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Dim, Mai

Le Parti socialiste prend le contre-pied du président de la République, Macky Sall, sur la réduction du mandat présidentiel de 7 à 5 ans. Réunis en assemblée général ce samedi, les secrétaires généraux du Ps ont exigé la tenue du référendum cette année et non à l’année prochaine comme l’a annoncé le chef de l’Etat, rapporte le quotidien L’Observateur.

"Nous demandons la tenue du référendum au plus tard dans le dernier trimestre de l’année 2015 pour asseoir une meilleure équité entre les partis.

Le gouvernement s'est inscrit dans une logique de toujours rectifier quand les politiques qu'il initie ne trouvent pas un écho favorable chez les populations, a déclaré, mardi à Dakar, le président Macky Sall.

''Nous venons de prendre une décision majeure concernant la suppression du visa d'entrée au Sénégal. Quand j'initie une politique et que je constate qu'elle ne trouve pas un écho favorable, je sais m'arrêter et rectifier'', a notamment dit le président Sall.

Il présidait l’ouverture d’un forum sur le financement des projets de type partenariats public-privé à Dakar, sous le thème : ’’Les partenariats public-privé : colonne porteuse du Plan Sénégal émergent’’. 

205Pour sortir son matériel du Sénégal, Isolux devra faire preuve d’ingéniosité. La direction du Mca a fait recours au gouvernement et à l’administration territoriale pour empêcher les Espagnols de passer les frontières pour se rendre en Gambie, si le contentieux de la Rn6 n’est pas réglé.

Les péripéties de la construction de la Rn 6 sont loin d’avoir connu leur épilogue. Après les nombreux articles que Le Quotidien a consacrés à cette affaire, la direction du Mca Sénégal a fini par rompre son mutisme, pour déclarer dans un communiqué, qu’il travaillait, «en relation avec les autorités du Sénégal et le partenaire bailleur des fonds, à la résorption de ce retard».

Le secrétaire général et fondateur du Parti des travailleurs et du peuple (Ptp), Me El Hadj Diouf, est très critique à l’endroit du Parti socialiste (Ps). Lors d’une conférence de presse, ce jeudi, le député a soutenu que Ousmane Tanor Dieng et Cie doivent arrêter de tympaniser les Sénégalais. «C’est un parti qui a régné en maitre absolu pendant 40 ans et qui a été finalement vomi par les Sénégalais. 

Dans un message délivré hier aux députés par le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, le président de la République a officialisé l’envoi d’un contingent de 2 100 soldats sénégalais en soutien aux efforts de l’Arabie Saoudite pour repousser «l’avancée des terroristes qui occupent le Yémen».

C’est désormais officiel. Le Sénégal va envoyer un contingent de 2 100 hommes en Arabie Saoudite pour répliquer à la menace de forces terroristes qui occupent le Yémen. Dans un message à l’Assemblée nationale rapporté par le ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, Mankeur Ndiaye, le chef de l’Etat a annoncé la contribution du pays à l’opération «Redonner espoir». 

  Un nouveau mouvement citoyen et politique, dénommé ‘’Taxawu Jotna’’, a été porté sur les fonts baptismaux hier, mercredi 29 avril, à Dakar. Il regroupe  plus de 10 mille adhérents, selon ses initiateurs. De l’avis de son coordinateur, Boubacar Diouara, l’objectif est de porter la candidature du maire de Dakar, Khalifa Ababacar Sall, à la prochaine élection présidentielle, comme l’a déjà fait le mouvement ‘’And Doolel Khalifa’’. Le mouvement a par ailleurs tiré à boulets rouges sur le régime de Macky Sall.  

Pour le financement du Pse, l’Etat du Sénégal espère décrocher de son partenaire saoudien une enveloppe de 108 milliards de francs Cfa. Un montant qui viendrait s’ajouter aux 157 milliards de francs Cfa que Ryad a jusqu’ici injectés dans le pays. L’engagement de Dakar aux côtés de Ryad contre les rebelles du Yémen ne devrait pas manquer de doper les autorités saoudiennes à satisfaire les besoins du Sénégal.

Le Président Macky Sall a franchi le Rubicon : un contingent assez consistant de l’armée sénégalaise (2 100 militaires, environ trois bataillons) seront incessamment projetés sur le théâtre d’opérations saoudo-yéménite. Le chef de l’Etat et des armées sait très certainement que le Rubicon est une rivière qu’on ne franchit jamais en sens inverse. Les dés sont donc jetés. Et les aléas arabo-persiques, c’est-à-dire les fluctuations géopolitiques à l’est de Suez, sont désormais arbitres de la suite heureuse ou malheureuse des évènements, dans cet « Orient lointain et compliqué » selon la formule du Général De Gaulle. 

  Le Sénégal a connu une histoire syndicale très riche. Des leaders syndicaux ont ainsi fait le tour du syndicalisme dans notre pays d’hier à aujourd’hui. Ils ont rappelé le contexte d’hier marqué surtout, avant les indépendances, par une lutte pour l’émancipation des pays Africains. A la suite des indépendances, il y aura un rapprochement du pouvoir politique avec les différents syndicats qui vont s’émietter au gré des changements de régime. Avec jadis un syndicalisme de participation responsable, le Sénégal va connaitre un morcellement syndical né à la faveur de l’ouverture démocratique de 2000. Cette secousse du monde syndical, avec l’avènement des libéraux au pouvoir, va installer l’opportunisme syndical et le clientélisme politique.  

