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04
Ven, Juil

[ VIDEO ] Kaolack : un contractuel de la SUNEOR meurt par pendaison

Un contractuel de la SUNEOR de Lyndiane, âgé d’une quarantaine d’années et habitant Kabatoki (Kaolack, centre), a été retrouvé, tôt ce vendredi, suspendu à un arbre non loin de son lieu d’habitation, a appris l’APS de bonne source.

 
La gendarmerie de Kaolack a ouvert une enquête pour tenter d’élucider les raisons qui l’ont poussé au suicide.Selon la même source, la victime a pourtant travaillé jeudi jusqu’à 22 heures à l’usine de traitement de l’arachide de Lyndiane.

Tentative de blocage du plan « Daas fanaanal » : Des membres de l’Esprit Y’en a marre de Kaolack retenus par la Police

« Après le grand concert pédagogique organisé (le dimanche 24 Avril au terrain « Déggo » de Kaolack) par le Mouvement Y’en a Marre, et le rush constaté ce mardi à la Préfecture et au commissariat de Police de la localité, avec des jeunes à la recherche de cartes nationales d’identité, le pouvoir tente d’étouffer cette nouvelle dynamique par l’activation des services de Police ». C’est ce que nous apprend un communiqué parvenu à Ferloo.

 

TRONÇON FATICK – KAOLACK : Jls est disposé à le refaire

Les travailleurs de Jean Lefebvre Sénégal (Jls) ne veulent pas se présenter en victimes expiatoires du gouvernement. Ils ont prévu un certain nombre d’actions, dont l’occupation des locaux du groupe le 8 mars, jour de leur vente, et une marche le 16 du même mois. Tout cela pour protester contre ‘la liquidation programmée de Jls’.

TRONÇON FATICK – KAOLACK : Jls est disposé à le refaire

Marche avec la Csa le 16 mars, occupation par les travailleurs et leurs familles des locaux du siège de l’entreprise le 8 mars, jour prévu pour leur mise en vente, campagne d’affichage à travers la ville pour sensibiliser l’opinion nationale et internationale sur ‘le sort’ que leur ‘réserve le gouvernement’, c’est le plan d’action des travailleurs de Jean Lefebvre Sénégal (Jls). Ces travailleurs, affiliés à la Csa, qui étaient en conférence de presse hier, au siège de leur entreprise, agitent le slogan : ‘Nous sommes déjà morts, nous ne mourons plus’.

COUP DE THÉÂTRE DANS L'AFFAIRE DE LA ROUTE FATICK- KAOLACK : L'expertise judiciaire démontre que la reprise de la route coûtera 4 fois plus que ce qui devait être payé à Jls

Les résultats de l'expertise judiciaire que l'Etat avait demandée pour obtenir la réparation de la route Fatick-Kaolack par l’entreprise Jean Lefebvre Sénégal (Jls) ont été déposés au tribunal avant-hier. Les conclusions de l'expert vont surprendre plus d'un du côté des pourfendeurs de Bara Tall. Car elles soulignent que la reprise de ce tronçon chaotique coûtera quatre fois plus que ce que Bara Tall doit percevoir pour avoir fait les travaux initiaux. 

 

Vers la création d’une monnaie locale à Kaolack

Le Centre d’Etude pour le Financement du Développement Local (CEFDEL) et du Mouvement pour la Renaissance, la Liberté et le Développement (MRLD) envisage de créer, dans la région de Kaolack, une monnaie locale qui sera totalement convertible en FCFA.

 En effet, selon la vice présidente du CEFDEL, Safiétou Ndiaye, l’objectif c’est de pouvoir mettre plus d’argent dans la communauté en créant une monnaie convertible au CFA mais qui peut s’utiliser pour les besoins de la communauté spécifiquement. 

LE MOUVEMENT « Y EN A MARRE » CREE PAR LE GROUPE KEUR GUI DE KAOLACK DISQUALIFIE WADE ET L’OPPOSITION « Nous ne nous retrouvons pas derrière un Président vieux, ni derrière une élite politique du 3E âge »

 

« Les tenants du pouvoir sont responsables de la galère des Sénégalais, mais également en partie l’élite politique ». C’est l’avis du Mouvement « y en a marre » qui a implanté sa Cellule régionale hier à Kaolack. Disqualifiant la classe politique sans exception, ces partisans d’une nouvelle recomposition politique promettent de jouer le rôle de sentinelle, en vue d’un changement, lors de la prochaine Présidentielle de 2012.

ASSISES DE KAOLACK : Djiby Dièye prend 8 ans pour avoir poignardé mortellement son frère

KAOLACK - Poursuivi pour meurtre sur la personne de son frère aîné Samba Dièye, Djiby Dièye doit une fière chandelle à ses conseils qui sont parvenus à l'extirper des griffes de l'Avocat général qui avait requis 20 ans de travaux forcés, contre lui. Une triste affaire qui avait défrayé la chronique au Saloum en 2003.

Les faits pour lesquels Djiby Dièye a été condamné, hier, par la Cour d’assises de Kaolack, remontent à la nuit du 23 au 24 novembre 2003. Une altercation a opposé les frères Samba et Djiby Dièye, au sortir de laquelle le premier nommé trouvera la mort, à la suite des coups reçus de son frangin. Les policiers du commissariat de Ndorong, informés des faits, se sont aussitôt rendus sur les lieux où ils ont appris que le nommé Djiby Dièye avait déjà pris la poudre d’escampette à bord d’un véhicule. 

Idrissa Seck empêché d'accéder à la ville de Kaolack par les forces de l'ordre

POLITICOSN.COM. Un impressionnant dispositif de sécurité a empêché lundi à Idrissa Seck d'accéder à la ville de Kaolack. "L'ancien premier ministre était bloqué à l'entrée de la ville par les forces de l'ordre. Lui et les éléments de son cortège et n'avait pu accéder à la ville de Kaolack", a indiqué Bocoum, son chargé de communication. Un peu plutôt, des proches de Seck ont été interpellés par les forces de l'ordre.

ROUTE FATICK-KAOLACK : «Je suis prêt à refaire cette route, selon les conditions de leur propre expert»

ROUTE FATICK-KAOLACK : «Je suis prêt à refaire cette route, selon les conditions de leur propre expert»
«On nous a obligés à faire le contrat que nous avions signé, on nous a imposé des conditions d'exploitation qui n'étaient pas les bonnes. Et il en est advenu ce qu’il est advenu. J'avais la possibilité de refuser dans un premier temps et d'être radié pour refus d'exécution d'un contrat. Je ne l'ai pas fait. J'ai exécuté ce contrat et il en est advenu ce qu'il est advenu. On a été condamné et j'ai refusé de refaire cette route par mon entreprise dans les conditions qui étaient les conditions contractuelles en vigueur», poursuit-il. 

COUP DE GUEULE DES ENSEIGNANTS DU SELS, FACE AU RETARD DE LEURS SALAIRES La tension monte chez les enseignants, ceux de Kaolack claquent les portes des classes.

NETTALI.NET - L’éducation connaît depuis l’ouverture des classes un certain malaise. Après la grève des professeurs du Lycée Demba Diop et ceux de Limamoulaye, voici que les enseignants entrent dans la danse. Particulièrement les instituteurs du Sels qui n’ont toujours pas perçu leurs salaires. Et pour se faire entendre, ils ont battus le macadam, parlé dans les médias, et déserté les classes.