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Dim, Mai

  Tous ceux qui veulent profiter de la crise universitaire à des fins politiciennes doivent se tenir à carreau. Le président de la République, Macky Sall de retour hier, de son séjours aux Usa et en France,  a déclaré la guerre aux pyromanes qui profitent de la situation tendue à l'université Cheikh Ant a Diop, marquée par la mort de l'étudiant Bassirou Faye, en « cherchant coûte qu'au coûte à attiser le feu à des fins politiciennes » Le Chef de l'Etat donne l'assurance que «le gouvernement, fidèle à sa vocation, assurera la sécurité des personnes et des biens en toutes circonstances ». Par ailleurs, il a lancé un  appel au calme et à la sérénité et a fait part de toute sa disponibilité à engager le dialogue avec les acteurs du monde universitaire pour une solution définitive et durable.  

Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) a réclamé vendredi le limogeage des ministres Abdoulaye Daouda Diallo et Mary Teuw Niane, à la suite des affrontements à l'origine de la mort d'un étudiant, jeudi à Dakar.

Bassirou Faye a succombé jeudi à des blessures, à la suite d'affrontements entre étudiants et policiers, à l’Université Cheikh Anta Diop.
Réagissant à ce drame, le coordonnateur du SAES à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, Yankhoba Seydi, a réclamé le limogeage du ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Abdoulaye Daouda Diallo, et celui de son collègue de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Mary Teuw Niane. 

Entre Idrissa Seck et Abdoulaye Baldé, c’est désormais comme disent les anglais : «You will never walk alone» (vous ne marcherez jamais seul) ! Venu personnellement témoigner son soutien à celui auprès de qui il s’excuse pour lui avoir demandé d’entrer en politique alors qu’il était Inspecteur général d’Etat en 2001, ce qui est d’ailleurs source de ses ennuis actuels, Idrissa Seck s’est indigné de ce qui ressemble, selon lui, à une justice instrumentalisée. D’après l’ex-maire de Thiès, Macky Sall doit rendre compte comme tous les autres.

Dakar, 17 août (APS) - Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR) a annoncé samedi le retrait de plus de "35 000 non ayants droit" de la base de données des bourses universitaires, chiffrant le préjudice annuel à plus de dix milliards de francs CFA.

‘’Ce sont plus de 35 000 non ayants droit qui ont ainsi été retirés de la base de données des bourses. Parmi ceux-ci un grand nombre de boursiers du troisième cycle. Le préjudice annuel dépasse dix milliards’’, indique-t-il dans un communiqué parvenu à l’APS.

Le MESR souligne que ‘’la mise en œuvre de la nouvelle politique des bourses a également permis le nettoyage du fichier de la Direction des Bourses où figurait un grand nombre de non ayants droit, nombre d'autant plus grand, compte non tenu des nouvelles attributions’’.

Les armes contenues dans le navire Sea Soul 1 ne se trouvent pas toutes au fond de la mer. Une bonne partie aurait été subtilisée avant que le navire ne finisse au fond de l’eau. Les Forces nationales de sécurité qui se sont rendu compte de cela, sont sur les dents pour retrouver les fusils. Et surtout, éviter que le reste de la cargaison ne se fonde… dans la nature.

L’affaire de la cargaison d’armes coulée à bord du navire Sea Soul 1, battant pavillon tanzanien, mais dont l’équipage était dans sa quasi-totalité, égyptien, a connu hier un rebondissement lourd de conséquences. C’est bien simple. Les services de sécurité du Sénégal, tous corps et services confondus, sont sur les dents du fait de cette affaire. En effet, des informations recueil­lies auprès de certains services officiels de sécurité indiquent qu’avant que le navire ne soit vraisemblablement sabordé par ses propres marins, deux des quarante containers où étaient entreposés les fusils, avaient eu le temps d’être subtilisés et ont disparu dans la nature.

