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Lun, Jui
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Qu’ils nous rendent notre argent !

  Après huit mois de procès dans l’affaire dite Karim Wade et ses neuf autres co-prévenus poursuivis pour enrichissement illicite, le verdict est tombé hier, lundi 23 mars. L’ancien ministre d’Etat, ministre des infrastructures, de la coopération internationale et de l’Energie a écopé de six ans de prison ferme et de 138 milliards d’amende.   

Une autre approche pour lutter contre la mortalité maternelle !!! (Priorité à la spiritualité !!!)

Dans notre pays, environ 1800 femmes meurent chaque année de causes liées à la grossesse, soit près de 5 femmes par jour ; et certes, cette situation est encore préoccupante et plaide naturellement pour une amélioration de la prise en charge des parturientes - dans tous ses aspects, mais ne devrait pas servir de plaidoyer aux responsables de la santé de la reproduction, pour promouvoir la planification familiale (dans une perspective de lutte de la pauvreté) et légitimer la contraception aux adolescentes et l’avortement médicalisé (en cas de grossesses précoces ou non-désirées) - c’est inacceptable dans notre pays, musulman à plus de 95%. Et au-delà de ce bémol, il faut reconnaître qu’un tel sujet, en rapport avec la mort, est très complexe et forcément transversal, du fait des considérations ethno-psycho-socio-anthropologiques, essentiellement d’ordre théologique, qu’il suscite et que l’approche classique laïque ne peut guère appréhender véritablement. Il faut donc nécessairement interroger la Religion, ce d’autant que, pour nous musulmans, la solution de toute problématique se trouve dans le message que nous a légué le Prophète (PSL), conformément à une promesse solennelle qu’Allah lui a faite :

Confédération pour la démocratie et le socialisme (cds) : appel au peuple et aux citoyens sénégalais

A la veille du 23 mars  prochain, jour de verdict et de vérité pour Karim Wade et compagnie, nul ne peut plus douter de la volonté, longtemps et constamment  exprimée par l’ancien Président de la République Abdoulaye Wade, de s’opposer, par diverses formes de manœuvres et de manifestations, à toute condamnation de son fils par la justice de notre pays. Karim Wade serait-il au dessus des lois de la République ou bien un sénégalais entièrement à part ?

Sénégal - Déclaration des libéraux du BENELUX

Dès le début de son magistère, le Président Macky Sall et son régime ont pris l’option de la provocation comme mode de gouvernance. Surpris par son élection à la tête du pays, le Président Sall, dépourvu de vision et de courage, verse dans la provocation pour divertir les sénégalais et masquer en même temps ses carences. Son régime commence par faire croire aux sénégalais que le Président Wade a volé les tapis et les tableaux d’art du palais. Il accuse ensuite le Président Wade d’avoir volé 600 véhicules. Ces accusations n’ayant pas donné les effets escomptés, le Président Sall clame haut et fort qu’il a trouvé les caisses de l’Etat vides. Il a fallu attendre le départ de Idrissa Seck de la coalition Benno Bok Yakaar pour que la vérité éclate au grand jour. Idrissa Seck confirme que le Président Macky Sall avait trouvé plus de 417 milliards fcfa dans les caisses de l’Etat. Depuis on n’en fait plus un argument de diabolisation. Il fallait donc  chercher autre chose pour anéantir les libéraux.

Benno Bokk Yakaar, un véritable danger pour la démocratie Sénégalaise

Le Parti-Cartel Benno Bokk Yakaar a atteint sa phase terminale et doit définitivement disparaitre du paysage politique Sénégalais. La cartellisation injuste et injustifiée des Partis politiques est à bannir inexorablement au Sénégal. Il est inacceptable que de vouloir systématiquement maintenir le parti-cartel Benno Bokk Yakaar dans le système politique Sénégalais. Ce parti-cartel est vidé de sa substance et n’a plus de raison d’être dans notre écosystème (Wade a été battu en 2012 et les autres partis au sein de Benno Bokk Yakaar ont assez soutenu Macky Sall et son parti l’Alliance pour la République, pour le redressement du pays). 

La démocratie participative, une pratique incontournable, au cœur des régimes démocratiques contemporains.

Parler de la démocratie participative reviendrait à évoquer au préalable la pierre angulaire même, de cette dernière, qu’est la décentralisation. La centralisation étant un phénomène trop lourd, l’Etat a tout d’abord instauré la déconcentration dans ce processus de décentralisation (Préfet nommé au niveau du département, comme étant un relais entre l’Etat et les collectivités locales). Cela n’étant pas suffisant l’Etat est allé plus loin après plusieurs négociations, vers la décentralisation (dans le système Français deux notables : Pierre Mauroy et Gaston Deferre ont participé à ce processus de décentralisation (Acte I de la décentralisation). Ensuite avec les lois Raffarin de 2003 (Acte II de la décentralisation) est inscrit dans la constitution, que la France est  une république décentralisée). Ceci dans le but de désengorger le pouvoir central et faciliter le traitement des dossiers. 

Que deviendrait le Sénégal si Me Wade était réélu en 2012 ?

