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Sam, Oct
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Afficher les éléments par tag : Khalifa Sall

La réintégration dans le jeu politique de Karim Wade et Khalifa Sall, respectivement candidat déclaré du Pds et de Taxawu Sénégal, est en bonne voie. Après la grâce présidentielle et la participation de leur formation politique respective au dialogue national, le Conseil des ministres d’hier a examiné et adopté le projet de loi portant révision de la constitution, le projet de loi modifiant le code électoral et enfin le projet de loi modifiant le code pénal. Ces modifications permettront à Karim Wade et Khalifa Sall, jusque-là inéligibles en raison de leur condamnation à des peines de prison ferme, de pouvoir briguer le suffrage universel lors de l’élection présidentielle du 25 février 2024.

Publié dans POLITIQUE

À la veille du discours à la Nation du président de la République, le leader du Pastef, Ousmane Sonko s’est adressé au peuple à travers ses plateformes. Il a révélé que le dialogue national n’était qu’un arrangement entre différents partis politiques. Invité de RFI et de France 24 ce mardi, l’ancien maire de Dakar a répondu.

Publié dans POLITIQUE

Me El Hadj Diouf lache son client Khalifa Sall dans le dossier de la Caisse d’avance fait un virage à 180 degré. Selon l’avocat, il aidait simplement Khalifa Sall, mais n’a rien à commenter sur la décision du Conseil constitutionnel de recaler sa candidature.

Publié dans POLITIQUE

Les avocats de l’ancien maire de Dakar et leader de « Taxawu Senegaal » avaient introduit deux demandes en urgence à la Cour de la CEDEAO. Il s’agissait de l’inscription de Khalifa Sall sur les listes électorales et de l’arrêt du processus électoral. La décision de la Cour vient de tomber et l’ancien maire de Dakar a vu ses deux demandes purement et simplement rejetées.  

Publié dans POLITIQUE

Tout comme Karim Wade, l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, a vu le Conseil constitutionnel rejeter définitivement sa candidature à la présidentielle. Il vient de saisir la Cour de justice de la Cedeao dans le cadre d’une procédure en urgence contre l’État du Sénégal.

Publié dans POLITIQUE

Pour Mme Soham Wardini, la libération de son prédécesseur à la tête de la ville de Dakar est « une priorité ». C’est ce qu’elle a confiée à Dakaractu qui l’a interviewée 100 jours après son élection. Celle militante de l’Alliance des forces de progrès se dit prête à tous les sacrifices pour obtenir l’élargissement de Khalifa Sall

Sur un autre registre, El Wardini a prié pour des élections présidentielles libres, transparentes et apaisées. Gage de la préservation de la paix civile, selon l’édile de la capitale sénégalaise.

Publié dans POLITIQUE

Sénégal La récente sortie de feu Mamadou Diop, ancien maire de Dakar, pour disculper l’actuel maire, Khalifa Ababacar Sall, dans l’affaire dite de la caisse d’avance, les louanges de ses pairs de l’AIMF comme les nombreuses manifestations ou interventions de certaines autorités coutumières et/ou religieuses de ce pays, ne changeront rien au verdict. La décision du juge Malick Lamotte est tombée hier, vendredi 30 mars, au tribunal de Dakar et elle est sans appel. Elle condamne  Khalifa Ababacar Sall  à une peine de 5 ans d’emprisonnement ferme. Désormais coupable, selon le juge Lamotte, de « faux et usage de faux en écriture de commerce, de faux et usage de faux dans les documents administratifs et d’escroquerie portant sur les deniers publics », l’édile de Dakar, Khalifa Sall, n’a eu de cesse de clamer son innocence.

Publié dans La Une de la Presse

L'homme politique, fervent soutient du maire dakarois Khalifa Sall, condamné vendredi à cinq ans de prison, a été arrêté dans la soirée du 30 mars, après avoir critiqué les magistrats lors d'une conférence de presse.

Le député sénégalais Barthélémy Dias, un proche du maire de Dakar, Khalifa Sall, condamné vendredi à cinq ans de prison pour « escroquerie sur les deniers publics », a été arrêté par la gendarmerie, a-t-on appris samedi auprès de son avocat.

Barthélémy Dias a été arrêté vendredi soir par la section recherches de la gendarmerie et était toujours retenu samedi dans cette unité à Dakar, selon son avocat Me El Hadji Diouf. « Je ne sais pas ce qu’on lui reproche. Ils (les gendarmes) m’ont bloqué l’accès hier » à la gendarmerie, a-t-il indiqué.

Barthélémy Dias a été arrêté pour avoir tenu dans la presse des propos désobligeants envers les magistrats vendredi, après la condamnation du maire de Dakar, selon la presse locale samedi. Le député s’en était violemment pris aux juges après l’annonce de cette condamnation.

Publié dans JUSTICE

Sénégal Ouvert depuis le 14 décembre 2017, pour un démarrage effectif des audiences le 23 janvier dernier, le procès contre le maire de la ville de Dakar, Khalifa Sall et ses co-prévenus, dans l’affaire de la caisse d’avance, a pris sa dernière ligne droite. En attendant le verdict du tribunal correctionnel de Dakar, dirigé par le juge Malick Lamotte et ses assesseurs, prévu le 30 mars prochain, Sud quotidien revient sur un procès aux mille facettes, qui a tant soit peu tenu en haleine le pays, depuis près de 2 mois. DE L’INTERNATIONALISATION DU PROCES DE Khalifa Sall

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal

 S’il y a une personne qui a été beaucoup citée hier, c’est bien le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye. En terminant son réquisitoire, il a fait allusion à un livre sur les techniques de la plaidoirie et selon lequel l’avocat ne cherche qu’à flatter le tribunal dans son argumentaire. Une comparaison qui n’a pas plu aux avocats qui, à chaque prise de parole, se sont attaqués à cette appréciation du maitre des poursuites. Ala fin presque de son réquisitoire, le procureur de la République, Serigne Bassirou Guèye, en référence à un livre sur les techniques de la plaidoirie, a trouvé que ceux qui sont émus à la suite de l’argumentaire d’un avocat doivent comprendre que l’avocat n’est que dans son rôle qui est d’essayer de flatter le tribunal. Un argumentaire fustigé par le bâtonnier Moussa Félix Sow qui, en réponse à Serigne Bassirou Guèye, a dit qu’il n’y a aucune mise en scène dans ce qu’ils font. « Chacun ici fait son travail sérieusement », a-t-il répondu. « La flatterie, un mot dont le procureur a fait référence dans son argumentaire, qualifie les avocats comme de metteurs en scène », en a déduit Me Khassimou Touré qui trouve que les avocats ne sont pas des scénaristes. 

Publié dans JUSTICE