Contribution: L'e-commerce peut-il remplacer le commerce traditionnel au Sénégal?

L'e-commerce peut-il remplacer le commerce traditionnel au Sénégal?
Tel un nouveau gadget, l’e-commerce occupe de plus en plus une place importante dans les habitudes des consommateurs sénégalais, et les enseignes d’e-commerçants sont de plus en plus nombreuses, au point où certains se demandent si ce nouveau mode d’achat ne finira pas par sonner la fin du commerce traditionnel dans notre pays.


Comment en sommes-nous arrivés là, à observer à distance Jammeh, en lelaissant agir au point où, il est aujourd’hui, le gambien le plus informé de ce qui se passe à l’intérieur de nos frontières ?
Au Sénégal, quand la direction de l’Administration pénitentiaire (Dap) ouvre ses registres sur le chapitre des effectifs carcéraux, les statistiques qui s’alignent témoignent de la surpopulation élevée dans les prisons. Mais cela renseigne également de la pluralité des établissements pénitentiaires concernés par le phénomène du surpeuplement carcéral. Pour preuve, il est relevé, dans les prisons, selon Walf Quotidien, que l’effectif total des prisons fait 8 630 pensionnaires pour une capacité réelle d’accueil de 3 383 prisonniers. Ce qui, comparé à l’effectif du personnel responsable de ses détenus, fait 1 agent-pénitencier pour 100 prisonniers. Au lieu de 2 agents pour 100 détenus, comme recommandé par les normes.
La presse a largement rendu compte hier (27/10/2015) de l’accord « à l’amiable » intervenu entre l’Etat du Sénégal et M. Abbas Jaber, actionnaire majoritaire de la SUNÉOR. Au terme de cet accord, l’Etat reprend la société à l’actionnaire majoritaire. On se rappelle que c’est en avril 2005 que l’homme d’affaires libano-sénégalais avait acquis l’entreprise dans des conditions nébuleuses, et presque pour des miettes : huit (8) milliards avançaient les uns, cinq (5) rectifiaient les autres. Au moment de la privatisation, c’est M. Abdou Khadim Guèye qui était le PDG de la SONACOS (ancêtre de la SUNÉOR). C’est cet homme qui était pratiquement seul au cœur du processus. 
A l'origine de l'arrestation récente de plusieurs imams au Sénégal, Jeune Afrique révèle que ce sont des conversations téléphoniques interceptées par les services de renseignement français dans la région du Lac Tchad qui ont été transmises à Dakar.
Fatimé Sakine, secrétaire à l’Assemblée nationale du Tchad, est venue hier partager ses douloureux souvenirs avec la Cour. D’origine arabe, elle a été arrêtée le 24 octobre 1984 au Fleuve Chari alors qu’elle se rendait à Kousseri au Cameroun pour les besoins de son commerce. A l’époque, elle était mineure et était âgée de 17 ans. Interrogée d’abord sous un hangar par les agents du service des renseignements généraux au sujet de ses parents membres du Conseil démocratique de la révolution (Cdr), en rébellion contre le régime de Habré, elle a été par la suite conduite au Commissariat central de Ndjamena.