Account
Please wait, authorizing ...
Not a member? Sign up now
×

Sidebar

17
Ven, Mai
0 Nouveaux Articles

Afficher les éléments par tag : Constitution

Sénégal   Programmé au forceps par l’Exécutif, vraisemblablement sans concertation avec toutes les parties concernées (opposition, société civile, mouvements citoyens…), le vote du projet de révision constitutionnelle devant se tenir le 20 mars prochain, risque de se confronter à un véritable front de refus…populaire. Pour bien de raisons liées non pas seulement à la « rétractation » du président  de la République qui s’est déterminé à ne plus réduire son mandat en cours, avis du Conseil constitutionnel obligeant, voire au déficit de dialogue politique autour de ces réformes entre le pouvoir et les autres corps du champ politique et de la société civile.   

Publié dans La Une de la Presse
Le président du groupe parlementaire de la mouvance présidentielle n’a pas mis de gants pour répondre à son désormais ex-allié, le député Imam Mbaye Niang. Très remonté contre ce dernier, qui doute de l’éthique de Macky Sall, Moustapha Diakhaté affirme, dans un entretien qu’il a accordé à Walf Quotidien, que son collègue ne croit pas à la République. 
Publié dans POLITIQUE

Sénégal   Le Secrétariat exécutif de l’Alliance pour la République (Apr) applaudit des deux mains la conformité du chef de l’Etat, Macky Sall à la Constitution sénégalaise, en adéquation avec la décision du Conseil constitutionnel. En conférence de presse hier, vendredi 19 février, Seydou Guèye, ministre porte-parole de l’Apr a appelé le peuple sénégalais à voter massivement pour le «Oui» au prochain référendum, non sans inviter les militants et alliés de l’Apr à mettre sur pied des comités électoraux, en prélude de la prochaine consultation citoyenne.  

Publié dans La Une de la Presse
dimanche, 21 février 2016 00:00

Légalement justifiable, moralement inacceptable !

   Il l’a promis, réitéré neuf fois, souvent, dans des moments empreints de solennité (présentations des vœux de nouvel an ou fêtes de l’indépendance) mais aussi dans des meetings politiques et autres interviews d’ici ou/et d’ailleurs.  Mais, il n’a pas respecté sa parole. Macky Sall a décidé de suivre l’avis du Conseil constitutionnel, qui s’oppose à la réduction de son mandat en cours.   

Convenons en tous, légalement le président de la République est irréprochable, inattaquable dans sa volonté de respecter les institutions de notre pays. Qu’il s’agisse d’un avis ou d’une décision, Macky Sall aurait du mal à refuser de prendre en compte le point de vue du Conseil Constitutionnel.
Publié dans News

Parmi la pluie de réaction suite à l'annonce de l'avis du Conseil constitutionnel, le coordonnateur du M23 a donné sa lecture de la décision du président de la République. Mamadou Mbodj se dit déçu de voire que Macky Sall n'a pas tenu sa promesse de campagne. "Je suis déçu de constater que le "wax waxeet" triomphe encore. Désolé de voir que le Président n'a pu se hisser à la hauteur des attentes historiques, c'est-à-dire mettre le pays à un niveau de démocratie d'exception au niveau de l'Afrique. Parce qu'un pays où le Président réduit son mandat, c'est quand même, important. Et ce n'est pas le cas", martèle-t-il. 

Publié dans News

Sénégal   « Le mandat en cours du président de la République connaitra son terme en 2019 ». Voilà le grand enseignement issu de la déclaration du chef de l’Etat Macky Sall qui se prononçait hier, mardi 16 février, sur l’Avis du Conseil constitutionnel relatif à son projet de révision constitutionnelle. Refusant de ramer à contre-courant de ce qu’il a appelé Décision du Conseil constitutionnel, et contre l’avis de presque tous les constitutionnalistes qui ont attesté urbi et orbi que l’avis des Cinq Sages ne le liait pas, Macky Sall a choisi de « tronquer» son engagement de réduire le mandat en cours et de boucler son septennat. Non sans fixer la date du référendum (enfin retenue pour le 20 mars prochain) et d’inviter les Sénégalais à voter Oui à ladite consultation populaire.

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal   Macky Sall va-t-il se lier ou ramer à contrecourant de l’avis du Conseil constitutionnel ? Voilà l’interrogation qui turlupine le citoyen lambda, la classe politique et les Sénégalais tout court. Au lendemain de la réception de l’avis du Conseil constitutionnel concernant le projet de révision constitutionnelle,  le président de la République a décidé en effet de s’adresser aux Sénégalais, ce mardi 16 février, à 20h, par le biais d’une…déclaration. Le Sénégal qui retient son souffle se demande avec quelle sauce Macky Sall va mâtiner pour de bon son engagement de réduction du mandat présidentiel de 07 à 05 ans. Et sceller définitivement l’organisation de la présidentielle en 2017 ou…2019.  

Publié dans La Une de la Presse
Cinq (05) décennies de vie constitutionnelle ont permis à notre pays de mettre à jour ses mécanismes institutionnels essentiels à la pratique républicaine. 
En effet, durant plus de cinquante (50) années, les différents ressorts du jeu politique interne, quoique souvent teintés, naturellement, de tensions, mais sans débordements tragiques, ont pu témoigner de 
la solidité à toute épreuve de notre ordonnancement institutionnel. Pendant ces moments, coïncidant avec une re-sacralisation sans précédent des droits et libertés humains, la vivacité des dynamiques citoyennes sénégalaises, sans cesse entretenue par les régimes successifs, a administré la preuve que l’Etat de droit est bien une réalité au Sénégal. 
Publié dans News

Gambia  

Le projet de révision constitutionnelle en 15 points proposé par le Président Macky Sall est diversement apprécié par les partis de gauche qui semblent émettre moult sons de cloche sur la question. Au niveau de la Ligue démocratique et d’And-Jef version Landing Savané, les propositions du Chef de l’Etat peuvent ainsi tenir la route. Même si, selon le porte-parole des Jallarbistes Moussa Sarr, «Tout ce que nous avions souhaité, à travers les Assises, n’est pas et ne peut pas se retrouver dans les mesures annoncées».   

Pour ces deux partis par ailleurs, les mesures du chef de l’Etat nécessitent tout de même «un consensus fort», bâti autour de « la concertation, du dialogue, de l’inclusion de toutes les forces vives de la Nation », d’après Fallou Sarr, le porte-parole d’Aj/Pads-A. Ces positions «conciliatrices» se retrouvent pourtant en porte à faux avec celles du Rnd et du Front national de salut public «Mom sa rew». 
Publié dans La Une de la Presse