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Lun, Jui
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Rien ne peut envisager la légalité devant la défiance du peuple

Le cercle des intellectuels  soufis  regrette  un discours de retournement moral et de  conversion au  Wadisme  sur fond de reniements  et de bravades, que  le président  de la république a lancé aux Sénégalais.

Le cercle, considérant que, rien ne saurait envisager la légalité  devant la défiance des Sénégalais,  appelle Macky Sall et ses partisans, à arrêter  de contrarier les revendications des Sénégalais  et d’asticoter  ses attentes légitimes.

Certes,  on peut  bien  faire descendre  le Sénégalais de son petit nuage (dans son  rêve de rupture) mais personne ne peut pour autant  faire  trembler sa station debout.

Réfutation décisive des allégations des détracteurs de Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif !!! [Une exclusivité de la mission du Mahdi (Retour de Jésus fils de Marie)].

Certes, beaucoup de propos ont été attribués au vénéré Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif (PL), mais ce dernier nous a rassuré et explicitement mis en garde : ’’Pesez les propos qui me sont attribués à la balance de la Charia ; prenez ce qui en est conforme, et délaissez ce qui en diverge’’. (Source : Tidjaniya.com)

Entre autre, Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif (PL) a révélé : “Le Prophète (PSL) m'a informé de vive voix que je suis le ‘’Pôle caché’’ (qutbul maqtum), cela à l'état de veille et non en rêve”. (Source : Tidjaniya.com). Et à propos du Mahdi], ''voici ce qu'il en a été dit par Cheikh Ahmad TIDJANI Chérif : “Tous les ‘’Saints’’ (Wali) entrent dans notre Groupe, se réclament de notre Voie et prend notre Wird, et cela, depuis le début de l'existence jusqu'au Jour du Jugement ; et quant à l'Imam Mahdi (PL), il prendra de nous lorsque surviendra la fin des Temps, après notre mort et notre déplacement de la demeure éphémère à la demeure éternelle. ». (Source : Tidjaniya.com)

En dehors d’un réseau ferroviaire moderne dans un pays, il est utopique d’y prétendre l’émergence économique !

Le rôle d’un réseau ferroviaire moderne dans une économie nationale est capital et incontournable à notre époque, surtout dans un pays où l’industrie est presque absente. Et de surcroit, lorsque le Président de ce pays-là prétend avoir l’ambition et fait résolument le pari de l’émergence économique de son pays à travers le PSE dans un délai relativement raisonnable. Historiquement, il est indéniable que tous les pays, développés et industrialisés aujourd’hui, sont passés par cette voie royale du développement durable de leurs infrastructures, dont le réseau ferroviaire. Un tel pari ou une telle ambition, va forcément de paire avec la modernisation du réseau ferroviaire du pays et sa diversification, pour les besoins de tous les secteurs de l’économie nationale. 

Réaction : Contre l'envoi des soldats sénégalais au Yémen sous tutelle de l’Arabie saoudite

Selon des medias sénégalais, le président Macky Sall  envisage d’envoyer des soldats sénégalais au casse-pipe au Yémen  pour rendre « service » aux rois bandits des pétrodollars du Golf qui ne servent qu’à financer le terrorisme mondial, particulièrement le royaume de l’Arabie saoudite. Qu’auront-ils les sénégalais en retour ? Pas grand-chose à part ces fameux financements de mosquées qui pousseront comme des champignons dans lesquelles des actes terroristes seront  enseignés, encouragés y compris  l’endoctrinement à détruire leur propre pays le Sénégal sans état d’âme ni remord. 

Benno Bokk Yakaar, un véritable danger pour la démocratie Sénégalaise

Le Parti-Cartel Benno Bokk Yakaar a atteint sa phase terminale et doit définitivement disparaitre du paysage politique Sénégalais. La cartellisation injuste et injustifiée des Partis politiques est à bannir inexorablement au Sénégal. Il est inacceptable que de vouloir systématiquement maintenir le parti-cartel Benno Bokk Yakaar dans le système politique Sénégalais. Ce parti-cartel est vidé de sa substance et n’a plus de raison d’être dans notre écosystème (Wade a été battu en 2012 et les autres partis au sein de Benno Bokk Yakaar ont assez soutenu Macky Sall et son parti l’Alliance pour la République, pour le redressement du pays).

Réduction du train de vie de l’État: De qui se moque-t-on? Par Elhadj Yvon Mbaye

La gestion sobre et vertueuse tant chantée par celui que l’on ne présente plus, avant et après son accession au pouvoir, a fondu comme du beurre au soleil. A cause d’ignominieuses pratiques organisationnelles et structurelles à plusieurs niveaux de l’État. Le Haut Conseil de Dialogue Social vient de voir le jour, avec soixante (60) membres nommés par le premier magistrat du pays. Encore une poisse dans notre économie.

Donc, celui qui avait promis à son peuple, de mieux faire gérer les finances de notre cher Sénégal, au point de faire supprimer une institution comme l’ex- Sénat, en a inventé une autre. Rappelons que son régime dispose déjà d’un Conseil, Économique, Social et Environnemental. Du vrai imbroglio institutionnel.

