Après avoir réitéré son vœu de voir un espace universitaire apaisé et confirmé le début du paiement des bourse, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a fait savoir que l’Etat ne compte pas fléchir devant l’un des points de revendication des étudiants et qui concerne le master. 

Les étudiants veulent ce qu’ils appellent le master pour tous, autrement dit, la suppression de la sélection qui se fait entre la licence et le master conformément aux dispositions du système Lmd. 

Tout ne se passe pas comme prévu, constate Me Aïssata Tall Sall. La candidate au poste de secrétaire général du Parti socialiste contre Ousmane Tanor Dieng dénonce des «manquements» dans l’organisation des Primaires socialistes, défie Tanor pour un débat public médiatisé et plaide pour la limitation des mandats du secrétaire général.

Au Parti socialiste (Ps), l’heure est aux élections primaires en perspective du congrès des 7 et 8 juin prochains. La candidate au poste de secrétaire général a dressé, hier, un bilan d’étape. Les amertumes se sont confondues aux indignations. 

iGFM (Dakar) L’expert financier A. Dramé (commis dans le dossier) trouve que la responsabilité de l’ancien Dg de l’Aser Modibo Diop , en tant que personne morale et directeur du financement cosignataire des chèques est engagée. Se référant aux termes de son rapport déposé dans le dossier depuis le procès d’instance, l’expert estime qu’il est difficile d’établir le montant réel du préjudice qu’il fixe, sous réserves de manquements, à 462.571.564 FCFA.

L’OBS – Touba ne cautionne pas certains membres de l’entourage du président de la République qui se sont illustrés dans le passé à travers des propos jugés discourtois par la communauté mouride. Macky Sall a été dans ce sens invité à remettre de l’ordre sur ses arrières si tenté que ses rapports avec les dignitaires de Touba soient au beau fixe.

Le président de la République est averti. Touba n’agrée pas certaines sorties incontrôlées de ses inconditionnelles. Serigne Abdou Fattah Mbacké Falilou en a fait la précision hier au cours de la cérémonie officielle du magal du Kazou Rajab. Non sans citer de nom, il a aussi invité le chef de l’Etat à revoir son entourage, mais surtout la communication de ses proches.

Entre le marteau et l’enclume. Tel est la position de qui veut défendre l’intangibilité de la République tout en ménageant Touba et ses intérêts. Succomber à cette tentation mène à la démagogie et au populisme religieux. Face à celui qui refuse cette posture, les simples d’esprit crieront au scandale, les fanatiques à l’hérésie. Or, être féru de Touba et de sa confrérie ne devrait pas empêcher d’admettre l’indivisibilité de la souveraineté républicaine. Accorder un statut spécial à Touba, c’est non seulement violer gravement la constitution, mais pis, c’est poser le premier acte du dépeçage de notre pays.

Les réformes engagées par les autorités et mentionnées dans le Programme de réformes prioritaires 2013-2017 de  l'Enseignement supérieur et de la Recherche au Sénégal, portent à croire que l'Université publique sénégalaise est en voie, à  grandes enjambées, d'être privatisée. Le document a indiqué dans les projections que le pourcentage des étudiants bénéficiaires d'une bourse ou d'une aide est estimé à 60% en 2022 pendant que celui des étudiants bénéficiaires des œuvres universitaires sera de 50% en 2022. 

iGFM (Dakar) Le porte-parole du Parti socialiste (Ps), Aissata Tall Sall, par ailleurs candidate au poste de secrétaire général du Parti social (Ps) est prête à un débat public avec Ousmane Tanor Dieng. Elle fait face à la presse en ce moment dans un hôtel de la place.

« Ce débat public est nécessaire. Je suis prête. Il ne s’agit pas voter pour un tel ou un tel. Mais pour des idées, des programmes. Il faut qu’il y ait ce débat » a déclaré Me Aissata Tall Sall.

Elle n’a pas manquer de dénoncer ce mardi des irrégularités dans le vote dans certaines coordinations. Me Aissata Tall Sall ne compte pas rester les bras croisés. Elle a annoncé la saisine du Bureau politique du Ps sur ces irrégularités constatées dans le vote dans certaines localités pour que l’opinion soit avertie.

Le président nouvellement élu de la République soeur de Guinée Bissau a réservé sa première visite au Sénégal. Il a été reçu hier par le Président de la République Macky Sall avec qui il s’est entretenu sur les problèmes que les deux pays ont en commun et sur les solutions qu’ils doivent également élaborer ensemble et partager.
Tout ce beau langage diplomatique, en termes triviales, veut dire simplement que Jomaz comme le nouveau président guinéen est affectueusement appelé, s’est engagé à aider à la résolution de la crise casamançaise. Une crise qui s’enfonce de plus en plus, avouons le, dans la forêt guinéenne et les complexités de la guerre de libération de la patrie d’Amilcar Cabral.

«Un taux de croissance de l'ordre de 3,2 %, contre  2,1 % en 2013, une hausse de 31 milliards de recettes fiscales, un repli des dépenses courantes de l'ordre de 37 milliards de FCFA  envisagé d'ici la fin de l'année etc ». C'est ce qu'a déclaré hier, lundi 27 mai, en réunion de conseil des ministres exceptionnelle, le ministre de l'économie et des finances, Amadou Ba.

L’ancien Premier ministre, sous Abdoulaye Wade, Souleymane Ndéné Ndiaye qui s’entretenait hier avec la presse dans un hôtel de la place, à Kaolack, a déclaré qu’il était prêt à jouer les bons offices entre le président de la République, Macky Sall et Abdoulaye Wade, pour un rapprochement entre « le père et le fils », si on le lui demandait.

L’ancien Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye a déclaré à Kaolack, qu’il est prêt à jouer les bons offices entre le chef de l’Etat et l’ancien président Wade si on le lui demandait. Souleymane Ndéné Ndiaye trouve anormale la brouille entre ces deux hommes, « à un moment où la famille libérale a besoin de se retrouver ».