LE DISCOURS DE MATAR BA, les largesses de Serigne Mbaye Thiam et le riz de Thilogne : parlons-en !
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L’OBS – Les habitants de Diaobé-Kabendou, commune du département de Vélingara, qui abrite chaque mercredi l’un des plus importants marchés hebdomadaires de la sous-région ouest-africaine, sont encore sous le choc. Dans cette ville économique distante d’une centaine de kilomètres de Kolda, sa capitale régionale, les gens sont consternés par la mort de l’un des leurs, Amy Baldé, tuée par la foudre. Âgée de 25 ans, cette femme qui habitait Sinthiang Diombo, un quartier de la commune de Diaobé-Kabendou, a été foudroyée lundi dernier. Le drame, précise-t-on, s’est produit au moment où une fine pluie s’abattait sur Diaobé et ses environs.
L'Ong Tostan a organisé à Ndorma, dans le département de Médina Yéro Foulah une grande mobilisation sociale contre la fistule. Les communautés ont été informé sur les causes et les conséquences de cette maladie imposant aux malades de s’isoler pour fuir la stigmatisation.
«Rien ne sera plus comme avant». Ce sont en des termes presque menaçant que le nouveau maire de Ndendory (département de Kanel) a tenu à avertir l’homme d’affaires Cheikh Amar, dont la société exploite les phosphates de Matam. L’édile de la ville a déclaré, en marge de son investiture hier, que la région de Matam ne bénéficie d’aucune retombée dans l’exploitation de ses phosphates.
Le lycée de Médina Yoro Foulah avait suscité beaucoup d’espoir. Mais, près deux ans après son ouverture, les problèmes que rencontrent les élèves de ce vaste département demeurent.
Le concept « Ubi tey, diang tey » (commencer les cours dès la rentrée), n’est pas encore une réalité à Médina Yoro Foulah.
l n'en pouvait plus de s'entendre dire que sa signature est imitée par des faussaires qui font des dossiers fonciers leur source de revenus de manière éhontée et dans l'irrespect total de la législation en vigueur relativement à cette matière déjà très complexe sur la petite côte.
Avec plus de 200.000 têtes de bovins, le département de Médina Yéro Foulah a toutes les conditions pour revaloriser l’élevage avec ses massifs forestiers et le dynamisme de l’équipe technique. Mais, l’enclavement légendaire et l’absence d’infrastructure plombent encore ce secteur porteur.
La grève des taxis clandos de Mbour a pris fin le week-end, après trois folles journées d’actions soldées par vingt déferrements au parquet. Une partie des dizaines d’interpellés ont été libérés.
Leur mouvement d’humeur est consécutif à un refus du maire de Mbour de baisser la taxe municipale de 6000 à 3000 francs Cfa. Si, dans un climat d’apaisement, les bons offices de Saliou Samb, le président du Conseil départemental de Mbour, ont été salutaires, force est de reconnaître qu’il reste une autre paire de manche avec certains grévistes sous le coup de la détention.