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Le Conseil constitutionnel saisi le 19 janvier dernier révisera certainement l'architecture technique présentée par le président de la République dans son projet  de révision constitutionnelle : les dispositions proposées conduisent tout droit à une dictature qui ne dit pas son nom avec un verrouillage systématique qui ne donne aucune autre alternative au citoyen. Sur les principaux points en effet, notamment sur la procédure d'élection et de durée du mandat du président de la République et sur la forme républicaine, la laïcité, le caractère indivisible, démocratique et décentralisé de l’État, M. Macky Sall ne laisse aucune alternative actuelle quand il affirme que "cet  article ne peut être l’objet de révision".
Publié dans POLITIQUE

 

Cliquer sur le lien suivant : https://drive.google.com/file/d/0B12vvSpH-svNSDYtUFhQMHJOM3c/view

Il s’agit-là d’une causerie inédite (en Wolof), révélant, entre autre, les véritables raisons de mon implication politique, en rapport avec une ‘’autorisation spéciale’’ (idznul qass) reçue de notre maître, Son Eminence Serigne El Hadj Madior CISSE ; et ceci, dans une perspective de recadrage de la classe politique (toutes obédiences confondues) et de recentrage de la Tidjaniya et de l’Islam en général.

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Mohamed Yahya Ould Cire est un ancien diplomate, membre fondateur du premier noyau abolitionniste dans l’histoire Mauritanienne, mouvement  EL-HORR  qui peut être défini comme  « liberté ou noblesse » dans les années 1974. Le mouvement a vu le jour à l'ENA (École Nationale d'Administration)  dans un cercle restreint. Il est actuellement président de Association des Haratine de Mauritanie en Europe (A.H.M.E) encore là il  ouvre  la voie aux haratine à partir de l’extérieure.
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Appréciant la situation politique nationale suite au reniement du président de la République Macky Sall, le Fsd-Bj a décidé de participer activement au référendum en appelant à voter massivement pour le NON, «afin d'en faire la chronique d'une défaite annoncée pour les tenants du Wax waxeet», informe un communiqué de presse reçu à Seneweb et signé de l’ancien ministre Cheikh Bamba Dièye. 

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Sénégal   Une semaine après l’effectivité du blocus aux frontières avec la Gambie, les transporteurs et chauffeurs sénégalais maintiennent toujours le cap du contournement, même s’ils sollicitent des mesures d’accompagnement. Toutefois, du côté des usagers de la trangambienne, les conséquences de la fermeture des frontières commencent à se faire sentir dans les poches aussi bien des passagers que des transporteurs qui ont revu les tarifs du transport à la hausse. L’autre conséquence directe de ce blocus, c’est le rush sur les bateaux assurant la desserte Dakar-Ziguinchor. Sud Quotidien fait le point dans les différentes gares routières à Dakar, Kaolack, Ziguinchor et Kolda.  Un carnet de voyage Dakar-Sédhiou, via Tambacounda, sera diffusé vendredi.  

Publié dans La Une de la Presse

Sénégal   Le camp du oui est sorti victorieux du scrutin référendaire d’hier dimanche, 20 mars.  Aminata Touré et ses collègues ont pris le dessus sur le camp du non dirigé Khalifa Sall.  

Le vent du oui s’est propagé dans tout Grand Yoff.  Et pour cause, les partisans d’Aminata Touré ont remporté la victoire sur le camp du non dirigé par le maire de Dakar, Khalifa Sall.  Ce dernier a même perdu dans son bureau de vote (bureau 3 Grand Goff 2) où après dépouillement sur un total de 251 le oui a obtenu 131 voix contre 120 pour le non.  Dans beaucoup d’autres bureaux du centre Grand Yoff 2, lieu où Khalifa Sall a voté, le résultat est favorable au camp de l’envoyée spéciale du président de a République Macky Sall.  Le oui est arrivé en tête au bureau 8 avec 140 voix contre 106 pour un total de 254 votants.  Au bureau 5 du même lieu de vote également le camp du oui est arrivé en tête. 114 personnes sont favorables au non et 124 autres au oui.  
Publié dans La Une de la Presse

 

Le  nouveau président du Hcct est tel un sphinx qui renaît des cendres d’une adversité politique qui a laissé beaucoup de camarades socialistes sur le carreau.

 

A moins d’un séisme, que même le plus inspiré des metteurs en scène hollywoodien ne pourrait imaginer, Ousmane Tanor Dieng, 70 hivers en janvier prochain, ne sera pas président de la République du Sénégal. Soit ! Le socialiste en chef se contentera de l’ersatz institutionnel qu’est la présidence du Haut Conseil des Collectivités territoriales (Hcct). ‘‘Manifestement, c’est une récompense. C’est la conception que Macky Sall se fait de la gestion partagée des institutions et de l’administration. Tanor accepte d’être une variante avec l’actuel président, comme il l’a été avec Diouf’’, confie un analyste politique qui tient à garder l’anonymat.

Publié dans La Une de la Presse