iGFM- (Dakar) Plus que quinze jours avant le départ du premier vol au lieu saint de l’Islam. A l’aéroport international Léopold Sedar Senghor les préparatifs vont bon train aussi bien du côté des pèlerins que celui du personnel administratif.

Un tour dans cette partie de l’aéroport communément appelée « hangar » nous a permis de rencontrer Docteur Amadou Lamine Thiam point focal santé au niveau du pavillon des pèlerins et régulateur social. Dr Thiam nous a confiées que « les consultations vont bon train, nous sommes à la fin et nous avons pu capitaliser une bonne flopée de candidats pèlerins. Pratiquement sur 6000 pèlerins qui ont été vus, on a moins de 15 inaptes.

La coupure de courant constatée dans les quartiers polarisant l’aéroport de Dakar s’est prolongée jusque tard dans la nuit d’hier. Entre la Senelec et les Ads, les explications divergent même s’il reste constant qu’un câble a été sectionné.  

Les quartiers jouxtant l’aéroport Léopold Sédar Senghor ont fait les frais d’une panne de courant qui a démarré jeudi matin suite au sectionnement d’un câble électrique dit «air senegal» qui traverse les pistes aéroportuaires. Dans notre édition d’hier, nous indiquions que les services de la Senelec imputaient le sectionnement à un vol du fait de la recrudescence de ces derniers sur leurs installations, notamment à cause du recel de cuivre qui rapporte gros. Les responsables des Aéroports du Sénégal (Ads) que nous avons contactés réfutent eux tout vol de câble dans l’enceinte de l’aéroport. 

C'est la nouvelle trouvaille du Mollah de l’avenue Cheikh Anta Diop,... pardon de Fass Delorme. "Ahmed Khalifa Niasse s’offusque", c’est le thème d’une série de publication que le frère de Sidy Lamine Niasse a lancé, en guise de réponse à certains sujets d'actualité. Et, dans ce premier numéro que nous publions in extenso, AKN "s’est offusqué à propos de trois sujets".

1. Les versets sataniques de Y EN A MARRE proférés par leur Fou Malade.

Le Sénégal est un pays grouillé de ressources naturelles parmi lesquelles des fruits naturels ou sauvages de tout genre mais comestibles surtout. A cette catégorie, appartient le «Saba Senegalensis» (de son nom scientifique) plus connu ici sous l’appellation de «madd». Ce produit qui fait souvent son apparition à Dakar entre mi-mars et fin août ou septembre provient de la Casamance, de la Gambie, de la Guinée et de la Guinée-Bissau. Il est très prisé par les populations, spécialement la gente féminine et en particulier les femmes enceintes, même si des hommes en raffolent également. Ainsi, il reste très commercialisé et consommé par la population. Il est bien apprécié notamment par les populations des grandes villes comme Dakar  qui, parfois l’utilisent comme remède contre la constipation du fait de sa richesse en vitamine C. Toutefois le «madd» à d’autres facettes cachées.   

L’ancien commissaire au pèlerinage à la Mecque est amer après la publication du rapport de la Cour des comptes. Non content de lui devoir de l’argent, l’Etat par le biais de son démembrement, le traîne dans la boue. Thierno Ibrahima Diakhaté s’explique et, documents à l’appui, contre-attaque.

Les ménages qui ne sont pas équipés de groupes électrogènes ont encore souffert hier. Dans ce contexte de forte chaleur, presque tout Dakar, ainsi qu’une bonne partie des régions du Sénégal étaient privés de courant. Cela, selon le directeur général de la Société nationale d’électricité (Senelec), à cause d’une panne intervenue au barrage de Manantali.

Intervenant sur les ondes de la Rfm, Pape Dieng explique que la coupure générale de courant concerne le Sénégal, le Mali et la Mauritanie. Mais rassure M. Dieng, les techniciens sont à pied d’œuvre pour un retour à la normale. 

iGFM- (Dakar) Invité de l’émission « Gewbi » sur la Rfm-Mbacké, Serigne Modou Sidi Abdou Lahad s’est montré dubitatif quant à la capacité de l’actuelle équipe municipale de Touba à satisfaire les aspirations des populations locales. La municipalité est en train, selon lui, de souffrir de son médiocre leadership incarné par un maire « manœuvrier inintelligent, suffisant et particulièrement incompétent ». Le Mbacké-Mbacké, pour étayer sa thèse donne l’exemple de la répartition budgétaire qui laisse apparaître des plages financières indéfinies, nébuleuses et financièrement injustifiées. 

La gestion du Fonds de promotion économique (Fpe), du Centre des œuvres universitaires de Dakar (Coud), du Programme national de lutte contre le paludisme (Pnlp), du pèlerinage à la Mecque, des missions à l’étranger, entre autres, a été passée au peigne fin par la Cour des comptes. Et dans le rapport 2012, les vérificateurs ont épinglé les responsables de ces structures, qui ont encore foulé au pied les règles de gestion des finances publiques.