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04
Dim, Mai

Ne s'étant pas limités aux faits qui lui valent les poursuites, Mbaye Ndiaye s'est livré à un véritable contre-procès à l'égard de l'ancien ministre des Transports, Mor Ngom e de l'agent des Ads, Boubacar Konaté . Il se dit victime d'une "machination" compte tenu des menaces qu'il aurait reçues de son ministre de tutelle d'alors, notamment lors d'une réunion.

"En tant qu'administrateur délégué, j'avais fait de Mor Ngom un directeur. Ce sont les Ads qui lui payaient intégralement son salaire durant les 4 ans pendant lesquels il est resté sans travailler", a révélé le prévenu. Et de poursuivre : "quand il est devenu ministre, il a engueulé un directeur. Ensuite, il s'est tourné vers moi en disant : j'ai fait le tour de l'aéroport, mais c'est sale et il y a des rats partout. Je lui ai répondu : M. le ministre, vous volez très bas. On m'a taxé de corrompu, car je vous ai donné des 4x4 . J'ai recruté votre frère,uUne semaine plus tard, il était limogé". 

L’enquête menée par le chef de la Dic, le commissaire Ndiara Sène, ne laisse de place au doute. La balle qui a tué l’étudiant Bassirou Faye est sortie de l’arme d’un policier. Les témoignages des étudiants et même d’éléments de police présents sur les lieux le 14 août 2014 et faits devant les enquêteurs désignent le tireur dans les rangs de la police. Il s’y ajoute que l’expertise balistique corrobore de telles déclarations.

L’enquête menée par la Division des investigations criminelles (Dic) de la Police nationale sur la mort par balle de l’étudiant Bassirou Faye au campus de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) a donné des résultats probants.

Farba Senghor

iGFM- (Dakar) Une quarantaine de gendarmes ont fait une descente depuis ce matin, chez l’ancien ministre libéral, Farba Senghor a constaté IGFM sur place. A bord de voitures pick up, ils ont encerclé le quartier (Cité Biagui) et filtrent toutes les entrées et sorties.

Selon les informations recueillies sur place, les gendarmes sont venus, accompagnés d’un huissier saisir les biens de M. Farba Senghor, à la suite d’une décision de justice non exécutée.

Pour rappel, un différend avait opposé Farba Senghor et l’artiste, Souleymane Diouf  dit  » Fara  » en 2007.

Samedi dernier, Charles Paul Alphonse Ndour, jeune Sénégalais de 26 ans, a trouvé la mort à Tanger dans d’horribles circonstances. Une vidéo qui circule sur la toile lève le voile sur les circonstances du décès. Le ministère des Affaires étrangères a pris les choses en main.

Le rendez-vous pris avec la mort par Charles Alphonse Ndour s’est fait dans des conditions sordides, à la fois violentes et surréalistes. Une vidéo-amateur raconte le film d’horreur, aimante les vues sur la toile en même temps qu’elle avertit : «Ames sensibles, s’abstenir.» 

APA-Freetown (Sierra Leone)

La Sierra Leone a annoncé un confinement de quatre jours de sa population pour contenir la propagation de l'épidémie d'Ebola, a appris APA, vendredi, de source officielle.

Les Sierra Léonais ne seront pas autorisés à quitter leurs foyers du 18 au 21 Septembre dans le cadre des efforts déployés par le gouvernement visant à prévenir la propagation de la fièvre hémorragique.

Cette mesure permettra de contenir le virus une fois pour toutes, a déclaré Ibrahim Ben Kargbo, conseiller du président et Responsable média du Groupe de travail présidentiel sur le virus Ebola. 

Elle devra également permettre aux agents de santé d'identifier les cas d'Ebola dès les premiers symptômes. 

«Je ne répondrai qu’en présence de Bibo Bourgi en ce qui concerne la société Ahs dont il est actionnaire à 90 pour cent et moi à 10 pour cent». C’est l’essentiel de la formule qui est revenue en boucle dans presque toutes les réponses de Pape Mamadou Pouye, lors de son interrogatoire ce mercredi. Le présumé complice de Karim Wade et non moins actionnaire de la société Ahs (Africa handling services) n’a pas ajouté grand chose dans sa déclaration préliminaire. 

Après l’interrogatoire du principal mis en cause Karim Meïssa Wade, c’était au tour de l’un de ses présumés complices de répondre aux questions de la Crei et du Procureur spécial Alioune Ndao. Il s’agit de Pape Mamadou Pouye. Le présumé complice Pouye est revenu dans un premier temps sur quelques éléments de précision concernant le délit pour lequel il est poursuivi. 

Samedi, en faisant le point sur l'épidémie de la fièvre hémorragique, la Guinée s'est aussi prononcée sur l'exportation du virus chez son voisin le Sénégal. Tout a commencé le 08 août dernier, selon le Comité national de riposte à Ebola.

