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07
Dim, Sep
SENETOILE NEWS

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  De l’avis d’Aliou Sow, ancien ministre sous Wade, Karim Wade ne doit pas être le seul en prison, si réellement il y est pour enrichissement illicite. L’invité du dimanche 09 août dernier de l’émission Grand Jury de la Radio Futurs Média (Rfm), a indiqué en effet que la majorité des hommes politiques sénégalais ont pillé les ressources du pays.    

«Des ministres libéraux et des ministres du pouvoir actuel devaient être aussi dans la même situation que Karim, si réellement il y est pour enrichissement illicite».
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Serigne Mbacké dénonce la sortie du Coordonnateur du Pds, Oumar Sarr, encourageant le caillassage du cortège de Macky Sall à l’Université Cheikh Anta Diop. "Ce qui s’est passé à l’Université de Dakar est inacceptable. Et c’est grave d’entendre un responsable politique du Pds encourager de tels actes. Je dénonce vigoureusement la sortie du N°2 de mon parti, Oumar Sarr. J’ai lu dans la presse qu’il encourage les étudiants et qu’il les soutiendra", a regretté le responsable libéral en marge du lancement des Vacances citoyennes, samedi derniers à Thiès.

Sénégal   La Cour suprême a mis hier, jeudi, en délibéré jusqu’au 20 août prochain les sept recours déposés par Karim Wade et codétenus condamnés par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). L’audience s’est déroulée sous une forte présence policière en présence de plusieurs militants libéraux.    

Karim Wade reste en prison, du moins pour quinze jours avant d’être édifié sur son avenir carcéral. En effet, la Cour suprême qui statuait hier, jeudi, sur les sept recours déposés aux fins d’annulation de l’arrêt rendu le 23 mars dernier par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) a décidé de mettre en délibéré sa décision au 20 août prochain. L’audience présidée par le Premier président de la Cour suprême, Mamadou Badio Camara, n’a duré environ que quatre tours d’horloge.

Les avocats de Karim Wade ont boudé hier, jeudi 6 août, la salle des audiences de la Cour Suprême. Pour raison, ils ont estimé que le jugement de leur client est une simple parodie de justice qui ne permet pas à leur client de bénéficier d’un procès équitable. Pour eux, il est inacceptable que «la justice soit un bras armé pour l’exécution d’un opposant».  

«On ne peut pas accepter que la justice soit un bras armé pour l’exécution des opposants»., dixit la défense de Karim Wade hier, jeudi 6 août, dans un hôtel de la place. Me Clédor Ciré Ly a tenu à expliquer les raisons qui les ont fait bouder l’audience en signalant plusieurs vices de forme et de procédure de la Cour Suprême. Les raisons évoquées, par Me Ly, porte-parole du pool des avocats de la défense, tournent autour de 3 actes qu’ils jugent de violation du droit de leur client à un procès équitable. 

Son incarcération pour offense au chef de l'Etat ne l'a pas poussé à changer sa liberté de ton. Me El Hadji Amadou Sall a de nouveau sorti de "gros mots" contre le Président Macky Sall. À en croire le quotidien L'Observateur, hier, devant les responsables et militants libéraux, l'ancien ministre de la Justice s'est offusqué du fait que selon lui, tous les chefs religieux du Sénégal ont demandé au Président Macky Sall de libérer Karim Wade, en vain. Le chef de l'Etat est resté insensible à toutes ces requêtes. 

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  Africa StarEn prélude à l’audience d’aujourd’hui de la Cour suprême pour examiner les deux pourvois en cassation déposés par Karim Wade, le collectif des avocats s’est voulu formel. Face aux journalistes, les conseils de l’ancien ministre d’Etat ont indiqué en effet avoir pris les devants pour écarter toute possibilité d’irrecevabilité de leur recours. Ils se sont dit aussi optimistes que la Cour suprême tranchera en la faveur de leur client au regard des éléments qu’ils ont fournis. Toutefois, ils préviennent que Karim Wade dispose d’autres moyens de recours en sa possession.    Lors de ce face à face avec la presse, les avocats de Karim Wade, malgré leur critique à l’encontre de la décision de la Cour suprême de statuer sur les deux pourvois en cassation déposés par leur client avant l’expiration du délai de deux mois, ont proclamé leur optimisme, quant à l’issue de ce recours en cassation. Face aux journalistes, Me Seydou Diagne a commencé par lever toute équivoque, quant à la recevabilité des deux pourvois en cassation. Selon lui, la composition de leur équipe écarte cette thèse d’irrecevabilité. 

Les recteurs des universités publiques du Sénégal ne veulent pas que l’image de la communauté universitaire soit ternie. En conférence de presse hier, ils ont condamné les jets de pierres sur le cortège du président de la République, vendredi dernier lors de sa visite à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Sénégal   Moins de dix jours après l’installation, par l’Etat, de son comité d'évaluation de la première année de l'Acte III de la décentralisation, le vendredi 24 juillet, les maires du Sénégal s’investissement à dresser, eux aussi, leur propre diagnostic de la réforme des collectivités locales. Suffisant pour que le président de l’Association des maires du Sénégal (Ams), Alioune Sall, invite ses pairs à faire un diagnostic sans complaisance et sans parti pris de la mise en œuvre de l’Acte III. Le maire de Guédiawaye qui s’exprimait hier, lundi 3 août, lors du lancement de l’atelier d’évaluation de la mise en œuvre de ladite réforme par son organisation, a par ailleurs réclamé l’amélioration du statut de l’élu local.  

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Quelques heures après les heurts qui ont escorté la visite du chef de l’Etat à l’Ucad, le pouvoir essaie de comprendre le comportement des étudiants qui ont «caillassé» Macky Sall. Même si les Rg avaient alerté les autorités que des troubles «fomentés par l’opposition» étaient prévus. Quoique conscient des risques, le chef de l’Etat a décidé d‘aller au Temple du savoir.

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A partir d’aujourd’hui et jusqu’au mercredi, l’Etat-major va expulser les non-ayants droit qui occupent des logements aux Camps Leclerc, Bel Air, Mamelles, la Villa rose et Claudel 1 et 2. L’Armée a prévu un énorme dispositif de sécurité pour réussir cette opération. L’inquiétude et l’incertitude se confondent déjà dans les familles qui sont à la recherche de nouveaux points de chute.