  Dès son accession à la magistrature suprême en 2012, le chef de l’Etat, Macky Sall, dans le cadre de sa vision stratégique et ses orientations, avait procédé à la suppression de moult agences, dont l’Agence nationale de promotion du Tourisme (Anpt), ainsi qu’à l’instauration d’un visa payant pour l’entrée au Sénégal. Près de trois ans après, le Président a revu sa copie sur un certain nombre de dossiers dont sa  volonté affichée d’évaluer le coût du ticket de l’autoroute à péage.   

iGFM – (Dakar) Gfm.sn vous propose cette lettre ouverte de M. Ousmane Faye, le Secrétaire Généra National et Membre Fondateur du Front Patriotique pour la Défense de la République FPDR adressée aux députés qui sont séance plénière pour statuer sur l’envoi des troupes sénégalaises au Yemen.
« Chers députés, la Direction Nationale du PSDR/JANT.BI, par la voie de son Secrétaire Général National M. Ousmane Faye , vous adresse cette lettre ouverte, a l’occasion de votre séance de ce lundi 4 mai 2015 pour statuer et donner votre avis sur la décision de Macky Sall d’envoyer des soldats à la guerre civile au Yémen.

L’Etat du Sénégal a sorti le bâton pour solder le différend qui l’oppose aux syndicats d’enseignants. Le gouvernement a décidé de couper les salaires de ce mois des enseignants grévistes. Les sommes délestées sont de 50 mille à 127 mille francs Cfa.
Rédigé par leral.net le Jeudi 30 Avril 2015 à 09:13 | | 65 commentaire(s)| | Lu 4716 fois


L’Etat du Sénégal n’a pas perdu son temps. Le gouvernement a mis, hier, en exécution ses menaces contre les enseignants. Les autorités sénégalaises ont décidés de ponctionner sur les salaires des enseignants grévistes. Le constat a été fait hier. Les enseignants, qui s’étaient présentés devant les guichets de banque pour percevoir leurs salaires du mois d’avril, ont pu remarquer que leurs émoluments ont connu une baisse drastique. 

Plusieurs questions sont restées sans réponse dans l'affaire Joël Nkouemo plus connu sous le nom de Joël Manou. Un jeune écrivain camerounais accusé de s'être fait passer pour le conseiller-spécial du président de la République.

Joël Nkouemo plus connu sous le nom de Joël Manou est-il un imposteur ou fait-il partie de ces conseillers occultes bien connus par des présidents ? Quoi qu'il en soit, le jeune écrivain camerounais avait ses entrées au Palais présidentiel. Il se susurre même qu'au niveau du Haut commandement de la Gendarmerie, un véhicule avec chauffeur (un gendarme) était à sa disposition. Il a eu même à contracter un marché destiné au contingent de la Minusma (Mission multidimensionnelle intégrée des Nations unies pour la stabilisation au Mali). 

Le Sénégal enverra 2.100 soldats en Arabie Saoudite, à la demande des autorités saoudiennes, a annoncé le ministre sénégalais des Affaires étrangères, Mankeur Ndiaye, lundi, à Dakar.

"Le président de la République a décidé (…) de répondre favorablement" à une "demande" de l’Arabie Saoudite "en déployant en terre sainte d’Arabie Saoudite un contingent de 2.100 hommes", a dit M. Ndiaye devant les députés, selon l'Agence presse sénégalaise. 

Pour mieux combattre un ennemi, il faut mieux le connaître. Des magistrats sénégalais, avec 200 de leurs collègues venus du monde entier, se retrouvent à Paris pour des échanges de stratégies dans la lutte contre le terrorisme, fut-il jihadiste ou pas.

Est-il normal et surtout correct d’assimiler jihadisme à terrorisme ? C’est vrai que dans la plupart des manifestations terroristes qui se passent à travers le monde, on a tendance à voir l’expression des Jihadistes, arabes ou d’autres nationalités. Or, il semble que cette assertion ne passe plus aussi facilement que cela, et pas qu’auprès de musulmans les plus pieux ou les plus convaincus. 

  Alors que l’envoi d’un contingent de 2100 soldats sénégalais dans le désert saoudien n’a pas encore fini de révéler tous ses secrets, l’opposition et la société civile ruent dans les brancards en dénigrant ouvertement la décision du chef de l’Etat d’aller à la rescousse du royaume saoudien sous la menace des rebelle houthis du Yémen, voire de l’Iran. Après les parlementaires libéraux Modou Diagne Fada et Aida Mbodji, voire le leader de l’Urd Djibo Kâ, qui se sont ouvertement portés-en-faux contre l’initiative de l’Etat sénégalais, c’est au tour du porte-parole du Pds Babacar Gaye de déclarer sans fioritures qu’il y avait « autre chose à faire que de mettre en danger la vie de 2100 jeunes Sénégalais », dans ce conflit à mille lieux de nos frontières. Même la société civile a mis son grain de sel dans la vague de contestations contre la décision de Macky Sall. 

Les élèves ne veulent pas entendre parler d’une année blanche. Ils l’ont fait savoir à travers une marche de protestation, qu’ils ont organisée dans la ville. «Considérant qu’il ne nous reste plus que quelques mois pour arriver aux examens scolaires du Bac, Bfem et Cfee, entre autres, considérant aussi que le programme peine à finir du fait des perturbations notées ça et là, nous élèves des établissements de Tamba, demandons à l’Etat et aux enseignants de trouver un terrain d’entente, afin que la paix revienne dans le système scolaire», a indiqué le porte-parole des élèves. 

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