Serigne Fallou Dieng, petit-fils de Serigne Touba et président du Cercle des intellectuels soufis, fait fi des complexes, désintègre le conformisme bienséant hypocrite. Sans se laisser distraire par l’illusion des mots, il confectionne son propre argumentaire, assis sur ses certitudes rigoureusement confectionnées. Venu rendre visite au journal Le Quotidien, il ouvre le feu roulant : procès de Karim Wade, traque des biens supposés mal acquis, gestion des marchés de Touba, statut spécial de la ville, croissant lunaire. Tout y passe. Il pose sans faux-fuyants, sans ambages. Avec toute la liberté de ton qui caractérise un homme qui lance d’office : «Touba n’a pas d’opposition, mais je suis une sentinelle là-bas.»

 

Abdoulaye Wade conseille aux Étudiants d'évaluer les dégâts et de demander aux autorités un dédommagement
PICCMI.COM - Recevant ce Samedi les Étudiants syndicalistes à son domicile , l'ancien Président de la République en a profité pour égrener un chapelet de conseils à ces victimes de bavures policières , parmi lesquels la demande de dédommagement. "Former une commission pour faire l’état des dégâts , et de les soumettre aux autorités, pour un dédommagement comme il est de droit’’ . Il faut rappeler que d'importants dégâts matériels ont été enregistrés , des chambres d'étudiants saccagées , ordinateurs et autres effets personnels entièrement ou partiellement réduits en cendres. 

«Il y a une semaine, mes avocats avaient insisté sur le fait que nous n’avions aucune confiance en ce juge, nous sommes des avocats, nous connaissons les magistrats et savons dans quelles conditions ils accomplissent leur office et leur sacerdoce, Taïfour Diop n’est pas l’exemple de ces magistrats. Ils sont dix juges à la Cour d’appel de Saint-Louis, neuf étaient présents ce matin (hier), quatre ont refusé de s’associer à cette décision qui s’apparente à une forfaiture, parce qu’ils ont estimé que c’était injuste, que c’est une décision illégale qui ne repose sur aucun fondement juridique. Mais le président de la Cour d’appel est passé outre, le quorum est de six juges, mais Taïfour Diop a délibéré avec cinq juges. Ne serait-ce que du point de vue formel, cette décision est nulle et non avenue, elle est même censée ne jamais avoir été rendue», peste Aïssata Tall Sall au cours d’une conférence de presse après le verdict de la Cour d’appel de Saint-Louis. 

Abdoulaye Wade a eu son Balla Gaye le 31 janvier 2001 et Macky Sall a son Bassirou Faye ce 14 août 2014. Les régimes changent. Les pratiques demeurent. Balla Gaye a «payé» de son sang pour que les tickets des restaurants soient revus à la baisse, pour que les bourses ou aides soient généralisées.

Mais aussi pour que nombre des grévistes à l’époque se voient octroyer des bourses d’études sans bourse délier, éloignés des fronts quotidiens et des bombes lacrymogènes pour un meilleur havre dans les universités occidentales. La consolation sera la parodie d’«affaire Thiendella Ndiaye» du nom de ce policier accusé d’avoir tiré sur l’étudiant. Et puis c’est tout ! Les responsabilités sont restées à ce stade d’auxiliaire qui «paiera» ce que ses supérieurs devaient payer. C’est l’une des plaies de l’impunité de l’alternance 1. 

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iGFM – (Dakar) Les avocats d’Ibrahim Aboukhalil Bourgi dit Bibo Bourgi jugé dans le cadre de l’affaire dite de la traque des biens mal acquis, ont accru la pression sur les autorités en indiquant mercredi la nécessité absolue pour leur client d’être évacué en France afin d’être sauvé d’une mort subite inévitable.

Indiquant à RFM que le pronostic vital de leur client est engagé, les avocats accusent un « silence mortel » qui livre Bibo Bourgi à une mort « certaine et prochaine » s’il n’est pas évacué en France pour les soins attendus et vitaux.

Un autre cas suspect de fièvre à virus ébola est revenu négatif hier, suite à des prélèvements effectués chez un malade, qui présentait les mêmes symptômes et mis en quarantaine à l’hôpital de Fann. Mais les autorités médicales du pays retiennent leur souffle, relativement à un autre cas relevé à Ourossogui et dont les résultats des prélèvements sont attendus dans les prochaines heures. 

