques, en dit long sur la psychose qui a fini de s’emparer de la société sénégalaise face au phénomène de rapts dont ces mineurs sont la cible. Ces derniers ont marché du rond-point de la Médina au rond-point Sahm pour dire halte au phénomène d’enlèvements suivis de meurtres d’enfants.

Il se dégage du diagnostic que les moyens d’intervention sociale sont limités du fait des changements opérés relativement à la patente, avec la Contribution économique locale (CEL). L’Assemblée nationale devait voter la  loi y afférente et une ligne budgétaire mise en place. Malheureusement, ce n’est pas encore le cas, regrette la mairesse. Même les avances de trésorerie ne sont plus possibles.

Le colonel Mamadou Diop, né le 9 mai 1936 à Dakar, était un officier supérieur, ancien maire de la ville de Dakar et un ancien ministre de la République du Sénégal. Formation

Brevet d’officier obtenu à l'École nationale des sous-officiers d'active à Saint-Maixent-l'École, commune française située dans le département des Deux-Sèvres et la région Poitou-Charentes.
Diplôme d’État-major en 1964
Doctorat en droit
Doctorat en philosophie