Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

27
Sam, Avr
0 Nouveaux Articles

MALI : Un bras droit de Belmokhtar tué par l’armée française

L’étau se resserre autour de Mokhtar Belmokhtar. L’armée française a tué Abou Bakr Al-Nasr, un cadre de haut niveau du groupe jihadiste Al-Mourabitoun. Ce qui resserre l’étau autour de Mokhtar Belmokhtar. L’armée française a tué Abou Bakr Al-Nasr, un cadre de haut niveau du groupe jihadiste Al-Mourabitoun. Ce qui resserre l’étau autour de Mokhtar Belmokhtar. Les militaires de l’opération Serval ont tué, début avril, au Mali Abou Bakr Al-Nasr, un haut cadre du groupe jihadiste Al-Mourabitoun, a indiqué ce samedi Le Monde qui cite une source gouvernementale. 

Mali : des combats auraient opposé le MNLA au Mujao dans le Nord

Mali : des combats auraient opposé le MNLA au Mujao dans le Nord

iGFM - (Dakar) Des combats auraient opposé, mercredi et jeudi, les rebelles touaregs du MNLA aux islamistes du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), rapporte RFI.


Pour le moment tout est encore très flou, indique RFI soulignant que selon ses sources, les combats se seraient déroulés dans la région de Gao, et plus précisément dans le secteur de Bourem, en brousse, au nord-ouest de la ville de Gao.

Le Président IBK salue la vision clairvoyante de S.M. le Roi dans le domaine agricole

Le Président de la République du Mali, Ibrahim Boubakar Keita, a souligné, mercredi à Meknès, que la vision clairvoyante de S.M. le Roi en matière agricole est porteuse non seulement pour le Maroc, mais aussi pour toute l'Afrique, rapporte la MAP.Le Président Keita, qui venait de suivre un documentaire sur les retombées positives du Plan Maroc vert (PMV), projeté lors de la cérémonie d'ouverture des travaux de la 7e édition des Assises de l'agriculture, a indiqué que l'exemple a été donné sur la réussite de la politique agricole au Maroc et qui a donné ses fruits.

Pourparlers avec les groupes en rébellion : Après son offensive infructueuse, Ibk est revenu sur terre

Il avait martelé qu’il ne discutera pas avec des hommes en armes. Mais le MNLA ne désarme pas malgré les offres de l’Empereur qui est allé jusqu’à lever des mandats d’arrêt et recruter dans ses rangs des députés déserteurs versés dans la criminalité. Kidal demeure dans le giron de la rébellion. Alors Ibk s’est résolu à faire un aveu d’impuissance, il projette des pourparlers avec les groupes en rébellion. Qui dit que la langue contient un os qui l’empêche de s’inverser ?

IBK Ag Cherif

Bilal Ag Cherif et IBK

Décidément, les menaces et invectives n’ont pas fonctionné. Le MNLA a tenu face aux sorties musclées de Ibk partout où il a eu l’occasion du one man show. Soufflant le chaud (les menaces) et le froid (levée de mandats d’arrêt), Ibk qui a présent n’a pas foulé le sol kidalois en tant que Président élu à 77%, aura désormais compris que pour désarmer des combattants, il faut les vaincre au préalable ou se prévaloir d’un début de victoire. Pas dans une situation où le gouverneur et l’armée malienne sont cantonnés à Kidal. Parce que la France a fait faux bond dans la libération du Nord du Mali en ce qui concerne Kidal, limitant son intervention à l’expulsion de ceux qu’ils considèrent comme les seuls terroristes avec lesquels le MNLA a pourtant perpétré toutes les atrocités contre le Mali.

IBK à Dakar : 300 maliens en détention au Sénégal

IBK à Dakar : 300 maliens en détention au Sénégal

La rencontre entre IBK et la communauté malienne résidant au Sénégal a été riche en enseignements. 

Les maliens ont profité de cette rencontre pour faire part aux difficultés auxquelles ils font face. Il s’agit entre autres du coût de la carte consulaire (4000 fCfa), du retard dans l’acquisition de passeport.

Ce n’est pas tout. Ils ont aussi déploré le fort taux de mendiants maliens à Dakar (80 %) et surtout la détention de plus de 300 maliens qui, pour la plupart, n’ont pas encore été présentés au juge, etc.

