Cheikh Ahmadou Kara M'backé a pris une décision qui va étonner plus d’un mouride. Le guide du mouvement « Bamba Feep », Cheikh Ahmadou Kara M'backé a décidé de célébrer la 120ème édition du Grand Magal de Touba à Dakar et non à Touba. 

L’OBS- Le ministre du Commerce, Alioune Sarr, a réaffirmé la volonté du Président  Macky Sall à apporter son soutien aux chefs religieux. Cependant, un incident a été noté au sein de la gouvernance de Saint-Louis, et qui pourrait participer à rendre difficile les relations entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel. 

Les rideaux sont tombés, ce mardi 27 mai 2014, sur la 51ième édition du magal du ‘’Kazou rajab’’. Cet événement religieux qui commémore la naissance de Serigne Falilou Mbacke, le 2ième khalife général des mourides coïncide avec l’anniversaire du voyage nocturne du Prophète Mohamed (Paix et salut  sur Lui). Occasion pour le  porte-parole du khalifé du défunt, de demandé au président Macky Sall de revoir son entourage.

Il est frère et proche de Serigne Mouhamadou Lamine Bara MBACKE FALILOU qui a fait de lui le porte-parole de la famille de Serigne Fallou. Dans cet entretien, Serigne Abdou Fatah revient sur la vie de Serigne Saliou et aborde l’historique du grand Magal de Toubai.

Vous étiez très proche du défunt Serigne Saliou Mbacké. Que retenez-vous de lui ? 

Le magal du «Kazou radiab» sera célébré le 27 mai prochain à Touba. Un Comité régional de développement consacré à cet événement religieux a réuni sous la présidence du gouverneur de Diourbel tous les chefs de services régionaux impliquées dans l’organisation de ce magal.

 Le président du comité d’organisation Serigne Abdou Fatah a saisi cette occasion pour égratigner la Radio télévision nationale (Rts) accusé de prendre à la légère ce magal du Kazou radiab.

Cet événement religieux commémore la naissance de Serigne Falilou Mbacke le 2ième Khalife général des mourides. Le président du Comité d’organisation du magal du Kazou radiab a exhorté les chauffeurs à rouler doucement pour éviter les nombreux cas d’accidents de la circulation notés souvent durant les événements religieux. Serigne Abdou Fatah Mbacke n’a pas manqué d’égratigner la Radio telévision sénégalaise (Rts).

  La 2ème édition du colloque international sur le soufisme s’est ouverte ce samedi 22 novembre 2014 à Dakar, sous la présidence du Premier ministre Mahammed Boun Abdallah Dionne. Cet événement s’inscrit dans le cadre des activités culturelles et scientifiques du grand Magal de Touba, commémorant le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, le fondateur de la Mouridiya. Les conclusions qui seront issues de ces assises  pourraient  contribuer à la paix et la cohésion au sein de la Ummah islamique.

iGFM (Dakar) Les dispositions prises par le gouvernement et ses services déconcentrés dans l’organisation du Magal de Darou Mouhty ont permis la réussite de cet événement religieux, qui commémore la rencontre de Cheikh Ahmadou Bamba, de retour de son exil au Gabon, avec son frère cadet Mame Thierno Birahim, ont assuré samedi les organisateurs.

 »Les services impliqués dans l’organisation de cette 70e édition, notamment dans les domaines de la santé, de la téléphonie, de l’hydraulique, de la sécurité [...] se sont acquittés des engagements pris lors des réunions préparatoires au Magal », a déclaré samedi Serigne Bassirou Abdou Khoudoss, porte-parole du Khalife de Darou Mouhty.

Marième Sall, la Première dame du Sénégal, était hier dans la cité sainte de Porokhane pour, souligne-t-on dans son entourage, solliciter auprès de Serigne Mountakha Mbacké des prières et raffermir les liens entre le président Macky Sall et la famille de Serigne Bassirou Mbacké.

La Première dame, en visite à Porokhane hier, s’est recueillie au mausolée de la vénérée Mame Diarra Bousso, mère du fondateur du mouridisme Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké. Un acte fort apprécié par Serigne Mountakha Mbacké qui n’a pas manqué de saluer sa présence à Porokhane, avant d’insister sur les actions de la Première dame en faveur des populations.

Touba change de visage au fur et à mesure qu'on s'approche du grand Magal. La cité devient bruyante,  la circulation automobile s'intensifie,  les installations commerçantes se multiplient et bien évidemment la question de la sécurité des personnes et de leurs biens se pose avec une acuité exceptionnelle. De quoi donner du fil à retordre aux pandores et limiers qui ne dorment plus que d'un seul œil, préoccupés qu'ils sont par les malfaiteurs qui signent aussi leur arrivée.