Sénégal - Accusation de non-paiement des impôts par les députés : Amadou Ba dédouane les députés
La question du paiement de l’impôt par les députés a alimenté les débats hier lors du vote de la Loi de finances rectificatives (Lfr) 2016. Profitant du passage du ministre de l’Economie, des finances et du plan, les députés, accusés de ne pas payer d’impôts, ont voulu laver leur honneur. La plupart d’entre eux ont fustigé ce débat qui selon eux, a terni leur image. Ainsi le ministre Amadou Ba a regretté ce débat qui selon lui «n’aurait dû jamais avoir lieu». Pour le ministre de l’Economie et des finances, «l’Assemblée est une institution de la République personne n’a le droit de la discréditer et a fortiori de donner des informations qui du point de vue de leur compréhension ne sont pas exactes». A en croire M. Ba, «les députés ne doivent pas des impôts» à l’Etat.
Karim Wade libéré après plus de 3 ans de prison
Karim Wade est libre. Le fils de l'ancien président de la République du Sénégal a été libéré trés tard précisément aux alentours de 1h 30.
une foule immense s'est présentée à son domicile pour l'accueillir. Ses partisans et militants Karimistes ne cachent pas leur joie. Chaque minute qui passe, malgré l'heure tardive, l'affluence devient de plus en plus dense. La sécurité aussi.
L'invitation du porte parole du Khalife général des mourides aux libéraux qui intrigue ...
Ce que d'aucuns appellent prosaïquement le feuilleton Karim Wade n'en finit pas de faire la Une des gazettes passant des rubriques politiques à celles des "peoples" etc...
En effet, il ne se passe plus un jour sans que Wade-fils n'occupe les devants de la scène de l'Actualité.
Libération de Karim Wade, rupture dans le mode de gouvernance la plateforme «senegaal bi ñu bëgg» met en demeure Macky Sall
La Plateforme politique avenir «Senegaal bi ñu bëgg» a dénoncé l’immixtion du Qatar dans la libération de Karim Wade. Lors d’une conférence de presse tenue hier, mercredi 29 juin, à leur siège, Me Mame Adama Gueye et compagnie ont, par ailleurs, déploré les revirements du président de la République sur tous ses engagements sur la rupture dans le mode de gouvernance de ses prédécesseurs et la refondation des institutions.
Gracié, Karim Wade quitte le Sénégal, plongé dans la controverse
Condamné à six de prison pour enrichissement illicite, Karim Wade, fils de l’ex-président sénégalais et candidat de son parti à la prochaine présidentielle au Sénégal, a été gracié vendredi par le chef de l’Etat Macky Sall et libéré, une mesure dénoncée par les militants anti-corruption.
Karim Wade, métis et veuf de 47 ans, père de deux filles, a quitté le Sénégal pour le Qatar peu après sa libération dans la nuit de jeudi à vendredi, selon une source officielle et de nombreux médias locaux.
Gambie: Un ancien procureur, un Directeur général et deux fonctionnaires en garde à vue à la NIA
C’est à croire que Yaya Jammeh a le sang chaud en ce moment. Le Directeur général de la Gambian National Petroleum Corporation (Gnpc) Momodu Badjie, le secrétaire permanent du ministère du pétrole Fafa Sanyang et un agent du secrétariat de la présidence de la République gambienne du nom de Nuha Touray, ont été arrêtés ce dimanche. Interpellés par la redoutable National Intelligence Agency (NIA) ils y sont présentement pour être interrogés.
Affaire Karim Wade : Chronique d’une comédie politico-judiciaire
Le peuple sénégalais, une fois de plus, vient d’être ébloui par le talent dramaturgique de sa classe politique. Après les longues années d’invectives, de traque et d’emprisonnements, voilà aujourd’hui, inexplicablement, la subite période de «grâce». Karim libéré, Bibo, Diassé, Pouye tous graciés et la liste des 25 futurs traqués, étouffée dans l’œuf. Que nous ont encore caché nos hommes politiques ? Qu’est-ce qui a bien pu se passer ? Quels sont les termes véritables de cette libération dont on chante aux populations le visage faussement humanitaire! Pourquoi ont-ils insisté, forcé, puis exécuté cette mise en liberté précipitées, aux relents douteux ? Pourquoi en cette veille de retrouvailles libérales?
La libération de Karim Wade soulève des interrogations au Sénégal
Sur le plan légal, il n’y a rien à redire de la grâce présidentielle accordée au plus célèbre des détenus du Sénégal, Karim Wade, 47 ans. Mais les circonstances entourant sa libération en catimini provoquent un certain malaise à Dakar. Un épilogue controversé au diapason de ce dossier retentissant – la condamnation du fils d’un ancien chef de l’Etat pour enrichissement illicite – dans lequel le président sénégalais Macky Sall s’est empêtré.
Dans la nuit du jeudi 23 au vendredi 24 juin, le fils d’Abdoulaye Wade, président du Sénégal de 2000 à 2012, est donc sorti libre de la prison de Rebeuss à Dakar. Il avait accompli, compte tenu de sa détention préventive, la moitié de sa peine de six ans d’emprisonnement prononcée en 2015. « A peine sorti, il s’est envolé à bord d’un jet privé envoyé par l’émir du Qatar, destination finale du voyage en compagnie du procureur général [de ce petit émirat]. Il est là-bas pour on ne sait combien de temps », nous raconte un de ses proches.
Mamadou Ndoye avertit Macky : "Si Karim Wade est libéré, ce sera un très mauvais message politique..."
Comme on pouvait s'y attendre, la décrispation des relations tendues entre l'Alliance pour la République (Apr) et le Parti démocratique sénégalais (Pds), avec à la clé une imminente libération de Karim Wade, se heurte à la réticence de certains alliés du chef de l'Etat. Le secrétaire général de la Ligue démocratique, dans une déclaration dont Grand Place a reçu copie, met en garde le Président Macky Sall sur cette possible mise en liberté du détenu le plus célèbre du Sénégal.
Idy : «Macky meunoul, djouboul, weuroul»
Très en verve, lors de sa conférence de presse de ce jeudi, Idrissa Seck n’a pas fait de cadeau au Président Macky Sall. « Le Sénégal a des fils qui peuvent le construire.
Chaque jour je les vois. Ils sont dans les entreprises, dans les organismes internationaux, ils sont ici dans ce pays. Ce sont des fonctionnaires compétents qui peuvent faire ce pays. Mais celui qui dirige ce pays, “ki djité rewmi meunoul, djouboul, weuroul”. Je l’ai dit et redit. Et si ce que je dis n’était pas vrai, il m’aurait interpellé », a-t-il tonné face à la presse.
Idrissa Seck enfonce Wade-fils: “Karim est coupable mais…”
Face aux journalistes de la presse nationale et internationale qu’il a conviés à un Ndogou presse, ce jeudi, Idrissa Seck est largement revenu sur ce qui fait l’actualité en ce moment dans notre : la libération de Karim Wade. Pour le patron de Rewmi qui a abordé entre autres points le procès de Karim Wade, le fils de Wade est bel et bien coupable. “Je n’ai aucun doute sur la culpabilité de Karim Wade. Le hic, c’est qu’ils ont utilisé un mauvais instrument pour établir une culpabilité qui relève de la flagrance”, a dit Idrissa Seck. Des propos rapportés par Senego.
Sénégal - De 80 députés en 1960 à 160 en 2017 ? L’assemblée nationale double ses rondeurs
On va vraisemblablement vers une augmentation du nombre de députés à l’Assemblée nationale. La diaspora considérée comme la 15ème région aura désormais un quota élu au sein de l’hémicycle.