MALADIE VIRALE PERSISTANTE EN GUINÉE CONAKRY - Ebola pénètre le Mali et s’invite

MALADIE VIRALE PERSISTANTE EN GUINÉE CONAKRY - Ebola pénètre le Mali et s’invite

L'OBS - Les autorités guinéennes n’ont pas trop compris l’attitude de leurs homologues sénégalais qui ont très tôt fermé leur frontière à la maladie d’Ebola. Un manque de prévoyance qui risque de coûter cher au Mali qui a détecté trois cas suspects.

Tout est parti d’un coup de sang du Président guinéen Alpha Condé sur le plateau de la chaîne France 24: «L’Organisation mondiale de la santé (Oms) a fait savoir qu’il n’y a aucun risque de contamination par les voies terrestres et autres. Donc, on ne comprend pas pourquoi le Sénégal a fermé ses voies.» Puis, les Guinéens ont ravalé leur colère et tenté d’en savoir plus sur l’attitude empressée du ministre de l’Intérieur sénégalais à fermer les frontières terrestres du Sénégal au virus Ebola.

Fièvre Ebola : trois cas suspects au Mali

Trois malades maliens travaillant sur la frontière avec la Guinée, où l'épidémie du virus de la fièvre hémorragique a tué plus de 80 personnes, ont été placés en observation à Bamako.
Plus de 80 personnes ont déjà été tuées par le virus Ebola ces dernières semaines. Un virus parti de Guinée mais qui s'est aussi propagé au Liberia. Aujourd'hui, le Mali craint d'être à son tour touché par le virus Ebola. Trois cas suspects ont été décelés: pour le moment aucune certitude, des analyses sont en cours.
«Le concept de cas suspect ne veut pas forcément dire maladie de fièvre hémorragique à virus d'Ebola», précisent d'emblée les autorités maliennes dans un communiqué. Pas question d'affoler la population avec des conclusions hâtives: pour le moment, effectivement, rien ne permet d'affirmer que le virus Ebola a pénétré au Mali. Restent les soupçons. Les trois personnes potentiellement porteuses du virus ont été repérées lundi en fin de journée, et aussitôt prises en charge puis placées à l'isolement, en périphérie de la capitale malienne, dans une unité où elles reçoivent «des soins appropriés.»

INTÉGRITÉ TERRITORIALE DU MALI IBK tend la main aux groupes rebelles

 

Le Président malien, Ibrahima Boubacar Keita (Ibk), a réitéré sa volonté d’aller à la table des négociations avec le Mouvement National de Libération de l’Azawad (Mnla) ainsi que les autres groupes rebelles du Nord Mali. Face aux députés sénégalais, hier, lundi, Ibk a déclaré compter sur le Sénégal qui «rassure», non sans interpeller les Nations Unis dont le Mali fait partie, pour la préservation de l’intégrité territoriale du pays.

 

 

«Je renouvelle mon appel aux groupes rebelles ainsi qu’à toutes les communautés du Nord Mali, qu’ils viennent pour que nous nous mettions d’accord, chacun devant accepter de concéder». C’est en ces termes que le Président malien Ibrahima Boubacar Keita a lancé un appel au Mouvement National pour la Libération de l’Azawad (Mnla) ainsi qu’aux autres groupes rebelles du Nord Mali. L’Assemblée nationale du Sénégal lui a servi de tribune hier, lundi, pour appeler les différents belligérants de la crise malienne à la table des négociations. A l’en croire, «la négociation était mon objectif hier, elle l’est encore aujourd’hui». Sur ce, il a indiqué être pressé de signer «des deux mains» tout accord pouvant déboucher immédiatement sur une paix durable, non sans réitérer son engagement sans faille pour préserver l’intégrité territoriale du Mali. 

Mali: Oumar Tatam Ly a-t-il démissionné de son propre gré ? Moussa Mara le remplaceau poste de Premier ministre

La présidence malienne a annoncé ce samedi 5 avril la nomination de Moussa Mara, jusqu’alors ministre de l’Urbanisme, au poste de Premier ministre, en remplacement d’Oumar Tatam Ly, démissionnaire. Mais a-t-il vraiment démissionné de son plein gré ?

