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Ven, Mai
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  Le débat suscité par l’allocution du Président de la République le 31 décembre à propos du référendum qu’il envisage d’organiser pour réduire son mandat de 7 à 5 ans nous interpelle en tant que juriste et Président du Réseau des observateurs citoyens (RESOCIT) et du Collectif des organisations de la société civile pour les élections (COSCE) et nous commande d’apporter un éclairage sur les deux points de droit que soulève la mise en œuvre  du référendum en question. Il s’agit de la voie que le Président a choisi d’emprunter pour le référendum et la valeur juridique de l’avis du conseil constitutionnel dans l’hypothèse où il serait considéré par le Président de la République.  

Publié dans POLITIQUE
samedi, 20 septembre 2014 00:00

Macky Sall désavoue Amadou Makhtar Mbow et Cie

Le travail de la Commission Nationale de Réformes des Institutions (CNRI) dirigée par Amadou Makhtar Mbow n’aura servi finalement à rien. En effet le chef de l’Etat ne compte pas en tenir compte. Il va tout simplement le ranger dans le tiroir pour ne pas jetter à la poubelle. Macky Sall qui rencontrait hier la Coalition « Macky 2012 » a expliqué à ses camarades qu’il n’a jamais demandé à Amadou Makhtar Mbow et ses collaborateurs de mettre en place un projet de constitution. Il avait juste sollicité des modifications de certains articles.

Publié dans POLITIQUE
LES OFF DU POP DE CE VENDREDI

Rewmi-Tivaouane...
Contrecoups du «jebëlu» (allégeance) de Ndamal Kajoor auprès du Khalife général des mourides, Serigne Sidi Makhtar Mbacké. Quelques jours après l'acte d'allégeance à Touba de l'ancien Premier ministre dont l'affiliation à Tivaouane était sans conteste, ses camarades de la capitale du tidjanisme et ses environs ont laissé exploser leur colère. Avant-hier mercredi, les «rewmistes» de Tivaouane – qui estiment que Mara Seck a fait preuve d’un manque de considération manifeste envers ladite cité religieuse - ont tenu une large et longue Assemblée générale, à l’issue de laquelle, ils ont sommé le député Cheikh Tidiane Diouf de retourner au  groupe parlementaire de la majorité, c'est à dire Benno Bokk Yakaar. Visez la suite…

Publié dans La Une de la Presse
EN COULISSES : ENQUETE DE CE VENDREDI

MÉDIAS : Mamadou Oumar Ndiaye et Abdoulaye Bamba Diallo lancent un nouveau groupe de presse
Deux groupes de presse qui  fusionnent pour ne devenir qu’un. Ce n’est pas de la fiction mais bien la réalité. De sources dignes de foi, Abdoulaye Bamba Diallo et Mamadou Oumar Ndiaye, respectivement éditeurs de Nouvel Horizon et du Témoin ont décidé de fusionner pour lancer un nouveau groupe au mois d’octobre prochain. On retrouvera donc dans le même groupe Issa Sall, journaliste effacé mais très pointu, directeur des publications. 

Publié dans La Une de la Presse

Le Conseil constitutionnel déclare constitutionnelle la loi portant création de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Mais dans son arrêt publié hier, par Walfadjiri quotidien, les 5 «sages»- 4 ont siégé cette fois-ci- n’ont pas fait que statuer sur le renvoi de la requête des avocats de Karim par la Cour suprême. Ils se sont aussi penchés sur la décision de la Cour elle-même, qui a «empiété» sur leurs compétences.

Le Conseil constitutionnel a déclaré hier la loi sur le délit d’enrichissement illicite et celle portant création de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) «conformes». Les 5 «sages» ont en conséquence rejeté l’exception d’inconstitutionnalité relative à ces deux lois, objet de la requête des avocats de Karim Wade. Mais dans son arrêt publié hier, en exclusivité par le journal Walfadjiri, Cheikh Tidiane Diakhaté et Cie ont haussé le ton dans leurs «considérants». (Voir l’arrêt ci-contre)

Publié dans La Une de la Presse
Le Conseil constitutionnel saisi le 19 janvier dernier révisera certainement l'architecture technique présentée par le président de la République dans son projet  de révision constitutionnelle : les dispositions proposées conduisent tout droit à une dictature qui ne dit pas son nom avec un verrouillage systématique qui ne donne aucune autre alternative au citoyen. Sur les principaux points en effet, notamment sur la procédure d'élection et de durée du mandat du président de la République et sur la forme républicaine, la laïcité, le caractère indivisible, démocratique et décentralisé de l’État, M. Macky Sall ne laisse aucune alternative actuelle quand il affirme que "cet  article ne peut être l’objet de révision".
Publié dans POLITIQUE