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  Dans son allocution, hier mardi 2 juin à l’ouverture de la conférence ministérielle sur l’état de droit et la lutte contre la corruption, le Président de la République Macky Sall a dit son ferme engagement à combattre l’impunité et la corruption. Le président de la République estime que cette lutte sera sans relâche.  

  Le président de Bess du Niakk, s’adressant aux militants au cours d’une conférence religieuse à Pikine Ouest, a indiqué que son parti sera incontournable sur l’échiquier politique du Sénégal. Serigne Mansour Sy Djamil a aussi plaidé pour la reconstruction de l’alliance Benno Bokk Yakaar minée par la déconstruction causée par l’APR qui a voulu déposséder les alliées de leur identité.  

  Malgré le combat des députés de l’opposition, la proposition de loi n°13/2015 modifiant la loi n°2002-20 du 15 mai 2002 modifiée portant règlement intérieur de l’Assemblée Nationale, est passée comme lettre à la poste hier, lundi 29 juin. A la suite des débats houleux entamés depuis onze heures dans la matinée, c’est finalement vers 23 h passées que le dénouement a eu lieu.   

Macky Sall a évoqué la situation de Karim Wade, condamné pour enrichissement illicite à six ans d'emprisonnement, au mois de mars, et à une amende de 138 milliards de francs Cfa. Dans l'entretien qu'il a accordé au journal français Le Figaro, le président de la République en a profité pour répondre à ceux qui contestent la légalité de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) et les conditions du procès de l'ancien ministre d'Etat. 

Dans les prochains jours, une pétitions nationale et internationale sera lancée pour demander la libération de Karim Wade, condamné à six ans de prison ferme et 138 milliards de FCfa d’amende par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). C’est ce qu’affirment des sources de Libération qui indiquent que de hautes figures politiques, religieuses, coutumières et acteurs de la société civile seront de la partie pour mener le combat de la libération du fils de Me Abdoulaye Wade en conformité avec l’arrêt de la Cedeao du 22 février 2013.

Appréciant la situation politique nationale suite au reniement du président de la République Macky Sall, le Fsd-Bj a décidé de participer activement au référendum en appelant à voter massivement pour le NON, «afin d'en faire la chronique d'une défaite annoncée pour les tenants du Wax waxeet», informe un communiqué de presse reçu à Seneweb et signé de l’ancien ministre Cheikh Bamba Dièye. 

  Le camp du oui est sorti victorieux du scrutin référendaire d’hier dimanche, 20 mars.  Aminata Touré et ses collègues ont pris le dessus sur le camp du non dirigé Khalifa Sall.