MOUSSA TINE : « Le Conseil avait décliné sa saisine pour une question similaire en 2004... Pour Ismaïla Madior, l’avis des 5 Sages ne lie pas le Président »
Moussa Tine ne sait pas s’il va voter Oui ou Non à l’occasion du prochain référendum. En fait, il n’est pas encore convaincu de la pertinence des points contenus dans le projet de révision constitutionnelle, mais reste certain que le Chef de l’Etat aurait mieux fait de passer par la voie parlementaire pour apporter les modifications souhaitées. « On pouvait passer par la voie parlementaire. Il y a un article qui est spécialement dédié à la révision de la Constitution. C’est l’article 103. Dans cet article, il n'y a pas un avis à demander au Conseil Constitutionnel… »
L’invité du Grand Jury de regretter la reculade du Président Sall. « Je suis pour la réduction du mandat » non sans oublier de marteler son scepticisme quant à la pertinence du référendum. « Je ne suis pas sûr de l’opportunité d’aller vers un référendum. Je suis pas convaincu de la pertinence des points contenus dans le projet de révision constitutionnelle », dira notamment le Président de l’Alliance Démocratique PENCOO.


La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) peint un tableau sombre du climat politique et social au Sénégal. Dans un communiqué parvenu à Sud Quotidien hier, vendredi 29 janvier, Aboubacry Mbodj, coordonnateur de la Raddho et compagnie attribuent la détérioration du climat à l’absence de dialogue. Par conséquent, les droits de l’hommistes se proposent d’organiser «un débat national pour la promotion d’un dialogue politique et social à la fois fécond et sincère». Qui plus est, les «droits de l’hommistes» pensent créer ainsi «les conditions d’une large concertation», qui regroupera, selon eux, toutes les franges de la société. Le but est, selon les initiateurs de la rencontre, «de contribuer au renforcement des acquis de la démocratie par la création de mécanismes de dialogue permanent et conjoncturel de tous les acteurs».
Ancien ambassadeur du Sénégal à Banjul entre 2001 et 2006, Ndiouga Ndiaye trouve qu’en réponse aux attaques de Yahya Jammeh, le Sénégal devra bloquer l’entrée des produits qui transitent par son terroir à destination de la Gambie. Mieux, joint au téléphone par la rédaction de Sud quotidien hier, lundi 15 février, le diplomate est d’avis que, pour corser la dose, les automobilistes sénégalais devront aussi boycotter la traversée du bac de Farafenni.
La récurrente demande des transporteurs pour une baisse conséquente du prix du carburant a-telle trouvé un écho favorable auprès du président de la République ? En tout cas, samedi lors du lancement du projet de renouvellement du parc des gros porteurs, Macky Sall a promis d’étudier plus largement la question avec le ministre du Budget..jpg)
17 Heures, heure de Dakar je me permets de donner mon avis à mon ami et Président Monsieur Maky Sall avec qui, mon parti l'Alliance pour la Paix et le Développement est en alliance. .jpg)
