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Trois cents migrants abandonnés dans le désert entre le Soudan et la Libye
La région désertique qui s'étend depuis l'est du Soudan jusqu'au Sinaï égyptien voit passer de nombreux réfugiés et migrants à la recherche d'un avenir meilleur. Des milliers d'Erythréens fuient chaque année en direction d'Israël, tandis que d'autres cherchent à gagner l'Europe en traversant la Méditerranée. Ici, un migrant africain tente d'entrer en Espagne, en septembre 2013.
Plus de 300 migrants clandestins ont été abandonnés par leurs passeurs en plein désert à la frontière entre le Soudan et la Libye, où neuf d'entre eux ont trouvé la mort. « Ils étaient en route pour la Libye », a expliqué un porte-parole de l'armée soudanaise. D'après lui, les neuf morts sont Soudanais, mais des Ethiopiens, des Erythréens, des Pakistanais et des Bangladais se trouvaient également dans le groupe.
Les Armées nationales africaines face à l'exigence de démocratie populaire
Comment réagissent les Armées nationales africaines face au désir de démocratie des Peuples d’Afrique ? Depuis les indépendances africaines, en grosso modo, dans les années 1960-70, je peux affirmer que, à l’instar de l’exigence démocratique de plus en plus accrue des Peuples, le rôle des Armées africaines dans le processus de démocratisation des systèmes de gouvernance en Afrique a évolué en passant de coups d’Etat, par principe, anti-démocratiques à des coups d’Etat que je qualifierai de « démocratiques et salutaires ».Toutefois, il importe de ne pas perdre de vue qu’il y a des poches de résistance de la part de certaines Armées de s’inscrire dans la dynamique démocratique populaire. En m’appuyant sur l’actualité politique du continent africain dans ces dernières années, j’essaie de voir à quel point cette affirmation est vérifiable ou pas par les faits à travers quelques exemples.
Un cardinal appelle à régulariser les migrants
La solution au problème mondial de l'immigration clandestine ne passe "pas par l'ouverture ou la fermeture de toutes les portes", mais par la "régularisation" de travailleurs saisonniers, a estimé le cardinal hondurien Oscar Rodriguez Maradiaga.
Dans une interview à l'AFP, ce conseiller du pape François a évoqué ce phénomène qui touche son pays, le Honduras, tout comme le Guatemala ou le Salvador "qui exportent surtout les plus jeunes" vers les Etats-Unis.
"On ne peut fermer toutes les portes, mais il n'est pas pensable d'ouvrir tout ce qu'on peut ouvrir. La migration est un droit, mais il y a aussi un droit d'un pays à régulariser la migration.