Contribution – Enrichissement illicite: le Droit pénal à l’épreuve des autres banches du droit… » (Me Mbaye Jacques Ndiaye)

Me-Mbaye-Jacques-Ndiaye

 iGFM – (Dakar) Gfm.sn vous propose cette contribution sur l’enrichissement illicite, de Me Mbaye Jacques Ndiaye parvenu ce vendredi à notre rédaction.

« Le 10 Juillet 1981, le législateur sénégalais vota la Loi N° 81-53 créant un délit spécial : l’enrichissement illicite, prévu et puni par l’article 163 bis du Code Pénal.

Une analyse sommaire de l’exposé des motifs permet de comprendre qu’à travers cette infraction la volonté politique était de lutter exclusivement et efficacement contre la corruption des fonctionnaires, « forme plus insidieuse d’action illicite qui n’apparait jamais au grand jour, le corrupteur et le corrompu unis et solidaires, gardant leur secret, puisqu’ils sont menacés des mêmes peines ».

Sauver l’honneur ou succomber aux ambitions du Pouvoir ?

En écoutant certains concitoyens, on a comme l'impression, que le référendum prévu ne portera que sur l'unique point de la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans, et non, sur une nouvelle constitution qui tiendra compte de toutes les réformes des institutions, dont la réduction du mandat présidentiel. Depuis presque un an, tout est fin prêt, avec la proposition globale de la CNRI pour aller directement sans tarder au référendum, après les observations et amendements du président de la République. 

Yankhoba Diattara de Rewmi répond à Abdou M'bow : « le vrai débat de fond devrait être aujourd’hui celui du bilan de l’APR… »

Le Vice-président du conseil départemental de Thiès, Yankhoba Diattara, a apporté la réplique à Abdou M'bow qui avait à l’issue du défilé de ce matin,  déploré l’absence du Président du Conseil départemental, Idrissa Seck à cette manifestation. 

Après Karim, prendre Macky Sall au mot

C’est ce lundi 23 juin 2015 que la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) va rendre son verdict dans le procès de Karim Wade et consorts. Tout porte cependant à croire que ce ne sera pourtant pas l’épilogue d’un marathon judiciaire entamé depuis deux ans. On s’attend à ce que Karim Wade et ses co-accusés, une fois reconnus coupables, usent de toutes les voies de recours qui s’offriraient à eux.

Hommage à Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE (1919-2007) : Un monument de Science et de Sagesse - Le ''Secret'' de son vénéré Maître, Khalifa Ababacar SY (1885-1957) et la fierté de toute la Tidjaniya !!!

Son Éminence Serigne El Hadj Madior CISSE fut rappelé à Dieu le 1er Avril 2007, après avoir balisé et sécurisé la mission que son Vénéré maître Serigne Babacar SY lui avait confiée, en 1955. Oui, ‘’Je ne vous envoie pas à un gamou, mais à une mission’’, lui avait- il précisé. Et il ne se s’agissait en fait que de la mission du Mahdi, confirmant ainsi la prédiction de Cheikh El Hadj Oumar Foutiyou TALL qui avait déclaré ‘’qu’il ne mourrait pas et qu’il ‘’reviendrait’’ (virtuellement) comme tel pour continuer autrement (idéologiquement) la guerre sainte qu’il avait commencée avec les armes’’. 

Sénégal - La paresse intellectuelle au cœur du système éducatif ( par Mamadou Daffe )

La crise profonde, complexe du système éducatif s’est encore illustrée dans ses manifestations par trois faits majeurs qui l’ont fortement secoué dans ses racines et sa fondation : il en a fallu de peu qu’il soit enterré vivant avec le peu de souffle de vie qui lui reste encore dans son âme lui permettant de survivre au gré des circonstances  calamiteuses créés et animées par ceux-là mêmes, hélas, qui devraient être à l’avant-garde du combat pour un système éducatif qualitativement performant et culturellement valorisant dans lequel l’éthique, comme  l’a si bien pensé Pierre Reverdy, est la mesure de l’esthétique du dedans et que Feu le Juge Kéba MBAYE magnifia dans cette brillante et éloquente formulation   « L’Ethique devrait être adoptée par notre pays comme la mesure de toute chose car accompagnant le travail ; elle est la condition sine qua non de la paix sociale, de l’harmonie nationale, de la solidarité et du développement ». 

Bravo à la jeunesse de la banlieue - Par Fatou Tambédou, ministre

Je souhaite remercier la jeunesse de la banlieue qui a fait preuve de maturité et de responsabilité après l’annonce du verdict qui, pourtant s’annonçait très turbulente par presque tous les observateurs de la vie politique nationale. Ces lendemains de verdict montrent la profonde aspiration de cette jeunesse à un changement clair, qui commence par une évolution des mentalités.

Chères sœurs et chers frères,

vous avez rompu avec les idées, les habitudes et les comportements du passé. Vous avez donc réhabilité le civisme et la citoyenneté. Vous avez rendu aux populations de la banlieue la fierté, le sentiment d’appartenance sociologique et géographique de cette citadelle humaine, notre dénominateur commun.