Le bureau de l’UMS note dans la foulée que « malgré la vacuité du dossier, les autorités tiennent à faire sanctionner le président de l'Ums». Les magistrats soulignent que « c'est l'avenir de l'association, dont la parole est portée par son président, qui est en danger car l'existence même de cette procédure, quelle que soit son issue, constitue une menace à l'expression de toute revendication ou appréciation sur les questions intéressant la justice en général et la magistrature en particulier ».
Qui plus est, le bureau de l’Ums dit constater « avec étonnement que loin de se limiter à des indications procédurales, la lettre du ministre constitue un véritable réquisitoire à charge contre le président Teliko et une immixtion gr, l’Umsave et injuste dans la procédure en vue d'influencer le conseil ».
Pour autant dit dénoncer « publiquement cette attitude inqualifiable et en porte-à-faux avec la neutralité, la retenue et surtout le respect de la présomption d'innocence qui doivent être observés par tous, cette lettre renseignant à suffisance sur l'intention de faire sanctionner à tout prix le président de l'Ums ».
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source: https://www.sudonline.sn/l-ums-ne-lache-pas-son-president_a_49529.html