C’était en janvier 2014. Alors qu’il recevait les vœux du gouvernement malien, le président Ibrahim Boubacar Keïta, annonçait publiquement qu’il renouvelait sa confiance au Premier ministre malien, Oumar Tatam Ly. Quatre mois plus tard, il met fin à ses fonctions. Il s’est donc forcément passé quelque chose. « Le Premier ministre a été viré », explique un proche du chef de l’État malien, qui donne des détails : ses résultats n’étaient pas satisfaisants. 

Accusé par le ministre de la justice d’avoir spolié les compressés de 22,4 milliards de Fcfa : « Si je me suis adjugé 22,4 milliards Fcfa, le président Konaré et le Premier ministre IBK devraient en savoir quelque chose »

Joint par nos soins au téléphone à Paris où il séjournait après avoir brillamment représenté le Mali au Parlement panafricain en Afrique du Sud où il a , le chef de file de l’opposition parlementaire, Soumaïla Cissé, s’est prononcé sur les accusations que le ministre de la Justice, Mohamed Aly Bathily, a portées en son endroit lors d’un meeting récent dans un foyer à Montreuil, en région parisienne.  Selon lesquelles, au moment où était ministre des Finances du Mali, Soumaïla Cissé aurait spolié les travailleurs compressés de 40% de leurs droits qui s’élevaient  alors à 56 milliards FCFA soit un détournement de  22 milliards 400 millions FCFA. Voici la réaction de l’honorable Soumaïla Cissé :   »

Le Président du Mali visite enfin le Sénégal : Ibk dégage le corridor Dakar-Bamako

La visite du chef de l’Etat malien à Dakar cache bien des enjeux. Entre la «préférence affichée de Dakar» à Soumaïla Cissé, ex-challenger d’IBK lors de la dernière présidentielle et les poursuites engagées contre Att qui vit à Dakar depuis sa chute, le menu des discussions sera épicé. 

Le Président Ibrahima Boubacar Keïta effectue depuis hier sa «première visite d’Etat en terre fraternelle et africaine du Sénégal qui durera deux jours» «sur invitation de son homologue sénégalais, Macky Sall», informe de façon laconique la présidence malienne. Durant ce séjour de 48 h, il sera accompagné «d’une délégation de haut niveau» comprenant son épouse Keïta Aminata Maïga et le médiateur de la République, Baba Hakib Haïdara, les ministres de la Solidarité, de l’Action humanitaire et de la reconstruction du Nord, Hamadoun Konaté, de l’Equipe­ment, des Transports et du Désen­clavement, Hachim Koumaré, de l’Energie, Mamadou Frankaly Keïta.

Des présumés jihadistes arrêtés par l’armée malienne dans le nord du Mali (source militaire)

L’armée malienne a arrêté plusieurs personnes soupçonnées d’être des jihadistes dans les régions de Tombouctou et Kidal, dans le Nord, lors de patrouilles organisées à la suite de « mouvements jihadistes » sur le terrain, a déclaré jeudi à l’AFP une source militaire malienne.

 

« L’armée malienne, qui organise actuellement une vaste patrouille dans la région de Tombouctou (nord-ouest) et de Kidal (extrême nord-est), a arrêté cette semaine (…) plusieurs jihadistes », a déclaré cette source militaire malienne basée dans le Nord, et jointe depuis Bamako.

Vers des rebondissements dans l’affaire Etat du Mali contre Sanogo – Le Boucher de Kati lâché par ses anciens compagnons

Vers des rebondissements dans l’affaire Etat du Mali contre Sanogo

 Boucher de Kati lâché par ses anciens compagnons

-          Le Général Touré, ex-patron de la Sécurité d’Etat prêt à des révélations renversantes

-          2 milliards Fcfa du Mujao encaissés avec la complicité d’un homme politique

 

Presque tous les militaires arrêtés dans le cadre de l’enquête sur l’assassinat des Bérets rouges ont affirmé à l’unisson avoir agi sous les ordres du capitaine-général Sanogo, putschiste en chef et donc tout puissant président du Cnrdre. Comme si cela ne suffisait pas, son ex-homme de main, le général Sidi Alassane Touré qu’il avait placé à la tête de la Sécurité d’Etat est prêt à faire des révélations qui ne contribueront qu’à enfoncer davantage Sanogo. Dans tous les cas, Haya est en très mauvaise posture, surtout que des organisations de droits de l’Homme rappellent aussi les cas de tortures, enlèvements et séquestrations, non sans appeler la Cpi à se préparer à suppléer la justice malienne en cas de défaillance.