LE RAMADAN, UN MOMENT PROPICE AU REPENTIR, AU PARDON ET A LA GENEROSITE (SUR LES TRACES DE JESUS ET DE MOUHAMMAD – PAIX ET SALUT SUR EUX -).
Le mois béni de Ramadan est un moment de grâce et de générosité dont la finalité est la piété ; il suscite un engouement grandissant et une ferveur religieuse extraordinaire, même parmi les plus négligents des musulmans ; cela tient, à l’évidence, au fait que Satan y est ‘’ligoté’’, comme l’a enseigné le Prophète (PSL) ; c’est donc un moment véritablement propice pour rompre avec une addiction (dépendance au tabac, à l’alcool, aux drogues et même aux jeux) ;
Tous les honnêtes gens qui ont lu l’entretien de Amadou Toumani Touré dans Lequotidien du 04/08/2011, ont dû penser, j’en suis convaincu, à Abdoulaye Wade. C’est aussi évident, que ces derniers souhaiteraient sans doute, qu’il le lise, sinon, ils le lui recommandent fortement pour y tirer les leçons. Véritablement, c’est un cours magistral que ATT donne à ses pairs certes, mais le cours s’adresse particulièrement à Me Wade, en tant que doyen des chefs d’Etat mais aussi, comme celui, dont la pratique divorce totalement d’avec cet enseignement, dans tous les domaines.
Mouvement des travailleurs: Touche pas à ma Constitution’. C’est la nouvelle trouvaille des organisations syndicales qui sont opposées à la candidature de Wade en 2012.
CONTRIBUTION - Je suis un neveu du président. En effet, du côté maternel, ma grand-mère Rama Wade est une tante d’Abdoulaye Wade qui porte le nom de son père. Comme vous devez le savoir d’ailleurs, en tant que sénégalaise d’ethnie toubab, nous sommes tous parents au Sénégal.
(Slate) - Les Sénégalais, parmi les plus anciens immigrés africains de Harlem, ne sont pas peu fiers d’avoir contribué à la réhabilitation de la capitale de l’Amérique noire.
CONTRIBUTION - Chers compatriotes, le saviez-vous ? Eh bien, l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, à l’instar des autres universités de l’espace académique CAMES (Conseil Africain et Malgache de l’Enseignement Supérieur), est entrée, de plain-pied, dans la phase de mise en œuvre du système LMD (Licence-Maitrise-Doctorat).
Les délestages intempestifs, le chômage des jeunes, la cherté de la vie et la volonté de Wade de briguer un troisième mandat les ont agacés. Le titre de Tiken Jah Fakoly les a inspirés. Voilà résumée l’histoire du mouvement «Y en a marre» qui trouble le sommeil du président Wade et de son régime. A l’origine, Cheikh Oumar Cyrille Touré, de son surnom «Thiat» (Ndlr, benjamin de la famille en Wolof), rappeur du groupe «Keurgui». Après avoir muri l’idée, il s’ouvre à ses amis rappeurs dont Malal Tall alias «Fou Malade», Simon, Kilifeu et Cheikh Fadel Barro, journaliste. En février, le mouvement ‘’Y en marre’’ est porté sur les fonts baptismaux. 

« Encore une infirmité des plus répugnantes parmi les diverses laideurs de ce régime »
A quelques mois des élections présidentielles, les sénégalais sont dans une profonde tourmente et une incertitude accablante ; le pouvoir manifestement en bout de souffle, pour ne pas dire en fin de règne ne sait plus où donner de la tête ; quant au peuple, excédé par des délestages intempestifs et un renchérissement intolérable du coût de la vie, il n’a plus confiance à ses leaders - tant politiques que religieux, toutes obédiences confondues ; à l’évidence, le Sénégal est en train de vivre une situation inédite, avec une crise politico religieuse gravissime qui risque de remettre en question les fondements socio culturels qui faisaient de notre peuple une véritable exception dans le concert des nations.
CONTRIBUTION - Il est des hommes qui cherchent tellement l’habileté et la ruse qu’ils en deviennent maladroits et presque tortueux. L’homme
Le Sénégal traverse une situation inédite ; il n’a jamais été aussi instable et son chef autant fragilisé, du fait du rejet par le peuple de son mode de gouvernance ; le projet de loi sur le ticket présidentiel et la crise énergétique ont été véritablement la goutte qui a fait déborder le vase ; la configuration du paysage 




NETTALI.NET - Cette image qui a fait le tour du net et qui montre Nicolas Sarkozy présentant Karim Wade à Barack Obama, a quelque chose de planifié et de suspect. A voir cette vidéo où le prince Wade accourt comme s’il avait le diable à ses trousses et le père qui regarde Barack avec autant d’émerveillement, incite à une interrogation non pas malsaine, mais juste légitime.