À la base, un étudiant guinéen de l'université " Général Lansana Conté de Sonfonia ", l'une des deux universités publiques de la capitale. Le 08 août, l'étudiant a eu un contact, à Forécariah (ville à la frontière de la Sierra Leone), avec son jeune frère venu de la Sierra Leone. Ce dernier est décédé le 10 août dans le village de Laya (Forécariah), et son enterrement a eu lieu le lendemain de sa mort. 

Il n’y a pas fronde, réagit-on du côté du parti présidentiel. Mais des arguments convergent vers une «destitution» du président du groupe Benno bokk yaakaar de son poste. Les noms de Thierno Alassane Sall, Mor Ngom et Mahmoud Saleh ne sont cités, confie-t-on, que pour «envelopper la stratégie des faucons du Palais pour faire partir Moustapha Diakhaté».

Fronde en gestation a-t-on dit. Les intéressés l’ont appris surpris et atterrés. «Moi comploter contre le Président ?». C’est l’étonnement d’une des personnes mises en cause. Mais au fond, il n’y a jamais de fumée sans feu. Et en politique, l’on peut créer ce qui n’existe pas et l’entretenir. Ce pourrait être le cas dans cette affaire. Et là, pour cette «fronde», ce serait une stratégie des faucons de la Présidence qui ne voudraient plus de ces quatre. Mais principalement Moustapha Diakhaté.

Devant la Crei, hier, Karim Wade a indiqué au président Henri Grégoire Diop que ce procès n’est rien d’autre qu’une façon de l’empêcher de faire face à Macky. Pour lui,  selon ses avocats, sa candidature en 2017 «hante le sommeil» du Président Sall.

Après avoir qualifié son procès d’une «affaire montée de toute pièce», devant la Cour, hier, Karim Wade a réaffirmé qu’il est un «prisonnier politique pris en otage pendant seize longs mois, privé de liberté et soumis à une procédure où ses droits sont constamment violés». Ce sont là quelques extraits des déclarations de l’ancien ministre rapportées par ses conseils. 

Retrouvé mort le 14 août dernier sur les pavés du campus social de l’Ucad (Université Cheikh Anta Diop) à l’issue de heurts entre forces de l’ordre et étudiants, l’étudiant Bassirou Faye a vu son corps passé au laboratoire de la médecine légale : l’autopsie ! Un examen qui consiste à déterminer scientifiquement les causes exactes de la mort d’une personne.

Au délibéré, les résultats du médecin légiste de l’hôpital Le Dantec sont sans appel ! A en croire les conclusions de l’homme de l’art, le défunt étudiant « a été tué par une arme à feu », ce que tout le monde savait du reste. D’après le spécialiste, la balle a atteint le défunt au crâne. 

La sortie musclée, hier, du député-maire des SICAPS-Mermoz-Sacré, Barthélémy Diaz, à l’endroit de la coalition au pouvoir (Benno Bokk Yakaar) continue de susciter des réactions .M. Babacar Lo Ndiaye, chargé de mission à la Présidence de la République et non moins responsable politique de l’APR à Kaolack n’a pas pris de gants pour débiter des bombes sur l’ancien patron de la Convergence Socialiste : «Ce que ce petit type fait le ridiculise davantage. Soit on est dedans, soit on est dehors.

Les fonctionnaires du ministère de l’Economie, des finances et du plan ont pu sécuriser une bonne partie des financements du Plan Sénégal émergent (Pse), en obtenant déjà environ 1 300 milliards de francs Cfa. Mais la disponibilité de cet argent ne fait pourtant pas bouger les choses. Parce que les projets qu’ils sont censés financer ne sont pas encore suffisamment élaborés, semble-t-il …

Où en sont les projets que le Plan Sénégal Emergent (Pse) doit financer ? Pourquoi l’impression générale dans le pays est que les choses ne bougent pas et que l’argent ne circule pas ? Des chefs d’entreprise, et non des moindres, se plaignent de ce qu’ils appellent, une recrudescence des marchés de gré à gré, qu’ils assimilent, pour bien d’entre eux, à du copinage, qu’on se demande s’il y a bien une stratégie pour faire démarrer les chantiers de Macky Sall. 

SUSPENSION DES COURS DANS PLUSIEURS FACULTES JUSQU’EN OCTOBRE

Suite à la grève illimitée des étudiants et à la demande du Saes d’observer une pause, les cours sont suspendus à la faculté des lettres et sciences humaines (Flsh) et à la Faculté des sciences et techniques (Fst) jusqu’en octobre. A la Faculté des sciences juridiques

et politiques (Fsjp) aussi, il n’y a pas eu cours depuis prés de 2 mois, alors que la Faculté de médecine avait tout arrêté au lendemain du décès de Bassirou Faye.

