
Ô mon Dieu, pourquoi suis-je destiné à être cet être que tout le monde balaie d’un regard dans les rues? Et surtout dans les rues de Dakar, où nous pullulons tels des rats d’égout. Ô bon Dieu, pourquoi tant de pitié envers l’être que je suis ? Pourquoi un tel évitement du regard des gens? L’on me fuit et me poursuit. Je suis une proie facile. L’on me viole du regard. Toujours à la recherche de la pitance. En guenilles. La main tendue et dans le froid. Je grelotte.


Peut-on dissocier le spirituel du temporel dans ce monde en pleines mutations ? C’est pour trouver des éléments de réponse à cette préoccupation majeure que les guides religieux Serigne Mame Mor Mbacké Mourtada et Cheikh Ahmadou Kara Mbacké Noreini ont décidé de cheminer ensemble pour fédérer leur mission au grand bénéfice de la communauté musulmane au plan national et international.
Dans le cadre de l’exécution de son programme d’actions, la cellule du mouvement citoyen pour la Refondation Nationale Bes Du Niakk, a organisé le dimanche 30 Octobre 2011, un thé débat dont le thème portait sur la crise politique au Sénégal: bilan et perspectives pour une meilleure alternative en 2012.
L’avènement du printemps arabe coïncide avec un moment où tout le monde musulman parle de retour à Dieu et donc à la Charia, comme la seule alternative pour un changement de comportement moral, en vue de la résolution d'une demande sociale devenue de plus en plus préoccupante et de la quête du bien-être que la modernité tarde à apporter. 
Les répercutions de la crise libyenne au Sénégal sont réelles car au-delà de la coopération, ils étaient nombreux nos compatriotes qui gagnaient leur vie chez Khadafi. En conseil des ministres ce jeudi, le ministre des sénégalais de l’extérieur annoncé que 1400 Sénégalais sont encore restés en Lybie, précisément à Sabha » et qu’en rapport avec l’OIM, le gouvernement s’attèle à la préparation de leur retour, a expliqué le ministre Ngoné Ndoye. 
La déroute géopolitique de l’Afrique est totale. Le coma diplomatique de l’Union Africaine (UA) est profond. Voilà deux leçons d’emblée patentes dans l’épilogue de la crise libyenne. Un double affaissement tôt et vite illustré par le vote de la résolution 1973, en mars dernier, autorisant simultanément l’utilisation de la force pour protéger les civils libyens de… la force de frappe du Colonel Kadhafi et l’établissement d’une zone d’exclusion aérienne (no-fly zone) au-dessus de la Libye.
Quelques jours avant sa mort, le Guide libyen déchu avait rédigé un testament qu’il avait transmis à trois de ses proches. L’un d’entre eux a été tué, un autre emprisonné et le troisième s’est enfuit vers une destination inconnue. Un site libyen a publié ce qui est donné comme étant le testament de Mouammar El Kadhafi, rédigé quelques jours avant sa mort. « Algérie-Focus » l’a traduit.
Boubacar Alé Fall Sall, un ami plus que frère, s’en est allé sur la pointe des pieds ;
Au regard des peines et autres souffrances endurées actuellement par le peuple sénégalais, sous Abdoulaye Wade, tous les patriotes, les simples citoyens conscients de leurs responsabilités, en un mot, toutes les forces vives de notre pays, devraient tout faire, pour mettre fin en 2012, à cette gouvernance hideuse du régime libéral. Toute autre démarche de qui que ce soit, allant dans le sens contraire, participerait consciemment ou inconsciemment au maintien du régime de Wade et par ricochet, des peines et souffrances de notre peuple. Patriotiquement, tout citoyen qui aime ce pays aujourd’hui, devrait bien se garder de prendre part
Dans un article paru sur Seninfos.com, mardi 11 octobre et repris par Seneweb, des galéjades et des contre-vérités ont étaient débitées par un auteur (anonyme !!!) pour nuire au candidat Ibrahima Fall. Bien évidemment ces inepties engagent la rédaction de seninfos. Nous, jeunes du mouvement Taxaw Teem venons par ce communiqué dénoncer cette tentative de déstabilisation.
Les hommes politiques ont de plus en plus de peine à respecter leurs engagements ; par ruse, ils nous promettent toutes les merveilles du monde, pour accéder au pouvoir ou s’y maintenir ; mais au finish, c’est pratiquement toujours la désillusion, au point que certains déclarent que ‘’les promesses n’engagent que ceux qui y croient’’. A l’évidence, une telle attitude, à l’antipode de l’éthique, est réprouvée par l’Islam – et les autres religions monothéistes (Christianisme, Judaïsme) ; le Coran est là-dessus très explicite :

C’est le 24 août 2011 que le Président de la République Me Abdoulaye Wade et son premier Ministre ont signé le décret instituant la surtaxe sur les appels entrants. Sur la copie du document que nous détenons, il est écrit que le «décret abrogeant et remplaçant le décret n°2010-632 du 28 mai 2010 instituant un système de contrôle et de taxation des communications téléphoniques internationales entrant en République du Sénégal»
Aucune place, aucune rue, aucun établissement scolaire ou autres édifices publiques ne porte son nom ; et pourtant, il fut un éminent poète et jurisconsulte – et indéniablement, l’un des plus illustres fils de Saint-Louis ; en témoigne son surnom ‘’goor gathia thiaka ndiaye’’ (celui qui repose au Cimetière baptisé ’’thiaka ndiaye’’),
Certes, on a beaucoup dit à propos de cette nuit bénie et glorieuse (*), mais il reste beaucoup à dire et à redire, du fait du caractère parabolique du message divin (Coran, Hadith) et donc de la nécessité de le réactualiser, en fonction des réalités nouvelles, du degré de compréhension des gens et de beaucoup d’autres paramètres, comme le suggère le Coran :
Chants glorieux _pleins de signes (ou symboles) à la place d’une cérémonie funèbre, le tout sous la houlette de leur chef de guerre ;