
SENETOILE NEWS
Déclaration du chef de l'État sur la mort de l'étudiant Bassirou Faye Macky Sall déclare la guerre aux pyromanes
Tous ceux qui veulent profiter de la crise universitaire à des fins politiciennes doivent se tenir à carreau. Le président de la République, Macky Sall de retour hier, de son séjours aux Usa et en France, a déclaré la guerre aux pyromanes qui profitent de la situation tendue à l'université Cheikh Ant a Diop, marquée par la mort de l'étudiant Bassirou Faye, en « cherchant coûte qu'au coûte à attiser le feu à des fins politiciennes » Le Chef de l'Etat donne l'assurance que «le gouvernement, fidèle à sa vocation, assurera la sécurité des personnes et des biens en toutes circonstances ». Par ailleurs, il a lancé un appel au calme et à la sérénité et a fait part de toute sa disponibilité à engager le dialogue avec les acteurs du monde universitaire pour une solution définitive et durable.
«Aussi bien le procès de Karim Wade que l’audition d’Abdoulaye Baldé constituent une demande sociale»
L’OBS – L’Alliance pour la République (Apr) de Thiès s’est prononcée, hier, lors d’un point de presse, sur la convocation d’Abdoulaye Baldé à la Crei, la mort de l’étudiant Bassirou Faye, le retard des pluies, entre autres sujets. Mamadou Lamine Sène, responsable de l’Apr à Thiès-Est, est d’avis que toutes les autorités étatiques qui ont eu à gérer des responsabilités doivent rendre compte de leur gestion. Aussi croit-il savoir que la traque des biens mal acquis, dont le procès de Karim Wade et l’audition d’Abdoulaye Baldé, constitue une demande sociale. «Abdoulaye Baldé doit aller répondre, sans intimidation et sans violence, à la Justice. Les Sénégalais veulent la lumière sur la traque des biens mal acquis. Des gens se sont spectaculairement enrichis, on ne leur demande qu’à justifier l’origine licite de leur richesse», argue-t-il.
Audio - Communiqué du parti "Rewmi" sur le discours de Macky Sall
Audio - Communiqué du parti "Rewmi" sur le discours de Macky Sall
Macky Sall met en garde Wade et Idy : "Un seul Président a été élu le 25 mars, pas deux…"
C’est une sévère mise en garde que le Président Macky Sall a faite, hier, à l’endroit de ses opposants qui selon lui cherchaient à déstabiliser son régime.
"Il n’y aura pas de désordre au Sénégal. Je regrette que, dans une situation qui invite plutôt compassion, à la réflexion et au dépassement, certains cherche coûte que coûte, à attiser le feu à des politique politicienne", a-t-il averti, en faisant allusion, à l’audience que Abdoulaye Wade et Idrissa Seck ont accordée aux étudiants. "Il y a des gens qui n’ont qu’une seul ambition, mettre le feu à l’université, en croyant que c’est par cette manière qu’ils vont mettre le feu dans le pays. Ceux qui font cela peuvent se détromper. Cela n’arrivera pas", a-t-il asséné, d'après Le Populaire. Avant d’indiquer : "Le Sénégal est une démocratie reconnue par tout le monde.
«Moi, témoin de l’assassinat de Demba Diop»
L’OBS – A 86 ans, Maguette Bâ «Ben Cheikh», journaliste au quotidien «Le Soleil», l’un des pionniers de la presse sénégalaise, est toujours actif et continue d’exercer son métier comme reporter à Thiès. L’homme est témoin de plusieurs faits historiques qui ont marqué le Sénégal…
«Je fais partie de la 1ère génération de journalistes. Aujourd’hui, malgré mes 86 ans, je continue à exercer et je ne compte pas m’arrêter en si bon chemin. Je suis originaire de Saint-Louis. Mon nom à l’Etat civil est Maguette Bâ, mais mon pseudonyme dans la presse est Ben Cheikh.
La Une d'Enquêteplus - AFFRONTEMENTS VIOLENTS À CHEIKH ANTA DIOP L’Ucad en sang et en sueur
DÉCÈS DE L’ÉTUDIANT BASSIROU FAYE - Un mort, beaucoup de mystères
La mort de l’étudiant Bassirou Faye n’a pas livré tous ses secrets. Si tous les doigts sont orientés du côté de la Police accusée d’avoir tiré la balle meurtrière, la haute hiérarchie policière qui s’est d’ailleurs réunie hier dans la matinée, n’écarte aucune piste. Surtout pas celle de l’infiltration d’un élément extérieur qui serait non identifiée pour le moment. Piste crédible ?
La Une de l'AS - Un étudiant tué, Des centaines de blessés à l’ucad comment Bassirou Faye a été assassiné
Wade parle le week-end prochain
Il avait programmé de se prononcer au lendemain des élections locales pour donner sa lecture du scrutin, mais depuis plus d’un mois les gens tendent l’oreille en vain. Hé bien, ce sera fait. Wade va parler. Ce sera samedi prochain 24 août, à l’occasion d’un grand rassemblement dans un lieu qui reste à être déterminé. Probablement à la place de l’Obélisque. Incontestablement, ce sera un grand moment. Et sûrement tout le monde sera à l’écoute : pouvoir comme opposition. Parce que «nak», on peut l’aimer ou pas, mais Gorgui ne laisse personne indifférent. Ce sera aussi un fort moment de mobilisation parce que tout le monde attend cette sortie de Wade.
La Une du Populaire – TRAGIQUE ISSUE D’UNE REPRESSION AVEUGLE A L'UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR Treize ans après Balla Gaye, un policier tire et tue Bassirou Faye
Il tue son père à coups de bâton
Mamadou Sy, 70 ans, habitant le village de Médina France, frontalier avec la Gambie, dans l’arrondissement de Bogal, a rendu l’âme, hier, sous les coups de bâton de son fils, Youssouph Sy, 34 ans. Le vieil paye ainsi son coup de colère face à son fils pour une histoire de boeuf disparu et introuvable. Selon la Rfm, le fils a roué son père de coups de bâton, après qu’il lui a demandé d’aller à la recherche d’un de leurs boeufs, disparu depuis plus de deux jours. Le fils n’ayant pas retrouvé le boeuf au bout de deux jours de recherche est venu en informer son père qui s’est mis dans une colère noire, avant de s’emparer d’une machette pour tenter de corriger Youssouph. Le fils s’est alors emparé d’un bâton avant de s’acharner sur son père qui a fini par rendre l’âme. Le corps du vieil homme a été déposé à la morgue de l’hôpital de Sédhiou, tandis que le meurtrier a été mis aux arrêts par les gendarmes.
Mort de l'étudiant Bassirou Faye : Retour sur les lieux du "crime"
Mort de l'étudiant Bassirou Faye : Retour sur les lieux du "crime"
Commémoration du 70e anniversaire du débarquement en Provence - les tirailleurs sénégalais ou l'histoire d'une ingratitude
L'hommage rendu par François Hollande aux soldats d'Afrique, « où la France a remporté ses premières victoires », devant un parterre de chefs d'états africains, à l'occasion de la commémoration du 70e anniversaire du débarquement en Provence, peut-il être considéré comme le solde de tous comptes de la dette de la France à l'égard de ceux qu'on appelle communément « Tirailleurs sénégalais » ?