C’est un grand défi qui attend les services de Mary Teuw Niane s’ils veulent valider les enseignements à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) cette année. Depuis la mort de Bassirou Faye qui aurait reçu une balle de police lors d’affrontements entre étudiants et forces de l’ordre, il n’y a pas de cours dans le temple du savoir.

Les banques, hommes politiques, internet, Ong, et l'immobilier servent de réceptacle ou de subterfuge pour recyclage de l'argent sale. C'est ce que relève, entre autres, le rapport annuel 2013 de la Cellule nationale de traitement de l'information financière (Centif).
Le département de transfert rapide d’argent d’une banque a relevé un certain nombre d’anomalies relatives à des transferts en provenance de l’étranger.

Le Sénégal gagnerait à être plus vigilant au niveau des postes frontières qui le séparent de la Guinée Conakry. Déjà hier lundi, deux étudiantes sierra-léonaises et un enseignant guinéen ont infiltré le pays, avant d’être arrêtés, testés et retournés vers la Guinée.

Les postes frontières qui séparent le Sénégal et la Guinée Conakry nécessitent une intense surveillance, pour éviter toute mauvaise surprise. Figurez-vous qu’hier lundi, deux étudiantes de nationalité sierra-léonaise et un enseignant guinéen se sont infiltrés au Sénégal à travers le village de Pakour dans le département de Vélingara. 

LE SÉNÉGAL PROVOQUE UNE \"ALERTE\" ÉBOLA EN GUINÉE BISSAU

Bissau, 30 août 2014 (AFP) - La Guinée-Bissau s'est lancée samedi dans une  vaste opération propreté, se disant "en alerte" après l'annonce que l'épidémie d'Ebola touche désormais le Sénégal voisin.

Cette campagne de nettoyage et de désinfection des lieux publics doit se  dérouler à travers tout le pays tous les derniers samedis du mois, a annoncé  le bureau du Premier ministre Domingos Simoes Pereira.

"Notre pays doit être en alerte car Ebola est déjà à nos portes", a déclaré M. Pereira à l'occasion du lancement de cette opération à Farim (nord), une  ville proche de la frontière sénégalaise.

Le Sénégal a confirmé vendredi un premier cas d'Ebola, alors que cette  épidémie sans précédent - partie de Guinée, autre voisin de la Guinée-Bissau- a fait plus de 1.500 morts en Afrique de l'Ouest depuis le début de l'année.

Le maire de Mermoz-Sacré-Cœur se dit blanc comme son boubou de cette matinée dans la vente supposée du terrain de la Boulangerie jaune. Barthélémy Dias n’entend pas reculer dans sa volonté de valoriser cette surface de 12000 m2. Le Socialiste entre dans la surface de l’Apr et de Benno bokk yaakaar à qui Taxawu Dakar a servi une «raclée exemplaire» lors des Locales du 29 juin. Si le Ps, après que l’Afp a décidé de ne pas se présenter à la prochaine Présidentielle, n’a pas son candidat ce serait une «insulte» pour les Socialistes. A savourer un Jazz aux cordes peu souples.

EBOLA
L’OBS – Elle n’est plus à présenter, la communauté rurale de Diaobé-Kabendou, située à 97 km de la ville de Kolda, sa capitale régionale, abrite chaque mercredi l’un des plus importants marchés hebdomadaires de la sous-région ouest africaine. Dans cette bourgade à la démographie galopante, les activités économiques tournent au ralenti à cause du virus d’Ebola. Autres effets de la fermeture de la frontière, des véhicules guinéens sont coincés à la gare routière de Diaobé. Ebola asphyxie Diaobé et paralyse les activités économiques.

 

  Le Sénégal vient d'enregistrer son premier cas d'Ebola importé de la Guinée, par un jeune guinéen de 21 ans, étudiant dans une université à Conakry, actuellement mis en quarantaine au niveau de la Clinique des Maladies Infectieuses du Chn de Fann. Eva Marie Colle Seck, ministre de la Santé a fait face à la presse hier, vendredi 29 août, pour confirmer la présence de ladite maladie, non sans appeler à la sérénité et au respect strict des mesures d'hygiène.  

Les frontières terrestres, aériennes, et même maritimes fermées avec les pays touchées par le virus Ebola n’y feront rien. Le Sénégal vient d’enregistrer son premier cas de virus Ebola importé par un jeune guinéen âgé de 21 ans, étudiant dans une université à Conakry. Le patient, actuellement en quarantaine  au niveau de la Clinique des Maladies Infectieuses du Chu de Fann,  était en traitement dans son pays, avant de prendre la fuite il y a de cela 3 semaines, pour se refugier au Sénégal. L’information a été donnée par Eva Marie Colle Seck, ministre de la Santé et de l’Action Sociale, hier vendredi 29 août. 
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