 « Le sage a honte de ses défauts, mais n’a pas honte de s’en corriger »

Cette question, chaque Sénégalais conscient, responsable et de bonne foi devrait se la poser aujourd’hui.  Il faut dire assurément, que les 65% des électeurs qui ont voté contre Me Wade en 2012, avaient vu très juste. Objectivement ou par intuition, ils avaient perçu ce qui allait nous arriver au cas où Me Wade resterait au pouvoir.  Ils ont, mine de rien, véritablement sauvé notre pays d’une éventuelle catastrophe monstrueuse. Imaginez un seul instant, ce que serait devenu aujourd’hui notre cher Sénégal si ce Me Wade là, auteur  de ces propos regrettables et inacceptables de la part de son ancien président, demeurait encore à sa tête ? Et pourtant, ceux qui le dédouanent d’avoir prononcé ses propos injurieux, rétrogrades, féodaux et j’en passe,  en ne prétextant naïvement que de son âge avancé et sa sénilité, avaient cependant en connaissance de cause bien voté malgré tout pour qu’il  demeure toujours  le chef de l’Etat. Or, il est bien entendu, que ne pas condamner ces propos irresponsables de Me Wade, pour quelque raison que ce soit, n’est rien d’autre que de l’hypocrisie ou un parti manifestement aveuglé.

Coumba am ndey ak Coumba amoul ndey* - Par Ibra Pouye

Plantons le décor ! Inutile de cogiter et d’aller loin. A quoi rime ce titre dans cette langue que nous vivons et enrichissons de jour en jour ? Cette belle langue qu’est le wolof, toujours à l’unisson de tout un peuple féru de politique et moins enclin à l’acte. Politique et concret diffèrent mais se complètent en même temps. La parole précède l’acte. Silence.

A l’heure où je plante ma plume sur le papier, l’actualité sénégalaise est sens dessus sens dessous à cause du procès de Karim Wade, fils d’Abdoulaye Wade, l’ancien président de la République, qui est en train de saper les fondements de la société toujours bercée par une justice on ne peut plus équitable. Un procès qui tire à sa fin. 

Abdoulaye WADE insulte tous les africains en confortant les théories racistes sur le Nègre.

Abdoulaye WADE insulte tous les africains en confortant les théories racistes sur le Nègre.

 

Après l’échec du  buzz politique et du lobbying maraboutique pour faire libérer son fils, Abdoulaye WADE essaie la calomnie et le chaos.  Rongé par le chagrin et la rancune, WADE a fait preuve d’une nervosité verbale inouïe, en accusant le président sénégalais Macky SALL d’être un descendant d’esclaves et de cannibales.  Son attitude rappelle le machiavélisme et la cupidité des esclavagistes et penseurs européens qui, jadis, s’efforçaient à justifier et à banaliser la traite et l’asservissement des Nègres.  A cet égard, WADE insulte tous les africains.

 

Les propos de WADE confortent les extrapolations haineuses sur le cannibalisme des Nègres.

J'accuse...et je prends à témoin, les médias Sénégalais…

Ces derniers jours ont été bien révélateurs. Suite aux propos de Me WADE, les Sénégalais ont pu se rendre compte du jeu malsain de certains journalistes. La plupart ont inlassablement relaté les sempiternelles condamnations des propos de Wade et d’autres, sans déontologie aucune, ont donné une place importante à tous ceux qui le traiter de fou ..., et censurer ceux qui ont cherché à aller par delà les condamnations.
Au-delà des propos de Me WADE, cette attitude met en évidence un problème réel.
Celui de l’impartialité de la presse. 

France-Au secours, Marine Arrive ! Le Ps veut établir un front national

Marine Le Pen pourrait s'installer en 2017 à l’Élysée ! La France de la Gauche est dans tous ses états et la diatribe du Premier ministre Emmanuel Valls contre cette éventualité, le 8 mars dernier, confirme la hantise des politiques, à deux semaines du premier tour des élections départementales du 22 mars ; elles pourraient confirmer le printemps lepéniste quand tout semble ouvrir la voie à celle de Nicolas Sarkory s'attendait déjà à trouver sur son chemin, au second tour de la présidentielle de 2012. La Gauche  a toujours rêvé  de baliser la voie à l'extrême-droite pour contrecarrer la Droite traditionnelle, à une période où l'Europe verse dans l'extrémisme. François Hollande qui mêle sa voix au chœur des lamantins pour ne pas s’isoler davantage semble enfin comprendre que Valls et son gouvernement de tendance droitière globale accentuent le mal-vivre des Français.

REACTIONS, REACTIONS, REACTIONS ! ABOMINATION : WADE, UN RECIDIVISTE

NAPOLEON à Charles-Maurice de TALLEYRAND : « De la merde dans un bas de soie », voilà ce que nous inspirent les propos infamants de WADE !

 

Oui, hélas ! Stupéfaits, nous ne pouvons décrire les propos de Maître WADE à l’endroit du Président de la République Macky SALL.

Les condamner serait insuffisant ! Analyser leur gravité serait hasardeux ! Ne rien dire serait, laisser le pavé à la canaille !

Quand le Plan Sénégal Émergent apporte des réponses aux préoccupations des Sénégalais

Le Sénégal traverse depuis des décennies des crises dues à des phénomènes naturels (inondations, sécheresse, rareté de vivres avec ses lots de désolation), accentuation de la pauvreté et une progression de pathologies lourdes et souvent handicapantes.

Aussi des cas de personnes atteintes de maladies (cancers, cardiovasculaires etc…) difficiles à soigner sur place sont de plus en plus notés. L’Etat a toujours essayé d’apporter son aide à ces concitoyens ne pouvant pas être soignés sur le territoire national et nécessitant une évacuation vers l’étranger.