La fièvre hémorragique à virus ébola a le don de pouvoir mettre tout un pays en alerte maximale. Depuis son apparition en mars en Guinée forestière, le Sénégal ne dort plus que d’un seul œil. 

  A l'Université Cheikh Anta Diop (Ucad), les étudiants ont décidé de suspendre les cours et les examens jusqu'à la manifestation de la vérité sur la mort de leur camarade, Bassirou Faye. Ce dernier a perdu la vie suite aux échauffourées  entre étudiants et forces de l'ordre, le jeudi 14 août.  

Vendredi 15 août. Lendemain des échauffourées avec les forces de l’ordre, les étudiants ruminent toujours leur colère. Ils sont impuissants face aux dégâts causés par des forces de l’ordre qui se sont comportés en vrais bulldozers piétinant tout sur leur passage.  L’étudiant Bassirou Faye, en Licence I mathématiques-physique informatique (L1 MPI), est tombé sous leurs balles.

Le navire Sea Soul 1, qui a été coulé par son équipage, transportait 10 mille fusils et était destiné au Mali. Répéré par les services de sécurité du Sénégal, l’équipage a coulé son navire. Affaire à suivre.

Une cargaison d’armes a été coulée hier au large de Gorée, aux environs de 14 heures. Ces armes, présentées comme des fusils de chasse sur le manifeste, au nombre de 10.000, ainsi qu’un stock de 30 millions de balles, se trouvaient sur le bateau Sea Soul 1, battant pavillon tanzanien, mais dont l’équipage d’une quinzaine de personnes, était de nationalité égyptienne.

Bassirou Faye, un étudiant inscrit en faculté des sciences est mort jeudi suite à de violents affrontements qui ont éclaté en marge d’une manifestation estudiantine réprimée par la police sénégalaise. Selon le ministre de l’Enseignement supérieur, plusieurs étudiants et policiers ont été blessés et soignés aux urgences d’hôpitaux de Dakar. Ce type de manifestation est souvent réprimé par la police.

Selon plusieurs étudiants joints par RFI, les violences ont débuté en fin de matinée, jeudi 14 août, lorsque des étudiants ont protesté contre le retard du paiement de leurs bourses. « Certains étudiants n’ont pas perçu de bourse depuis dix mois », raconte l’un d’eux. Mais très rapidement, des jets de pierres fusent. Et les affrontements avec les policiers durent tout l’après-midi. D’après un témoin, les forces de l’ordre seraient même entrées dans les logements étudiants. Ils auraient mis à sac plusieurs chambres, cassant des ordinateurs et des téléviseurs des étudiants.

DAKARACTU.COM  Votre site préféré a été le premier, sinon l’unique média sénégalais, à avoir écrit, lorsque tous pensaient que la partie était pliée, que la bataille de Podor était loin d’être terminée. Nous tenions d’une bonne source que la Cour d’appel de Saint-Louis avait des motifs sérieux d’invalider les résultats du bureau du vote litigieux. Et donc, mécaniquement, de faire basculer la victoire du camp de la maire sortante Aïssata Tall Sall à celui de son challenger Mamadou Racine Sy. 

  Le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé passe ce lundi à la Crei, après l'expiration de sa mise en demeure. Il doit déposer sur la table du procureur spécial les justificatifs de l'origine licite des biens qu'il est supposé détenir. Dans le cas contraire, les portes de la prison de Rebeuss lui seront grandement ouvertement. Ses partisans qui en mesurent la gravité de la situation sonnent la mobilisation aujourd'hui à Ziguinchor. Mais ils précisent que cela se fera dans un climat pacifique.  

Le maire de Ziguinchor, Abdoulaye Baldé se présente devant la Crei ce lundi pour apporter les preuves de sa fortune licite qu’il est supposé détenir. La mise en demeure devait lui permettre de rassembler tous les justificatifs. 
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