Moitié capteur d’image, moitié cellule photovoltaïque, ce prototype de moins d’un millimètre de large va rendre possible la fabrication de caméras de rêve pour les espions… et les états totalitaires.
Le collier de cette dame intègre-t-il une caméra espion ? Ou ce vase que vous a offert votre beau-père ? Le stress d’être observé en permanence par des caméras invisibles – bonjour 1984 ! – est en passe de devenir une réalité technique « grâce » à une unité de recherche de l’université du Michigan, comme le relaye le site TechCrunch.
Les chercheurs Euisik Yoon et Sung-Yun Park de cette université américaine ont en effet développé un capteur d’image non seulement microscopique – un peu moins d’un millimètre de large – mais surtout autoalimenté.